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Forfait pour la prochaine coupe du monde, Mourad Meghni a quitté mardi ses coéquipiers algériens avec qui il était en stage en Suisse. Le milieu de terrain des Fennecs a reconnu que s’il s’était écouté, il serait allé au Mondial malgré sa blessure.
« Quand on sait qu’il y a des possibilités de ne pas y être, c’est une chose. Mais quand on te le dit en face, c’est vraiment pas facile. Dimanche, je m’étais entraîné et c’est ce que j’ai eu un peu de mal à comprendre. J’aurais préféré ne pas m’entraîner. Je n’ai pas mal mais il y a quand même une différence de sensations d’appui entre la jambe droite et la gauche. Je comprends que le coach n’ait pas envie de prendre des risques avec moi. Moi, j’étais prêt à prendre le risque, j’aurais pu forcer trois matches pour la Coupe du monde. Je n’avais pas envie de le faire changer d’avis, c’est mieux qu’il ait pris sa décision sans tenir compte de mes états d’âme », avoue avec courage Mourad Meghni dans l’Equipe. Pour l’instant, l’Algérie n’a pas prévu de le remplacer.
Foot01
« Quand on sait qu’il y a des possibilités de ne pas y être, c’est une chose. Mais quand on te le dit en face, c’est vraiment pas facile. Dimanche, je m’étais entraîné et c’est ce que j’ai eu un peu de mal à comprendre. J’aurais préféré ne pas m’entraîner. Je n’ai pas mal mais il y a quand même une différence de sensations d’appui entre la jambe droite et la gauche. Je comprends que le coach n’ait pas envie de prendre des risques avec moi. Moi, j’étais prêt à prendre le risque, j’aurais pu forcer trois matches pour la Coupe du monde. Je n’avais pas envie de le faire changer d’avis, c’est mieux qu’il ait pris sa décision sans tenir compte de mes états d’âme », avoue avec courage Mourad Meghni dans l’Equipe. Pour l’instant, l’Algérie n’a pas prévu de le remplacer.
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