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Ahmed Ouyahia " la bête politique"

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  • Ahmed Ouyahia " la bête politique"

    Bonsoir,

    Détestés par les uns, adulés par les autres. Ahmed Ouyahia ne laisse pas indifférent ! Cet enfant de Bouadnane comme le répétait Lounés Matoub allah yerahmou a toujours interpellés le citoyen.


    Pour certains il est un serviteur des généraux. Pour d'autres un homme qui a servi le payx.

    Pour certains il est un " kabyle de service" a la botte du gouvernement. Pour d'autres, le premier Ministre algérien à faire un discours en kabyle.

    Pour certains il est l'homme des ponctions sur les salaires et des faux procès de cadres algériens emprisonnés à tord ! pour d'autres c'est lui qui remis l'Algérie sur le chemin de la croissance


    Pour certains il est opportuniste et travaille avec tout le monde pour arriver à ses fins. Pour d'autres Il est celui qui travaille avec tout le monde pour le bien du pays.

    Pour certains, il a profité de la mort de Benhamouda pour prendre le pouvoir du RND. pour d'autres c'est celui qui nettoyé le RND des opportunistes et lui a rendu ces lettres de noblesses.

    Pour certains il est l'héritier de Bouteflika et le futur président algérien en 2009. Pour d'autres jamais un kabyle ne sera président.

    Il vient de présidé avec brio le 9 éme congrés du RND.

    Bref, les algériens restent partagés sur Ouyahia. Approuvez vous son action ?

    Cursus de Ahmed Ouyahia




    * 1975-1981 : Secrétaire aux affaires étrangères.
    * 1981-1984 : Conseiller aux affaires étrangères à l'ambassade d'Algérie à Abidjan.
    * 1984-1989 : Conseiller à la mission permanente de l'Algérie auprès de l'ONU (New-york).
    * 1988-1989 : Représentant adjoint au Conseil de Sécurité.
    * 1989-1990 : Conseiller au Cabinet du Ministre des Affaires étrangères.
    * 1990-1991 : Directeur général Afrique à l'administration centrale du ministère des Affaires étrangères.
    * 1992-1993 : Ambassadeur au Mali.
    * 1993-1994 : Secrétaire d'État à la Coopération et aux Affaires maghrébines.
    * 1994-1995 : Directeur de Cabinet à la Présidence de la République
    * Décembre 1995 – Décembre 1998 : Chef du Gouvernement
    * Juin 1997 : Elu député à l'Assemblée Populaire Nationale
    * Décembre 1999 - mai 2002 : ministre d'État, ministre de la Justice
    * Juin 2002 - mai 2003 : ministre d'État, représentant personnel du Président de la République.
    * Depuis mai 2003 : Chef du Gouvernement

    Ahmed Ouyahia est secrétaire général du parti politique « Rassemblement National Démocratique » (RND), depuis 1999.

    En marge de l'exercice de ses fonctions diplomatiques et gouvernementales, Il a été, notamment :

    * Médiateur au nom de l'Algérie dans le règlement du conflit du Nord du Mali en 1992.
    * Médiateur au nom du Président de l'OUA dans le règlement du Conflit Ethiopie- Erythrée 1999-2000.
    62
    Je l'approuve
    41,94%
    26
    Je la désapprouve
    43,55%
    27
    Je suis partagé (e)
    14,52%
    9
    “If you think education is expensive, try ignorance”
    Derek Bok

  • #2
    Il a eu la place qu'il méritait à l'époque de Boudiaf , ambassadeur au Mali

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    • #3
      Et la misère c'est qui?

      Moi personellement je lui tire la révérence du fait qu'il a sû, en peu de temps, enrichir encore plus les plus riches et appauvrir encore plus les plus pauvres.Il ne faut pas oublier la corruption, les trafiques et en tous genres et les détournements qui ont fait émerger une nouvelle noblesse ou une nouvelle nomenclatura .
      La politique économique et sociale actuelle profite à la majorité ou à la minorité des algériens?
      Qui est responsable de tout celà; A chacun sa vision des choses! :22:
      Dernière modification par Fouad, 23 février 2006, 09h28.
      Le Sage

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      • #4
        ahmed ouyahia une béta tout court.

        Il faut ajouter à son CV, le monopole du transport universitaire et l'accaparement d'assiette de terrain immense à la Z.I de rouiba.

        Commentaire


        • #5
          Son principal handicap est effectivement le fait d'être kabyle (pourtant arabisé...). Son action au sein du gouvernement est plus que positive par rapport à ses prédecesseurs car c'est la 1ère fois depuis 40 ans que les caisses sont pleines et qu'on le sait......C'est en plus un homme de terrain qui se déplace pour constater la réalité des conditions de vie des algériens et qui essaie d'améliorer les choses. C'est l'un des rares qui pourra barrer le chemin de l'accession au pouvoir des islamistes si on lui en laisse le temps......
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            zwina

            Son action au sein du gouvernement est plus que positive par rapport à ses prédecesseurs car c'est la 1ère fois depuis 40 ans que les caisses sont pleines et qu'on le sait

            Si les caisses de l'Etat sans pleines ce n'est pas surtout pas grâce à lui mais plutôt grâce à l'explosion des prix du petrole!!!


            C'est en plus un homme de terrain qui se déplace pour constater la réalité des conditions de vie des algériens


            Je ne sais pas ou est-ce que t'as vu ça!!!

            Commentaire


            • #7
              ouyahia est un administrateur professionel, un fin applicateur de ce que les autres lui dise, je ne doute pas de ses capacités , mais son arrogance lui donne l'air d'un gars imbu de sa personne, chose que tout le monde deteste chez lui. Qu'il soit kabyle ou non ca va pas changer grand chose zwina , il est algerien avant tout, il y'a bcp de kabyle qui sont passé ds le gouvernement et n'ont rien fait de mieux . Si argent il y'a dans les caisses de l'etat algerien c'est sur que c'est grace au prix du petrole, mais surtout grace a une meilleur rigueur dans la gestion des finances publiques et croit moi , cette rigueur n'est pas grace a ouyahia , lui c'est un simple excecutant, c'est surtout grace au meilleur controle que bouteflika a instaurer depuis qu'il est au pouvoir sur les caisses de l'etat, avant qu'il ne vienne au pouvoir, personne ne savait combien l'algerie avait dans ces comptes ( meme s'ils etaient vides, on ne savait pas ) et tout les grands projets dont on parle mnt sont des programmes que boutefilka a entammé, pas ouyahia alors on va attendre ce que proposerait ouyahia s'il va se preventer en 2009 ce qui est plus que probable. personnellement je suis contre aucun algerien pourvu qu'il soit sincere et tient a ses promesses.

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              • #8
                Oui

                Mr Ouyahia est un homme politique de grande valeur .

                C'est un fils de l'Algerie .

                Fruit de l'ecole Algerienne .

                Cela me fait très plaisir de savoir un homme de sa qualité au poste de premier ministre .

                Il compose bien .

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                • #9
                  Lors de son premier passage à la tête de l’exécutif entre 1995 et 1998, Ahmed Ouyahia avait été qualifié de “Premier ministre le plus impopulaire de l’histoire du pays” après une série de réformes libérales qui avaient conduit à la fermeture de centaines d’entreprises publiques et la mise au chômage de dizaines de milliers de personnes. Des réformes qui avaient cependant sauvé l’Etat algérien de la banqueroute, ce que ses détracteurs d’alors semblaient oublier. Mais, comme le disait l’adage, c’est avoir tort que d’avoir raison trop tôt.
                  Aujourd’hui, le vent semble avoir tourné. Et plutôt en sa faveur. Son action est en tout cas mieux comprise. Rappelé par le président Bouteflika pour donner un coup d’accélérateur à l’exécutif d’Ali Benflis, qu’il venait de limoger en mai 2003, Ahmed Ouyahia avait annoncé la couleur dès son installation : la rigueur. Homme de dossiers, Ahmed Ouyahia a repris à son compte les projets inachevés de Benflis. Le président Bouteflika a besoin de lui et peut compter sur lui. Pour faire avancer ses projets, quitte à heurter certaines sensibilités, Ahmed Ouyahia assume pleinement les directives du président. Il est aussi “l’encaisseur et le pare-brise du président”, explique un journaliste algérien. Contrairement à son habitude de garder le staff qu’il trouve sur place, à peine est-il arrivé au palais du gouvernement en mai 2003 qu’il a nommé une nouvelle équipe. Ahmed Ouyahia ne désigne à ses côtés que les hommes qu’il choisit, y compris en dehors de son parti, le RND.
                  Et les résultats sont là : la toute-puissante Union générale des travailleurs algériens (UGTA), qui avait bloqué lors du premier mandat présidentiel tout projet de réforme, vient de donner son appui au contenu de l’avant-projet de loi sur les hydrocarbures. La centrale syndicale déclare avoir “pris acte des clarifications et engagements présentés par le gouvernement” et “considère que l’aboutissement institutionnel du projet de loi sur les hydrocarbures contribuera à l’amélioration des performances de l’économie nationale et du bien-être social du citoyen”, lit-on dans une missive signée par le secrétaire général de l’organisation, Abdelmadjid Sidi Said.
                  Pour se faire entendre et surtout comprendre, le chef du gouvernement a sorti tout de même l’artillerie lourde : les chiffres. Implacables. Dans un rapport rendu public, le gouvernement a, pour la première fois, reconnu le caractère désastreux de l’économie nationale. “Le chiffre d’affaires total des entreprises publiques n’a progressé que de 8 % seulement de 1996 à 2003. L’endettement global des EPE [entreprises publiques, ndlr] était à fin 2002 de 880 milliards de dinars (8,6 milliards d’euros), dont 207 milliards de dinars (2,23 milliards d’euros) de découverts bancaires, soit 24 % de la dette globale. A la fin de 2002, cinq cent quarante-six EPE étaient déficitaires et plus de trois cents présentaient un actif net négatif, soit une situation de faillite au sens de la loi. Entre 1998 et 2003, la masse des crédits bancaires aux entreprises algériennes est passée de 906 milliards de dinars à 1 379 milliards de dinars, soit une augmentation de 40 %.”
                  Conclusion : la compétitivité du pays reste insuffisante. Ainsi, selon le rapport 2003 sur la compétitivité des systèmes économiques nationaux du Forum économique mondial de Davos, l’Algérie se classe au 74e rang mondial, derrière la Tunisie (38e), l’Egypte (58e) et le Maroc (61e). L’Algérie obtient une moyenne de 25 sur une échelle de 100.
                  Quelques opérations de privatisation ont relativement bien réussi dans le passé, notamment dans la sidérurgie, avec le rachat par le conglomérat indien Ipsat de l’usine sidérurgique d’El-Hadjar (Est du pays) et dans la chimie avec le rachat par l’Allemand Henkel de l’Eriad, la société nationale des produits détergents. Les flux d’investissements étrangers représentent même, désormais, une part appréciable de l’investissement global du pays (8,1 %), même si cela reste faible par rapport au PIB (2 %). Et, en termes de stock d’investissements attirés au cours des vingt dernières années, l’Algérie, avec 4,58 milliards d’euros, reste encore loin derrière l’Egypte (16,65 milliards), la Tunisie (11,26 milliards) et le Maroc (8,04 milliards).
                  Pour assainir cette situation, le rapport du gouvernement fait état des efforts consentis par l’Etat à cet effet : “Quelque 800 milliards de dinars ont été consentis entre 1996 et 1998 dans le plan d’assainissement, ce qui représente la quasi-totalité de la dette publique interne estimée à 1 000 milliards de dinars et plus du quart de la totalité de la dette publique, évaluée à 2 200 milliards de dinars. Les entreprises publiques ont reporté sur le Trésor public plus de 2 milliards de dollars de dette extérieure logés à la Banque algérienne de développement…” L’énorme programme d’assainissement mis en place entre 1996 et 1998 au profit des EPE a coûté au Trésor public plus de 350 milliards de dinars de dette publique supplémentaire. Ces mesures, qui ont été bénéfiques pour certaines entreprises, n’ont été d’aucun effet sur la plupart des autres. Le gouvernement énumère même les secteurs qu’il qualifie de “sinistrés” : l’agroalimentaire et les textiles. Autant dire des secteurs condamnés.
                  Pour autant, le chef du gouvernement ne brade pas l’économie algérienne au tout-venant. Pas question ainsi de privatiser les entreprises dites “stratégiques”: la Sonatrach (hydrocarbures), la Sonelgaz (gaz et électricité), et la Société nationale des transports ferroviaires. Ouyahia, nationaliste sourcilleux, reste égal à lui-même : ouverture tous azimuts mais pas question de vendre les “bijoux de famille”.
                  Dernière modification par zwina, 23 février 2006, 20h56.
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #10
                    Si argent il y'a dans les caisses de l'etat algerien c'est sur que c'est grace au prix du petrole, mais surtout grace a une meilleur rigueur dans la gestion des finances publiques et croit moi , cette rigueur n'est pas grace a ouyahia , lui c'est un simple excecutant, c'est surtout grace au meilleur controle que bouteflika a instaurer depuis qu'il est au pouvoir sur les caisses de l'etat, avant qu'il ne vienne au pouvoir, personne ne savait combien l'algerie avait dans ces comptes ( meme s'ils etaient vides, on ne savait pas ) et tout les grands projets dont on parle mnt sont des programmes que boutefilka a entammé, pas ouyahia alors on va attendre ce que proposerait ouyahia s'il va se preventer en 2009 ce qui est plus que probable. personnellement je suis contre aucun algerien pourvu qu'il soit sincere et tient a ses promesses.

                    Si les caisses de l'Etat sont pleines ce n'est ni grace à Ouyahia ni à boutef! C'est grâce au petrole et uniquement au petrole!
                    Alors de grâce arretez d'attribuer à boutef ce qui n'est pas à boutef!
                    Arrêtez de le défendre aveugulement sur la base de contre vérités!


                    c'est surtout grace au meilleur controle que bouteflika a instaurer depuis qu'il est au pouvoir sur les caisses de l'etat

                    Je ne vois de quel contrôe parles-tu!
                    Ce qui est sûr c'est que des députés ont demandé qu'on ouvre un grand débat sur l'utilisation de l'argent des fonds speciaux!
                    Ils ont reçu un niet catégorique de la part du gouvernement et à ça tête boutef!
                    Alors franchement je ne vois pas de quel contrôle tu parles quand boutef refuse au députés le droit du contrôle et quand on voit la multiplication des scandales financiers!!!

                    personne ne savait combien l'algerie avait dans ces comptes ( meme s'ils etaient vides, on ne savait pas )

                    A moins que tu n'existait pas à l'époque, mais saches que bien avant l'avenement de boutef, chaque trimestre la banque centale et le gouvernement rendaient public la situation finacière du pays.
                    Pour ta gouverne saches que l'Algérie possedait 2 milliards de dollars dans ses reserves avant l'arrivée de boutef!


                    et tout les grands projets dont on parle mnt sont des programmes que boutefilka a entammé

                    Les grands projets dont tu parles on été lancés par ... Chadli! Oui je dit bien Chadli (celui là même que les algériens traîtent du plus mediocre des presidents)
                    C'est bien Chadli qui lancé les projets du metro d'Alger, l'autoroute Est-Ouest, L'aéorport d'Alger... etc. Aprsè la crise économique dû à la chute des prix du petrole, tout a été arrété! Boutef n'a fait que relancer ces projet apres que l'Algérie est devenu plus à l'aise finaciarement grâce à l'explosion des prix du petrole!
                    Alors s'il y a bien une perosnne à qui il faut rendre hommage pour le lancement de ces projet c'est M. Chadli Benjdid!!!

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                    • #11
                      Pico

                      Seulement voilà Chadli n'est plus là et ce n'est certainement pas Bouteflika avec son bagage universitaire qui sauve la situation financière de l'Algérie.....................Ouyahia est diplômé de l'Ecole Nationale d'Administration et d'Etudes supérieures en Sciences politiques.
                      Dernière modification par zwina, 23 février 2006, 21h04.
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                      Commentaire


                      • #12
                        Ouyahia est diplômé de l'Ecole Nationale d'Administration et d'Etudes supérieures en Sciences politiques.
                        oui il est surtout diplome des sales besognes ,il a mis les cadres en prison ,briser l'unité des aarch ,manipuler lle dossier des disparus ,privatisation sauvage ,licenciement massif des travailleurs ,oui c'est un homme qui protege les corrompus .honte a lui hacha son village bouedhenane comme disait matoub .

                        Commentaire


                        • #13
                          Les Caisses Sont Pleines Mais Les Augmentations Pleuvent

                          C'est vrai que les caisses sont pleines par la grace de Dieu!
                          Ouyahia n'a rien fait pour que le prix du pétrole grimpent; Sont seul soucis c'est la bénédiction du fonds monnaitaire, de la banque mondiale et de la nomenclatura;
                          Il a fait l'ENA mais ce n'est pas le seul diplomé algerien; Il y en a beaucoup qui travaillent avec un salaire minable pendant que tant d'autre sont toujours à la recherche d'un boulot!
                          La flambée des prix du pétrole aurait dû profiter aux classes sociales les plus laisées mais ce n'est vraiment pas le cas; Une politique qui ne profite pas à la majorité du peuple est un échec!
                          Pour les algeriens la politique Ouyahia c'est les augmentations répétées des tarifs SONELGAZ, des tarifs Air Algérie, d' Algerie poste, de Naftal, des taxes sur les assurances automobile, le maintien de la taxe de sortie du térritoire nationale, le maintien de la vignette automobile l'instauration de la taxe pour quitus sur domiciliation de factures import et surtout la régression du pouvoir d'achat par le blocage de l'évolution du SNMG et de la valeur du Dinar.
                          La politique c'est du concret et du pragmatisme ce n'est pas de la théorie ou de la philosophie.
                          Il y a tout simplement lieu de regarder autour de soit pour voir la misère et la mal vie!
                          Alors c'est ça que l'on veut perpétrer?
                          Dernière modification par Fouad, 24 février 2006, 08h51.
                          Le Sage

                          Commentaire


                          • #14
                            Fouad

                            Mais Ouyahia est pour l'instant seulement le chef du gouvernement, il n'a pas les mains suffisament libre pour pouvoir mettre en place un programme dont le peuple algérien serait le bénéficiaire. Bouteflika et tous ceux qui oeuvrent à l'ombre du pouvoir ont toujours la main mise sur les décisions finales. Si son souci c'est la bénédiction de la BMI cela n'est pas pour rien, le soutien de cette banque est essentielle pour tous pays souhaitant se développer(n'oubliez que nous avons même eu un 1er ministre imposé par la banque mondiale) Son action est principalement orientée sur les Pays en voie de développement (depuis 2000 on emploie le terme de Pays les Moins Avancés (PMA)), sur des axes comme l'éducation, l'agriculture, l'industrie...Elle accorde des prêts à des taux préférentiels à ses pays membres en difficulté. En contrepartie, elle réclame que des dispositions politiques ( politiques d'ajustement structurels) soient prises pour, par exemple, limiter la corruption, maintenir un équilibre budgétaire ou faciliter l'émergence d'une démocratie. C'est aussi en privatisant et en faisant venir des investisseurs étrangers que le développement économique de l'Algérie se poursuivra. Tous ces investisseurs verseront des taxes, paieront des impôts qui profiteront au pays et avec Ouyahia comme président le peuple algérien en récoltera aussi les bénéfices.
                            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

                            Commentaire


                            • #15
                              55 millirds de $ et la croissance de la peauvreté!

                              Ma chère SWINA!

                              Un pays qui détient plus de 55 milliard de $ et où l'on éllabore son budget(Loi de finances) sur 19 $ alors que les ventes de pétrole se réalisent à une variante de 50 à 60 $ peut offrir une vie beaucoup plus descente à ses sitoyens; Toute politique bien éclairée doit avoir un seul objetif qui est le bien être du citoyen!
                              Avec la situation actuelle de l'Algerie nous pouvons faire beaucoup mieux; La Tunisie, par exemple, avec rien elle fait beaucoup mieux. Nous avons le droit de reventiquer une justice sociale plus juste et une répartition des richesses plus équitables.Vous croyez que nous avons toujours besoin du taux réduit de la BMI ou du FMI pour combattre, entre autre, la corruption qui est devenu un sport national?
                              Nous nous dirigeons progressivement vers une économie similaire à celle du Brésile oû 5% de la population se partage 85% de la richesse du pays pendant que 95% des citoyens se partagent seulement 15%.
                              Vous pouvez, par exemple, me dire pourquoi l'Algérie avec toutes ses richesses dispose d'un SNMG le plus bas du Maghreb (Environs 100 Euros en Algerie, 140 au Maroc et 180 en tunisie ) et une monnaie la plus basse (10 fois moins chère).
                              Enfin si Ouyahia n'est pas lible de ses actes, malgré la majorité au parlement,il n'a qu'à denoncer et démissionner car il est grassement payé entre temps; On ne peut pas avoir le beure et l'argent du beure!
                              Enfin, ZWINA, nous avons un point de vue totalement différent et c'est ce qui peut contruire une vérritable démocratie.
                              Les résultat d'une politique doivent être visible au quotidien sur le terrain.
                              Dernière modification par Fouad, 24 février 2006, 09h19.
                              Le Sage

                              Commentaire

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