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Des jeunes s'attaquent à un dépôt des douanes à Tlemcen

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  • Des jeunes s'attaquent à un dépôt des douanes à Tlemcen

    Les agressions violentes répétées contre les services des douanes ont pris une tournure inquiétante, ces deux dernières années, causant d’énormes dégâts aux infrastructures de ce corps et à ses agents.
    Les contrebandiers n’hésitent pas à s’attaquer aux douaniers et ne reculent devant rien, allant jusqu’à recourir aux armes de guerre pour faire passer frauduleusement leurs marchandises mal acquises ou leur drogue. C’est dire que la tâche est rude pour ces hommes en uniforme gris qui ne sont malheureusement pas “protégés” puisqu’au moindre écart, ils sont traduits devant la justice. L’un des plus graves incidents s’est produit dans la nuit de samedi à dimanche dans la région de Boukanoune à Tlemcen, quand plus d’un millier de personnes ont investi et incendié le parc et le siège de la brigade mobile des douanes et même le célibatorium de la Police des frontières (PAF) de la ville. Bilan : 306 véhicules saisis dans le cadre de la lutte contre la contrebande ont été incendiés, 4 véhicules de service de marque Toyota Station ainsi que 4 autres véhicules personnels des douaniers. Un agent a été même blessé à la tête par un jet de pierres, mais son état est hors de danger.
    L’incident est survenu, selon notre source, à la suite de la mort d’un jeune dans la nuit de samedi vers 20h40 après avoir été repéré à bord de son véhicule de marque Renault Express par les éléments de la douane en patrouille sur une piste frontalière. Le jeune conducteur a refusé de s’arrêter aux sommations de la patrouille. Une course-poursuite s’est alors engagée et le contrebandier a fini par perdre le contrôle de son véhicule. Ce dernier a dérapé et a fait plusieurs tonneaux. Le conducteur est décédé sur le coup. Il s’agit d’un étudiant âgé de 19 ans et natif de Bab El-Assa. Le corps a été transféré à la morgue de l’hôpital de Tlemcen pour autopsie afin de déterminer les causes du décès.
    La nouvelle de sa mort s’est vite répandue et les émeutes n’ont pas tardé à éclater. Environ 1 000 personnes habitant les villages frontaliers de Souani, Bab El-Assa, Benkrama, Sellam, Boukanoune, Marsa-Ben-M’hidi, Sidi Boujenane et Souahlia ont assiégé la localité tout en incendiant le véhicule du jeune universitaire. Les assaillants ont pénétré en premier lieu dans le parc de la recette des douanes, où ils ont incendié 306 véhicules, selon un bilan en notre possession, avant de s’attrouper dans la rue pour demander que la lumière soit faite sur la mort du jeune. Il a fallu l’intervention des éléments du GIR relevant du groupement de la gendarmerie de la wilaya de Tlemcen pour calmer les esprits et maintenir en même temps l’ordre. L’enquête est toujours en cours pour identifier les auteurs de ces actes criminels et, selon les premiers éléments de l’enquête, le véhicule du contrebandier aurait été trafiqué. Hier, un important cordon de sécurité a été déployé pour pallier d’éventuels incidents, et ce n’est pas le premier que connaît la région, puisque les éléments de la division des douanes de Maghnia, ville frontalière, ont déjà connu ces dépassements à leur encontre dans la lutte contre la contrebande allant jusqu’à l’assassinat. On se souvient à Maghnia de ce jeune douanier sauvagement assassiné par arme blanche par des contrebandiers et 4 autres ont été brûlés vifs à Tébessa.
    Plus de 21 agressions ont été enregistrées durant l’année 2009 contre ces hommes en uniforme gris par des contrebandiers et narcotrafiquants qui n’hésitent pas à chaque saisie de marchandises à soulever la population et à créer une instabilité pour intimider les services de sécurité n’hésitant pas même à s’attaquer aux barrages et infrastructures de l’État, au moment où ces douaniers ne peuvent utiliser leur arme pour se protéger.

    Liberté

  • #2
    Le jeune conducteur a refusé de s’arrêter aux sommations de la patrouille. Une course-poursuite s’est alors engagée et le contrebandier a fini par perdre le contrôle de son véhicule. Ce dernier a dérapé et a fait plusieurs tonneaux. Le conducteur est décédé sur le coup.
    les douaniers auraient du ouvrir le feu

    Les assaillants ont pénétré en premier lieu dans le parc de la recette des douanes, où ils ont incendié 306 véhicules
    J’espère que l’on coupera l’eau, l’ électricité et le gaz a ces habitants

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    • #3
      staline n aurait pas proposé mieux quelle infamnie!
      "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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      • #4
        les lois de la republ;ique ont ete oubliées par la-bas

        il va falloir les reapprendre

        les douaniers algeriens sont bien trop mou (et souvent corrompus) a mon gout

        Le gouvernement algérien en a officiellement assez des contrebandiers en tous genres qui traversent sa frontière avec le Maroc des milliers de fois par jour. Il vient d’annoncer la construction, tout au long du tracé frontalier, de 25 nouveaux postes de surveillance. Dotés de moyens de transmission perfectionnés, ils seront opérationnels début 2007. Rien qu’au premier semestre 2006, les douanes algériennes ont saisi plus de 220 000 litres de carburant (subventionné) destiné à être écoulé frauduleusement au Maroc. Et ça ne risque pas de s’arranger, après notre toute récente augmentation du prix à la pompe.

        Dans l’autre sens, les Algériens s’inquiètent, ramadan oblige, de la prochaine déferlante de produits alimentaires marocains de contrebande. Déjà, dit leur presse, “les gendarmes ont saisi une impressionnante quantité d’épices, de lait, de sucre, de café, de thon en conserve et différentes autres denrées (…), le tout estimé à une valeur marchande de 3 milliards de centimes”. Bigre !

        Côté marocain, pour l’instant, on ne s’énerve pas trop. Des gendarmes ont certes été mobilisés pour installer une dizaine de postes mobiles à l’ouest du tracé frontalier, mais dans la discrétion. “Ce qui nous préoccupe le plus, ce sont les millions de psychotropes qui inondent l’Oriental à partir de l’Algérie”, glisse quand même un responsable sécuritaire d’Oujda. A perfide, perfide et demi…

        Depuis la fermeture (toute théorique) de la frontière maroco-algérienne, en 1994, la question de sa réouverture redevient sporadiquement d’actualité, en fonction des humeurs de l’un ou l’autre des régimes ennemis.
        http://www.telquel-online.com/239/semaine_maroc_239.shtml

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        • #5
          ca t es pas venue a l idée qu ils n ont pas d'autres alternatives que la contrebande pour vivre , si tous les villageois leur sont venus en soutien contre la douane c'est révélateur non
          "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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          • #6
            moi je croyais que la contrebande se fait dans un seul sens et au profis d'un seul pays et que la pauvreté ne sevit que dans cette région.

            Commentaire


            • #7
              contrevenir a la loi, pour « survivre »...la porte ouverte a tous les delires

              ce ne me semble pas tres serieux comme politique

              la loi est la loi, les contrevenants doivent etre punis

              on nest pas dans la jungle, dieu merci

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              • #8
                moi je croyais que la contrebande se fait dans un seul sens et au profis d'un seul pays et que la pauvreté ne sevit que dans cette région.
                pauverté....mot tres facile pour excuser ceux qui veulent largent facile, et rester les bras croisés le reste du temps

                Reportage
                Virée aux postes avancés à la frontière algéro-marocaine
                Nez à nez avec les gardiens du makhzen

                Par : Farid Belgacem

                Al-Khiassa, un poste avancé des gardes-frontières, à une encablure du PC 19e GGF de Bab El-Assa, surplombe “Al-Khiana” des gardes-frontières marocains. Sur notre droite, un jeune enfant décoré aux couleurs des Verts, sur notre gauche, au douar de Chéraga, une vieille dame, une Marocaine, nous salue timidement. Au loin, des enfants jouent aux “maroquineries” sur le sol du pays voisin. Deux mètres nous séparent du Maroc, une frontière où le commun des mortels appréciera le chant du coq, de part et d’autre. “Voisins” par excellence, ces deux populations s’imposent aux devants des GGF et des gardiens du makhzen pour occuper une aire quotidiennement empoisonnée par l’odeur du carburant. Le Maroc, “bled Renault 25”, pompe tout de l’Ouest algérien. Les chemins sinueux et la lutte implacable contre la contrebande et le terrorisme ne dissuadent point les barons marocains qui cernent nos frontières où ils blanchissent l’argent, à l’image de leurs acolytes algériens qui érigent des villas et des ranchs à coups de milliards. Bienvenue dans le monde du business noir, des chemins de la mort, de la menace d’une guerre qui s’annonce rude contre le crime transfrontalier. Reportage.

                Les véhicules 4X4 ne suffisent pas pour acheminer la drogue dans ces reliefs complexes et hyper-surveillés par les sentinelles de l’Ouest. Ici, le sac à dos, comme le dos d’âne, sont mis à contribution pour introduire de petites doses, parfois des quantités insignifiantes, pour alimenter Maghnia. À 15 h tapantes, on nous annonce une saisie de 13 kg de cannabis. Le narcotrafiquant fait demi-tour vers le Maroc sous le regard placide des gardiens du makhzen et des unités militaires qui circulent à bord de Toyotas Station LCD-79, une nouvelle dotation, nous dit-on.
                Même la Deglet Nour, une datte made in Algeria, est soigneusement transportée depuis Biskra pour ravitailler les marchés d’Oujda. Face à Béni Ddrer, un village marocain, les GGF saisissent près de 500 bouteilles de liqueurs lourdes, toutes frelatées. La composition du produit décrite en langue ibérique, les Marocains se targuent de tromper le consommateur par le chiffre “3” du code barre car ce poison provient de l’Hexagone. Les marchandises sont souvent stockées dans des maisons illicitement construites, mais le travail opérationnel est tellement difficile pour nos GGF que les contrebandiers exploitent ces brèches pour sévir. “Nous ne pouvons pas à chaque fois perquisitionner des habitations d’Algériens si nous ne détenons pas des informations sûres. Les contrebandiers sont très organisés et, souvent, nous avons affaire à des populations qui ont des alliances avec leurs voisines marocaines”, nous explique le lieutenant-colonel Belarbi Bouziane, commandant du 19e GGF. Dans cette région peuplée d’organisations criminelles, pas moins de 300 véhicules saisis durant ces trois dernières années, ont été vendus aux enchères, mais, aussi insolite que cela puisse paraître, acquis par les… contrebandiers !
                Nous avançons vers le poste de Chbikia où les narcotrafiquants tentent vainement d’organiser des offensives à partir du sol marocain. C’est ici même, plus exactement à Zriga, que 1 080 plaquettes de kif traité ont été saisies. Les trafiquants, qui agissent généralement entre 19h et 5h du matin, transgressent la frontière, envoient des jerrycans pleins de carburant et les récupèrent bourrés de drogue. Un procédé qui s’ajoute à tant d’autres et ces barons recourent même aux eaux usées des oueds pour acheminer toutes sortes de marchandises, y compris des produits agroalimentaires.

                Meditel, l’orange et les tueuses !
                À 2 km du poste avancé de Souani, nous atterrissons au poste avancé d’El-Houassia. Sans numéro de châssis, sans immatriculation et complètement désossées, deux voitures de marque Renault 25 sont parquées. Bourrées de jerrycans, ces véhicules, communément appelées “tueuses”, pour leur solidité, peuvent acheminer jusqu’à 70 jerrycans de mazout. Mais aussi des jerrycans recyclés débordant de 700 kg d’oranges et de clémentine. Les bêtes de somme, au prix fort de 20 000 DA, sont également enfermées par les GGF. Surplombant les douars marocains, où règne une misère humaine à ciel ouvert, nous sommes invités par l’opérateur du makhzen à composer sa numérotation téléphonique pour communiquer. Sommes-nous déjà au Maroc ? Non. Mais à 2 mètres près, un initié des lieux pourrait fouler facilement le sol du pays voisin sans… visa. “Il y a de la complicité, il y a de la menace, il y a des dépassements et de la sensibilité. Ici, il y a des choses inimaginables. Tout peut survenir ! Nous sommes à la frontière la plus sensible. Avec 15 postes avancés et 28 tentes relevant du 19e GGF, nous estimons qu’il y a encore des insuffisances. Nous avons les moyens et nous avons aussi les résultats”, affirme M. Bouziane. Le colonel Abderrahmane Ayoub enchaînera tout de go : “Le travail des GGF, c’est un tout. Il y a d’abord les postes avancés et les postes d’observation. Ensuite, il y a un travail en profondeur qui vient en second lieu pour ceinturer la frontière, notamment les escadrons, avant que les brigades et les ESR (Escadrons de sécurité routière) n’interviennent pour intercepter le reste.”
                Nous quittons le poste et nous entamons une virée en profondeur. Sur une piste parallèle, des jeunes Marocains nous scrutent des yeux.
                Le convoi des GGF est, pour eux, un événement. Des bidonvilles jusqu’aux imposantes villas et autres ranchs peuplés de chevaux et de mulets, les gardiens du makhzen et les militaires suivent nos mouvements. Ils retiennent leur souffle non sans nous examiner d’un regard tantôt agressif tantôt malveillant. En face de ce “décor frontalier”, des enfants jouent au ballon. Des femmes marocaines meublent les balcons pour suivre en live notre déplacement. “Un bain de fous” suivi de l’agitation des Toyota Station LCD-79 du makhzen qui sillonnent en aller et retour les champs agricoles pour nous surveiller de loin.

                “Écoute-moi à la marocaine”, même face au poste de Lala Aïcha
                Les sentinelles marocaines sont à l’écoute du moindre bruit sur le sol algérien. Mais pas le moindre pas des narcotrafiquants et des contrebandiers qui vivent sous leur regard. Une attitude provocatrice, certes, mais qui n’étonne pas les GGF du poste de Lala Aïcha, entouré notamment par les villages de Ouled Slama et Ben Krama. Ici le trafic de drogue fait fureur.
                Les élites de la Section de sécurité et d’intervention (SSI) de Maghnia ont saisi successivement, il y a quelques jours, 28 kg et 117 kg de cannabis. Sur notre chemin, une station de service est fermée. Et pour signifier qu’elle est belle et bien fermée, les gardiens ont bouclé les issues à l’aide de chaînes. Cette station, nous dit-on, ne s’ouvre que tôt le matin pour alimenter les “halabas” avant d’afficher “closed” à la même heure du berger. Sur la piste qui mène vers le douar de Chéraga, pas Chéraga des Grands Vents d’Alger, mais Chéraga des “Grands Ventres de Rabat”, les GGF immobilisent, cette fois-ci, une Renault 21 remplie de jerrycans de gasoil. Notre visite n’est pas appréciée. Notre présence est vite annoncée par les contrebandiers à coups d’appels téléphoniques.

                Un nabab, âgé de 35 ans, tueur et décideur du douar
                Chéraga est un véritable concentré de “sociologies”: d’une part, une population qui subit les affres et les descentes des gardiens du makhzen, de l’autre, une population complice qui mène une vie en douceur. Un mètre sépare les maisons algériennes de celles des Marocains. Les murs sont peints et mouillés de mazout. Un semblant de tuyau traverse la “ruelle” et l’autre est suspendue par un sachet en caoutchouc sur les arbres des deux rives pour verser le gasoil sans attirer les mouches. Les balcons, les terrasses et les maisons sont bourrés de jerrycans. C’est qu’à Lala Aïcha, le nabab du douar, un contrebandier âgé de 35 ans seulement décide de tout. Il protège comme il tue, il déleste comme il enrichit. Maître à bord, il bénéficie des largesses du makhzen et des militaires qu’il alimente, sans doute, de la baraka algérienne. Ici, le troc est érigé en loi number one. Les GGF, en opération dans le secteur, viennent encore de saisir plus de 100 de bouteilles de liqueur frelatées destinées au marché algérien.
                Il y avait même une forte liqueur dénommée “Chaouia” ! Un spiritueux prêt à la consommation fabriqué à Casablanca. D’autres marques inconnues au marché algérien sont également saisies par les GGF du 19e PC qui marquent des points forts en ce début d’année 2010. Le transit de marchandises se fait doucement, mais elles n’arrivent jamais sûrement à destination. Bousteila est passé par là.
                En 2008, le patron de la Gendarmerie nationale avait annoncé des mesures exceptionnelles lors des manœuvres antiterroristes à Naâma avant qu’il ne donne le coup d’envoi aux 150 nouveaux postes, tous opérationnels, pour verrouiller la frontière ouest.
                Aujourd’hui, cette politique est perceptible et les éléments des GGF subissent un système de rotation à même d’éviter la baisse de vigilance au niveau de nos frontières. “Le commandement a mis les moyens et nous lui sommes redevables des résultats. Ici, on ne pardonne pas la transgression de notre frontière souveraine. Nos bilans parlent d’eux-mêmes. Les saisies records témoignent de notre détermination à aller de l’avant et à anticiper contre toute forme de crime transfrontalier. Nous avons le matériel, nous sommes équipés, donc nous pouvons agir mieux !” explique M. Bouziane lors d’un point de presse à l’issue de notre virée.
                On retiendra, entre autres, les saisies record d’essence qui passent de 24 445 litres en 2008 à 81 630 litres en 2009, et de mazout de 376 025 à 738 745 litres durant la même période. Mais aussi les munitions avec la récupération de plus de 12 000 cartouches de calibres 12 et 16 en 2008. Les importantes saisies de véhicules, de drogue, de produits alimentaires et électroménagers, de boissons alcoolisées frelatées, de jerrycans vides, de tabac, de devises et j’en passe, font partie des efforts des GGF de l’Ouest, notamment du 19e PC, qui viennent de démontrer que cette bande frontalière constitue une menace pour l’Algérie. Pire, un danger à l’avenir. Quant à la réouverture des frontières, les Marocains peuvent encore baver. Il fait nuit. Le froid est glacial. Les GGF veillent sur la souveraineté. À la belle étoile. Celle de Kateb Yacine.

                http://www.liberte-************/rub.php?idrub=96&rubrique=Reportage

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                • #9
                  hugochavez
                  tu sais qui tire des ficelles de la contrebande c'est ceux qui appliquent la loi et les militaires , des cargaisons entieres sont detournés directement des ports algériens vers le maroc , des produits de l'import estampés en allemagne ou en france et bradés au maroc par l'armée à travers de contrebandiers qu on fait mine de pourchasser !
                  je suis de la region de nador a centaine de kilometres de la frontiere j ai vu de mes propres yeux des produits high tech 3 fois moins cher qu en france , des produits de chirurgie dentaires ou chirurgies tout court (produits allemands)!
                  fais pas semblant de debarquer de la planete mars
                  "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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                  • #10
                    les douaniers algeriens sont bien trop mou (et souvent corrompus) a mon gout
                    je suis au courant de ce qui se passe, et ne justifie pas les douaniers algeriens

                    tout aussi responsables ames yeux de la situation prevalant a maghnia dans louest, a tebessa dans louest, et a tam dans le sud

                    il y a du travail...

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                    • #11
                      c'est que tu fais mine d oublier que les douaniers ce sont des petits corrompus ce n est pas eux qui tirent les ficelles!

                      c'est grace à des maghrebins comme toi que nos regimes ont de beaux jours devant eux !
                      "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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                      • #12
                        et qui donc tire les ficelles de la corrupation, mohamed 6 et bouteflika...

                        il faut etre un peu plus serieux, la securité des frontieres est une affaire tres serieuse

                        les armes, la drogue et les reseaux de soutiens aux terroristes activent avec beaucoup trop de liberte a mon gout

                        Commentaire


                        • #13
                          On pourra chanter comme on voudra, toutes les zones frontalieres du monde connaissent des echanges, et quand on cherche à les empecher ca deviens de la contrebandes. La lois quand elle est tordue personne ne la respectera, c'est clair comme l'eau de roche.
                          Des gens vivent, commercent , ca a toujours ete comme ca et ca continuera, il faut juste ouvrir ses yeux pour voir l'evidence.
                          "Le patriotisme c'est l'amour des siens. Le nationalisme c'est la haine des autres". Romain Gary

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                          • #14
                            les echanges oui, bien sur

                            les traffics qui financent les maffias et les terroristes, NON

                            Commentaire


                            • #15
                              ""et qui donc tire les ficelles de la corrupation, mohamed 6 et bouteflika...

                              il faut etre un peu plus serieux, la securité des frontieres est une affaire tres serieuse

                              les armes, la drogue et les reseaux de soutiens aux terroristes activent avec beaucoup trop de liberte a mon gout""

                              ce n est pas eux mais leurs sbires tous les grands gradés dans la douane ds l'armée ds la justice etc

                              si tu renies ca c'est trés grave à moins que t en fais partie c'est louche que tu prennes leur defense
                              "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire" (G. Orwell)

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