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Alain Afflelou et Apax Partners vont céder leurs participations dans l'opticien à une société contrôlée par le fonds d'investissement Bridgepoint au prix de 33 euros par action, soit près de 500 millions d'euros pour le groupe. Alain Afflelou et Apax y garderont une participation.
A peine quatre après son introduction en Bourse, la société Alain Afflelou est prête à quitter la cote. Comme le révélait le site Internet d'Investir ce matin, Alain Afflelou et Apax Partners vont céder leurs participations dans l'opticien à une société contrôlée par le fonds d'investissement Bridgepoint, au prix de 33 euros par action. Ce qui valorise la société à près de 500 millions d'euros, soit une prime de plus de 22% par rapport au cours de Bourse du 23 février 2006 et de plus de 27% par rapport à la moyenne des cours de Bourse sur les trois derniers mois.
Techniquement, le véhicule d'acquisition contrôlé par Bridgepoint détiendra 61,1% d'Alain Afflelou, après l'acquisition de blocs d'actions à hauteur de 39% et l'apports en nature du fondateur de l'enseigne et du fonds Apax Partners, à hauteur de 22,1%. Ainsi, Alain Afflelou, qui détient à ce jour 44,18% de l'opticien, cède les deux tiers de sa participation et réinvestit 14,7% dans la société de contrôle d'Alain Afflelou SA. Apax Partners, qui possédait avant l'opération 18,68% d'Alain Afflelou, détiendra ainsi 3,42% de la nouvelle société de contrôle du groupe.
Une fois cette première opération achevée, l'entité de contrôle lancera une OPA sur l'intégralité du capital restant, pour le même prix que celui proposé à Alain Afflelou et Apax Partners. "Cette OPA sera suivie si les conditions le permettent, d'une offre publique de retrait suivie d'un retrait obligatoire", ajoute le fonds Bridgepoint.
"A 58 ans, je désire organiser ma succession managériale, patrimoniale et familiale. C'est pourquoi, fort de mon expérience réussie avec Apax depuis 2000, je suis heureux de pouvoir continuer à accompagner, aux côtés de Bridgepoint et Apax, le développement et la créativité de l'entreprise au profit de ses partenaires, collaborateurs et clients", explique Alain Afflelou dans un communiqué.
En Bourse, le titre est suspendu.
Par la Tribune
A peine quatre après son introduction en Bourse, la société Alain Afflelou est prête à quitter la cote. Comme le révélait le site Internet d'Investir ce matin, Alain Afflelou et Apax Partners vont céder leurs participations dans l'opticien à une société contrôlée par le fonds d'investissement Bridgepoint, au prix de 33 euros par action. Ce qui valorise la société à près de 500 millions d'euros, soit une prime de plus de 22% par rapport au cours de Bourse du 23 février 2006 et de plus de 27% par rapport à la moyenne des cours de Bourse sur les trois derniers mois.
Techniquement, le véhicule d'acquisition contrôlé par Bridgepoint détiendra 61,1% d'Alain Afflelou, après l'acquisition de blocs d'actions à hauteur de 39% et l'apports en nature du fondateur de l'enseigne et du fonds Apax Partners, à hauteur de 22,1%. Ainsi, Alain Afflelou, qui détient à ce jour 44,18% de l'opticien, cède les deux tiers de sa participation et réinvestit 14,7% dans la société de contrôle d'Alain Afflelou SA. Apax Partners, qui possédait avant l'opération 18,68% d'Alain Afflelou, détiendra ainsi 3,42% de la nouvelle société de contrôle du groupe.
Une fois cette première opération achevée, l'entité de contrôle lancera une OPA sur l'intégralité du capital restant, pour le même prix que celui proposé à Alain Afflelou et Apax Partners. "Cette OPA sera suivie si les conditions le permettent, d'une offre publique de retrait suivie d'un retrait obligatoire", ajoute le fonds Bridgepoint.
"A 58 ans, je désire organiser ma succession managériale, patrimoniale et familiale. C'est pourquoi, fort de mon expérience réussie avec Apax depuis 2000, je suis heureux de pouvoir continuer à accompagner, aux côtés de Bridgepoint et Apax, le développement et la créativité de l'entreprise au profit de ses partenaires, collaborateurs et clients", explique Alain Afflelou dans un communiqué.
En Bourse, le titre est suspendu.
Par la Tribune