Obligation d’une participation locale à hauteur de 51%
Les hommes d’affaires au Maghreb refusent d’investir en Algérie
Les hommes d’affaires maghrébins, particulièrement les libyens ont fait part de leur refus d’investir en Algérie, au vu des nouvelles mesures gouvernementales, plus spécialement celle qui oblige les investisseur étrangers à associer les algériens à hauteur de 51%.
Les hommes d’affaires algériens, participants au colloque des hommes d’affaires maghrébins, à Tunis, la semaine dernière, ont révélé, après les réunions exceptionnelles tenues avec leurs homologues maghrébins, que les investisseurs de la région, particulièrement les libyens qui possèdent actuellement des excédents financiers appréhendent d’investir leurs capitaux en Algérie. C’est d’ailleurs ce qu’a assuré le président du forum des chefs d’entreprises, Réda Hamiani, lors d’un entretien accordé à El Khabar en marge du colloque.
Le PDG de l’entreprise libyenne d’inspection « Delta », Yahia Ferdj Ellah Abdellah a, à ce sujet, indiqué son refus d’investir en Algérie au vu des mesures décidées par le gouvernement, révélant qu’il avait eu l’intention d’entrer sur le marché algérien en ouvrant des filiales de sa société en Algérie, mais que l’obligation d’associer des algériens à hauteur de 51% l’avait poussé à faire marche arrière et à trouver une autre alternative.
Il a, enfin, profité du colloque pour demander un traitement particulier pour les investisseurs maghrébins dans le cadre de l’intégration maghrébine qui pourrait contribuer à augmenter le taux de croissance économique de la région de 2%. Une association à 51% (minimum) reste pour notre interlocuteur un pourcentage trop élevé et ce, malgré le fait que la marché algérien soit un marché prometteur qui a besoin des compétences de la société d’inspection et de contrôle de la qualité dans plusieurs domaines.
El Khabar
Les hommes d’affaires au Maghreb refusent d’investir en Algérie
Les hommes d’affaires maghrébins, particulièrement les libyens ont fait part de leur refus d’investir en Algérie, au vu des nouvelles mesures gouvernementales, plus spécialement celle qui oblige les investisseur étrangers à associer les algériens à hauteur de 51%.
Les hommes d’affaires algériens, participants au colloque des hommes d’affaires maghrébins, à Tunis, la semaine dernière, ont révélé, après les réunions exceptionnelles tenues avec leurs homologues maghrébins, que les investisseurs de la région, particulièrement les libyens qui possèdent actuellement des excédents financiers appréhendent d’investir leurs capitaux en Algérie. C’est d’ailleurs ce qu’a assuré le président du forum des chefs d’entreprises, Réda Hamiani, lors d’un entretien accordé à El Khabar en marge du colloque.
Le PDG de l’entreprise libyenne d’inspection « Delta », Yahia Ferdj Ellah Abdellah a, à ce sujet, indiqué son refus d’investir en Algérie au vu des mesures décidées par le gouvernement, révélant qu’il avait eu l’intention d’entrer sur le marché algérien en ouvrant des filiales de sa société en Algérie, mais que l’obligation d’associer des algériens à hauteur de 51% l’avait poussé à faire marche arrière et à trouver une autre alternative.
Il a, enfin, profité du colloque pour demander un traitement particulier pour les investisseurs maghrébins dans le cadre de l’intégration maghrébine qui pourrait contribuer à augmenter le taux de croissance économique de la région de 2%. Une association à 51% (minimum) reste pour notre interlocuteur un pourcentage trop élevé et ce, malgré le fait que la marché algérien soit un marché prometteur qui a besoin des compétences de la société d’inspection et de contrôle de la qualité dans plusieurs domaines.
El Khabar
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