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JACOB ZUMA À ALGER: Alger-Pretoria, l’axe fort de l’Afrique

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  • JACOB ZUMA À ALGER: Alger-Pretoria, l’axe fort de l’Afrique

    LE PRÉSIDENT SUD-AFRICAIN JACOB ZUMA À ALGER
    Alger-Pretoria, l’axe fort de l’Afrique

    Attendu ce mardi à Alger, le président sud-africain, Jacob Zuma, passera en revue, avec son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika, les relations bilatérales entre les deux pays.

    Le président de la République d’Afrique du Sud sera l’hôte d’Alger, à partir de demain, lors d’une visite officielle en Algérie à l’invitation du président de la République Abdelaziz Bouteflika. Cette visite entre dans le cadre de la 5e session de la commission mixte algéro-sud-africaine, souligne un communiqué du ministère sud-africain des Affaires étrangères.

    Jacob Zuma ne parlera pas uniquement de football et de l’organisation par son pays du premier Mondial en terre africaine. Certes, l’Afrique du Sud a fait de l’Algérie sa première escale d’une tournée de promotion de ses capacités d’organisation du Mondial 2010 et la contribution que les Africains pourraient apporter. La suppression du visa pour les supporters algériens qui se rendront au pays de Mandela lors de la Coupe du monde en est la meilleure preuve.

    Néanmoins, il sera également question de coopération énergétique, d’infrastructures, de défense, de sécurité, du commerce et bien sûr de l’investissement. Le président Jacob Zuma aura des entretiens particuliers avec le Président Abdelaziz Bouteflika.

    Cette rencontre sera précédée par celle des ministres des Affaires étrangères, Mourad Medelci, et de son homologue sud-africain, Mme Nkoana Mashabane, devant préparer la 5e session de la Haute Commission mixte de coopération. L’évaluation de la coopération bilatérale dans ses différents secteurs, et l’examen des voies et moyens de son renforcement et de son élargissement, conformément aux orientations des deux présidents, échoira aux experts.

    Les conclusions qui seront adoptées au cours de cette réunion seront soumises à la Haute Commission mixte de coopération, précise-t-on de même source, laquelle ajoute: «On s’attend à ce que la commission bilatérale finalise d’autres conventions et programmes d’action.» En effet, un accent particulier devra être mis sur le taux d’avancement des objectifs assignés au partenariat.

    La rencontre entre le président de la République et son homologue sud-africain sera une occasion de jeter de nouvelles bases d’une plate-forme de développement commune. Ce rendez-vous sera une opportunité pour les deux chefs d’Etat de poursuivre leurs consultations sur les questions politiques de l’heure avec l’esprit d’amitié et de coopération qui les anime et un sens de l’engagement réciproque à apporter la meilleure contribution à la réalisation des objectifs de l’Union africaine et du Nepad.

    Le partenariat et les échanges économiques seront au centre des débats afin d’explorer de nouveaux mécanismes susceptibles d’étendre cette coopération à d’autres partenaires, aussi bien africains qu’internationaux, intéressés par le fort potentiel des deux pays et la dynamique créée par une entreprise de coopération de cette envergure tournée vers l’intégration africaine.

    Lors du 5e forum d’affaires, qui s’est tenu en 2004 à Pretoria, le Président Bouteflika n’avait pas caché sa déception devant le retard accusé dans certains dossiers de la coopération quatre ans après leur mise en oeuvre, mettant ainsi en exergue le manque apparent d’engagement d’entreprises et opérateurs sud-africains.

    Pourtant, l’Algérie et l’Afrique du Sud jouissant de positions stratégiques sont liées par des liens historiques, les plus anciens sur le continent. En effet, l’Algérie a soutenu la lutte contre l’apartheid en accueillant et entraînant, à la fin des années 50, des combattants de l’ANC, notamment l’ancien Président Nelson Mandela.

    Partageant une vision commune sur plusieurs dossiers régionaux et internationaux, les deux pays comptent approfondir davantage leurs relations dans un cadre de partenariat gagnant-gagnant.

    D’ailleurs et au vu du poids de l’Afrique du Sud et son évolution rapide sur le plan économique, l’Algérie veut mettre les bouchées doubles pour mettre à profit son expérience et ses rapports de proximité. A ce sujet, on croit savoir que les discussions porteront beaucoup plus sur la coopération énergétique, notamment le volet nucléaire, le laser et l’électricité, où de gros contrats sont en voie de finalisation.

    L’Afrique du Sud a proposé à l’Algérie la construction de deux centrales nucléaires après la signature d’un accord-cadre en 2008 portant sur la formation d’experts algériens dans le domaine des technologies nucléaires. L’eau, la construction d’ouvrages d’art et le bitumage des routes sont les autres secteurs pouvant intéresser les Sud-Africains.

    Smail ROUHA
    L'Expression

  • #2
    L'axe incontournable Alger-abuja-Prétoria est considéré comme l'unique avenir de l'Afrique. Ces trois Etats sont les plus crédibles et les plus riches de leur continent.

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    • #3
      L'axe incontournable Alger-abuja-Prétoria est considéré comme l'unique avenir de l'Afrique. Ces trois Etats sont les plus crédibles et les plus riches de leur continent.
      Ils ont un denominateur commun:la richesse d'un coté la pauvreté et les massacres de la population d'un autre..bon courage,
      Coucher du soleil à Agadir

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      • #4
        @Maldini,

        Sucinctement dit, tous les analystes crédibles prônent que confronté aux 3 poids lourds africains que sont l'Afrique du Sud, le Nigéria et l'Algérie dans le conflit sahraoui, le Maroc ne pèse pas lourd.

        Ces trois nations possèdent le 40% du PIB africain (L'Afrique du Sud 50% de la partie Noire de l'Afrique) et d'où l'enlisement de la dernière colonie africaine (Sahara Occidental).

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        • #5
          l'egypte ? la lybie? pour ne pas citer le maroc..

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          • #6
            L'axe incontournable Alger-abuja-Prétoria est considéré comme l'unique avenir de l'Afrique.
            encore un qui se trompe sur sa valeur et se croit pour le nombril de l'univers

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            • #7
              Te leures pas mon ami, Zouma est une marionnette ou un boy de service qui détienne 100% des richesses de l'AFS. Il est là avec les zoulous de ministres pour danser le chants de la victoire. Fais un tour à l'AFS et tu comprendras. C'est l'occasion les promotions sont à la porte.
              Et quand, tu reviendras on en discutera sur ton axe en zig zag

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              • #8
                "l'egypte ? la lybie? pour ne pas citer le maroc" (overclocker)

                D'accord pour la libye qui n'est pas un poids lourd. En revanche, l'Egypte ne saurait être considérée comme nation africaine au propre sens terme.

                C'est Kadhafi lui-même qui réfute l'inclusion du pays des pharaons au continent africain en préconisant: " Lorsque l'Algérie était seule à se battre contre le colon français quel pays arabe l'avait secourue? A Oudja, j'avais signé avec le roi Hassan II une union, mais qu'est-elle devenue? Nous sommes des Africains et non des Arabes".

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                • #9
                  Et l'axe Alger , Niamey , Bamako .Celui ci aura de bonnes raisons d'etre un exemple en Afrique .

                  Commentaire


                  • #10
                    un axe complètement désaxé

                    Il faut être fort en géométrie pour réaliser cet exploit.

                    Le seul point commun, des richesses du sous-sol qui profitent à une minorité. J'oubliais aussi, une insécurité à circuler librement dans le pays.

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                    • #11
                      "L'axe incontournable Alger-abuja-Prétoria est considéré comme l'unique avenir de l'Afrique."/Omar

                      hahaha Omar tu a oublié l axe Maroc Statut avancé EU

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                      • #12
                        @omar

                        je préfère l'axe Rabat-Paris-Washington en ce qui concerne le conflit du Sahara.

                        Il ferme la gueule à tous les poids "lourds" de l'Afrique... Lourds par la quantité de pétrole qu'ils peuvent pomper de leur sol, de la misère de leurs population et de l'incompétence de leurs dirigeants... (La partie pompage ne s'applique pas à l'AFS mais le reste oui)

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                        • #13
                          "hahaha Omar tu a oublié l axe Maroc Statut avancé EU" (Shiba)

                          Le statut avancé est un os lancé au Maroc par l'Union européenne et un moyen de chantage. Cela s'est révélé dans le cas de la Gandhi-Mandela sahraouie Haïdar dont l'Espagne et la France avait mis sur la table ce fumeux statut au cas où le royaume ne se résignerait pas à succomber au retour de l'icône sahraouie.

                          D'autre part, si ton avis ledit statut est une bénéfice, alors pourquoi la Turquie et le refuse en exigeant son intégration à l'UE? De plus, la Russie n'en est pas bénéficiaire non plus, alors qu'elle tient, comme l'Algérie, par le cou l'UE du fait de son gaz et que même la Pologne s'est contrainte de céder face au pays de Poutine, alors qu'elle est membre de l'EU!

                          La politique est une science et que les profanes devraient éviter!

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                          • #14
                            La suppression du visa pour les supporters algériens qui se rendront au pays de Mandela lors de la Coupe du monde en est la meilleure preuve.
                            c'est quoi ce journaliste à la con le visa n'a jamais eté supprimé et ne le sera pas.

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                            • #15
                              L'axe incontournable Alger-abuja-Prétoria est considéré comme l'unique avenir de l'Afrique. Ces trois Etats sont les plus crédibles et les plus riches de leur continent.
                              les etats pivots :

                              The United States is spreading its aid and efforts too thin in the developing world.
                              Elle devrait se concentrer sur un petit nombre d '"Etats pivots": les pays dont le sort détermine la survie et le succès de la région environnante et, finalement, la stabilité du système international.
                              It should focus on a small number of "pivotal states": countries whose fate determines the survival and success of the surrounding region and ultimately the stability of the international system. The list should include Mexico, Brazil, Algeria, Egypt, South Africa, Turkey, India, Pakistan, and Indonesia.
                              Une stratégie de discrimination pour la consolidation des pays en développement est une façon sage de faire face aux menaces de sécurité traditionnelles et nouvelles questions transnationales, il pourrait être considéré comme la nouvelle théorie des dominos amélioré.
                              A discriminating strategy for shoring up the developing world is a wise way to address traditional security threats and new transnational issues; it might be thought of as the new, improved domino theory.
                              Si elle est efficace, il pourrait prévenir le passage au Congrès pour éliminer presque toutes les aides étrangères.
                              If effective, it could forestall the move in Congress to wipe out nearly all foreign aid.


                              Robert S. Chase est titulaire d'un doctorat
                              Robert S. Chase is a Ph.D.
                              candidat en sciences économiques à l'Université de Yale.
                              candidate in economics at Yale University.
                              Emily B. Hill est titulaire d'un doctorat
                              Emily B. Hill is a Ph.D.
                              candidat en histoire à l'Université de Yale.
                              candidate in history at Yale University.
                              Paul Kennedy est professeur d'histoire à l'Université Yale.
                              Paul Kennedy is Professor of History at Yale University

                              http://translate.google.ca/translate...trategy&anno=2

                              la geopolitique est une affaire serieuse...

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