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L'histoire, Les Histoires Et La Politique

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  • L'histoire, Les Histoires Et La Politique

    BONJOUR

    A se perdre dans toute cette polémique créée suite à la parution du livre de Said SADI sur la vie de nos valeureux chahid LES COLONELS AMIROUCHE, LOTFI ET SI HOUES.
    Quoi de plus normal qu'un politicien écrive sur la guerre D'ALGERIE ?
    En ce moment en FRANCE le film de BOUCHAREB"HORS LA LOI" suscite les mêmes réaction de la part de nosltagiques de l'ALGERIE FRANCAISE., allant jUsqu'à essayer de s'opposer à la présentation du film. Hier j'ai suivi une émission justement sur le festival de CANNE, plusieurs réalisateurs scénaristes et hommes de culture encourage justement ce genre de film.Il disent "il est temps que la FRANCE se regarde de face".
    Venant des nostalgiques d'une ALGERIE " QUI EST A NOUS RIEN QU'A NOUS" ça se comprend tout le monde défend son pain comme il l'entend, mais venant de Notre chère LOUIZA du PT, qui nous conseille de laisser l'histoire aux historiens.
    Ma chère LOUISA, ne vois tu rien venir ? Ce que tu dis est tout simplement la censure, tu confirme la confiscation de la révolution par un clan mafieux.
    La révolution, l'histoire c'est de la politique ma chère LOUIZA, NOS COLONELS ET DJOUNOUDS morts au champ d'honneur c'est parce ce qu'ils faisaient de la politique qu'ils ont donné leur vie,pas pour remplir les poches, et faire des combats viruels, afin que tu puisses nager dans l'eau trouble. Libérer un pays du joug du colonialisme c'est la finalité d'une grande Idée. lA POLITIQUE C'EST LE SOCLE POUR MENER A BIEN CET IDEAL. Nous conseiller de ne pas parler de l'histoire c'est nous dire, stop ça ne vous regradent pas. Si, si chère LOUIZA ça nous regarde au plus haut degré, Monsieur SAID SADI a ouvert la porte, quoique je ne suis pas d'accord avec son parti (je suis d'obédience islamiste) mais je l'approuve, je suis avec lui, je lui dit BRAVO, ne pas s'arrêter là, on est avec vous, doucement, doucement petit à petit on va découvrir de jolies histoires.
    Car ce qu' écris Monsieur SADI ce sont des histoires de la révolution il n'a pas l'intention d'écrire l'histoire d'ALGERIE ou se substituer aux historiens il en est conscient et il n'attend pas le feu vert de LOUIZA et consorts.
    NE PAS CONFONDRE HISTOIRES ET HISTOIRE.
    L'histoire, c'est académique, froid, rigoureux, universitaire,
    Les histoires, c'est marrant, c'est même exhaltant. On commence par une petite histoire simple, et candide, on se retrouve en pleine jungle, pleins de crocodiles, de prédateurs, de scélérats prêts à tirer à étoufer à interdire à censurer.. AU MOIN AU SAURA QUI EST QUI.
    Ce qui frappe dans ces histoires, on ne parle pas des vivants, ils ne se dénoncent pas,ils préfèrent remuer nos morts. les morts ne peuvent se défendre. Les vivants ont trop desurprises cachés l'un envers l'autre, tu me tire par la barbichette, je te tire par la barbichette, et vogue la galère.
    ETTAKOU ALLAH FI GHAOUTKOUM.

  • #2
    Ce qui frappe dans ces histoires, on ne parle pas des vivants, ils ne se dénoncent pas,ils préfèrent remuer nos morts. les morts ne peuvent se défendre. Les vivants ont trop de surprises cachés l'un envers l'autre," tu me tire par la barbichette, je te tire par la barbichette", et vogue la galère.
    belle conclusion ! c'est la ligne rouge sur laquelle ils se sont tous entendu .
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    Commentaire


    • #3
      A lire avant d'aller plus loin !

      LE MONDE | 23.10.09 | 14h27

      Emmanuel Hoog, 47 ans, est président-directeur général de l'Institut national de l'audiovisuel (INA) depuis 2001. Il vient de publier Mémoire année zéro (Seuil, 210 p., 18 euros).

      "L'histoire est scientifique, la mémoire est politique, le souvenir est privé", écrivez-vous, pour constater qu'il y a aujourd'hui une confusion. D'où vient-elle ?

      Notre demande de mémoire a grandi plus vite que notre capacité à produire de l'histoire. Voilà ce que j'appelle l'"inflation mémorielle". Trop de mémoire tue l'histoire. Paradoxalement, faute de repères historiques clairs, nous nous réfugions dans la nostalgie, aggravée aujourd'hui par le phénomène d'Internet, qui fait mémoire de tout. Désormais, le concept s'est privatisé : on ne se contente plus du quart d'heure de célébrité promis à chacun par Andy Warhol, tout le monde veut sa part de mémoire, à travers lui-même, à travers le numérique.

      Autrefois, il y avait une organisation de la mémoire fondée sur une raison critique, qui s'incarnait dans les bibliothèques, les musées ou les archives, mais cela n'a pas empêché l'émergence de toutes sortes de discours souvent caricaturaux sur l'Occupation, la Résistance ou la décolonisation. Le couple identité-mémoire fondé sur l'émotion a pris le pas sur le couple identité-histoire fondé sur la raison, créant un rapport de doute, d'interrogation sur ce que nous sommes.


      Le reste : http://www.algerie-dz.com/forums/sho...d.php?t=145483

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