La montagne; splendeur et hauteur,
Pic aigu, cime élevée vers le ciel
Se dressaient.
Combien de fois le vent souffle et
Se décourage contre ses remparts.
Laissant les nuages palper ses sommets,
Seules des mèches à travers les brumes
Apparaissaient.
Les échos retournés par sa majestueuse
Barrière, même les sourds les auraient
Entendus.
Elle a vu filer les siècles, même les saisons
Ont laissé des empreintes bien entendu.
Parfois perdant sa jeunesse des printemps,
Comme un vieillard à la coiffure blanche
Se montrait.
Refuge aux cœurs affligés, même les ermites
Se seraient retrouvaient.
Du Kilimandjaro à l’Everest, que de sommets
Aux pas de l’homme, souvent, ont été échappé !
Parfois elle se dressait, seule, au milieu d’un
Désert aux azimuts infinis.
Elle voyait le jour effacer la nuit à chaque
Montée et descente du soleil et la lune
Qui témoignait.
Des arbres surplombaient ses montées, on
Dirait un homme, au corps poilu, allongé.
La forêt, ses poumons, respirait et expirait
Pour que les espèces coexisteraient.
Pic aigu, cime élevée vers le ciel
Se dressaient.
Combien de fois le vent souffle et
Se décourage contre ses remparts.
Laissant les nuages palper ses sommets,
Seules des mèches à travers les brumes
Apparaissaient.
Les échos retournés par sa majestueuse
Barrière, même les sourds les auraient
Entendus.
Elle a vu filer les siècles, même les saisons
Ont laissé des empreintes bien entendu.
Parfois perdant sa jeunesse des printemps,
Comme un vieillard à la coiffure blanche
Se montrait.
Refuge aux cœurs affligés, même les ermites
Se seraient retrouvaient.
Du Kilimandjaro à l’Everest, que de sommets
Aux pas de l’homme, souvent, ont été échappé !
Parfois elle se dressait, seule, au milieu d’un
Désert aux azimuts infinis.
Elle voyait le jour effacer la nuit à chaque
Montée et descente du soleil et la lune
Qui témoignait.
Des arbres surplombaient ses montées, on
Dirait un homme, au corps poilu, allongé.
La forêt, ses poumons, respirait et expirait
Pour que les espèces coexisteraient.
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