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Cevital compte créer 2000 emplois en 2006

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  • Cevital compte créer 2000 emplois en 2006

    Le patron de Cevital, Issad Rebrab, annonce la création de 2000 emplois en 2006. Un record pour une entreprise privée en Algérie.

    “Je suis très honoré d’être médaillé. Je remercie beaucoup les personnes qui ont pris cette initiative. Je dédie cette médaille à l’ensemble du personnel du groupe Cevital. Grâce aux efforts consentis par les employés, Cevital enregistre une croissance annuelle de plus de 50%. Depuis 6 ans, notre groupe crée annuellement plus de 600 emplois. Mieux, avec les cinq projets industriels que nous avons déjà mis en chantier en 2005 et qui entreront en production en 2006, nous comptons créer quelque 2 000 nouveaux postes d’emploi durant l’année en cours.

    Dans plusieurs secteurs activité, nous avons pu faire, en outre, passer notre pays du stade d’importateur au stade d’exportateur. Nous sommes évidemment aujourd’hui, leader dans l’industrie agroalimentaire, mais nous investissons aussi dans d’autres secteurs tels que la chimie, la pétrochimie, le bâtiment préfabriqué… Par ailleurs, nous avons un grand besoin d’encouragement et de soutien de la part de nos politiciens. Ce sont eux qui font réellement la politique et c’est nous qui allons faire l’économie. Je pense que Cevital a mérité la médaille qu’elle a reçue. Ce qui la motivera à poursuivre ses efforts pour plus d’investissements et la création d’emplois durant les 10 prochaines années.

    D’ici à une dizaine d’années, nous projetons de créer quelque 50 000 postes d’emploi et dans l’industrie et dans les services. Le groupe emploie actuellement plus de 5 000 personnes. Cevital emploie, à elle seule, plus de 3 000 personnes et compte recruter en 2006 plus de 2 000 employés avec l’achèvement des 5 projets industriels en cours de réalisation. La contribution de chaque entreprise au budget de l’État est un devoir national. Cevital est classée de nos jours parmi les sept premières entreprises au niveau national qui contribuent au budget de l’État après Sonatrach, Naftal, Naftec, la SNTA et la Sonelgaz. Ainsi, entre 1999, première année d’activité et 2005, notre contribution au budget de l’État a été multipliée par 11. En réalité, le principal actionnaire au sein des entreprises privées reste l’État à travers la fiscalité. Nous, nous avons réinvesti tous nos bénéfices, mais l’État a touché sa part de la richesse que nous avons créée. Ainsi, plus nous investissons, plus notre contribution au budget de l’État sera importante.”

    Par Liberté
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