Annonce

Réduire
Aucune annonce.

les nouveaux hommes du président

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • les nouveaux hommes du président

    Nacer Mehal : au cœur de la Communication

    Le directeur général de l’Agence presse service (APS) est promu à la tête du ministère de la Communication. Nacer Mehal, 67 ans, est DG de l’APS depuis 2000, après en avoir été le directeur de l’information et le correspondant à Dakar ensuite à Washington. Il avait occupé également les fonctions de directeur de la communication de deux chefs de gouvernement.
    M. Mehal, a été aussi président de l’Association des agences de presse méditerranéennes. Il a lancé un vaste programme de modernisation de l’APS, qu’il a dotée d’une nouvelle plateforme technologique et d’un nouveau siège social. Sa longue expérience dans le secteur de la communication lui permet d’être au fait des développements ressentis ces dernières années, une expérience qu’il ne manquera pas de mettre au service de la promotion de tous les segments et activités reliées à ce secteur.
    Youcef Yousfi : l’expert en énergie de retour
    Youcef Yousfi vient de remplacer Chakib Khelil à la tête du ministère de l’Energie et des Mines. Ce n’est qu’un retour, puisqu’il a déjà occupé ce poste en 1997 du temps du président Liamine Zeroual, auprès duquel il était également conseiller. Né le 2 octobre 1941, Yousfi est père de trois enfants. Il a assumé plusieurs hautes fonctions au sein de l’Etat. Diplômé de l’Ecole nationale supérieure des industries chimiques en France, il a également obtenu un PHD en physique à l’université de Nancy et un autre diplôme en économie.
    Passant par Sonatrach, où il avait assuré la vice-présidence du marketing en 1970, puis la direction en 1985, et l’université Houari-Boumediène de Bab Ezzouar, où il fut professeur en génie chimique, puis directeur de l’Institut de chimie, Yousfi a été nommé ministre des Affaires étrangères en 1999 par le président Abdelaziz Bouteflika. Il a également assuré la présidence de l’Opep. En 2001, il devient ambassadeur d’Algérie au Canada et en 2006 aux Nations unies.
    Halim Benatallah : le diplomate attitré
    Halim Benatallah vient d’être promu au rang de Secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires Etrangères, chargé de la communauté nationale à l’étranger. Une nomination qui vient à point nommé après une longue expérience dans la diplomatie.
    En effet, Benatallah a été ambassadeur d’Algérie à Bruxelles de 2002 à 2008.
    Il a eu, entre autres, à gérer le dossier de l’accord d’association Algérie-UE, après avoir assuré la direction Europe au ministère des Affaires étrangères. En le plaçant à la tête de ce portefeuille «rapatrié» par le MAE du ministère de la Solidarité, le président de la République le met au défi de régler les problèmes consulaires et diplomatiques ardus, mais aussi le pari de fédérer la diaspora algérienne, notamment en Europe.
    Abdallah Khanafou : une longue expérience dans les ports
    Le nouveau ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, issu du récent remaniement effectué par le président de la République, est député du Mouvement de la société pour la paix (MSP) depuis 2007. Abdallah Khanafou est né le 6 mars 1951 à Khemis (Tlemcen). Il est père de trois enfants. Il a effectué ses études primaires et secondaires dans sa localité, avant de rejoindre l’Institut algérien du pétrole à Boumerdès, d’où il est sorti ingénieur d’Etat en pétrochimie.
    Sa carrière professionnelle commence en 1977 en tant qu’ingénieur de production au complexe d’Arzew, et ce jusqu’en 1980, puis responsable des infrastructures au niveau du nouveau port d’Arzew jusqu’en 1982. C’est à partir de cette date qu’il assurera la direction de l’exploitation à la tête du port de Ghazaouet, et ce, jusqu’en 2007, avant d’accèder à la députation.
    Moussa Benhamadi : un homme au fait des télécoms
    La promotion de Moussa Benhamadi à la tête du ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la Communication, en remplacement de Hamid Bessalah n’est pas fortuite, dans la mesure où il cumule une bonne expérience dans le secteur des télécommunications, étant à la tête de l’opérateur historique, au cœur de tous les projets y afférents dans le pays.
    Moussa Benhamadi a dirigé le Cerist jusqu’en 2002, avant d’être élu député à l’Assemblée populaire nationale sur les listes FLN. Âgé de 55 ans, Moussa Benhamadi a occupé de hauts postes dans l’enseignement et présidé quantité d’instances officielles. Il dirige notamment la commission nationale d’enseignement virtuel de février 2003 jusqu’à sa nomination.
    Il est aussi membre du Comité national pour l’aménagement du territoire «Algérie 2025».
    Mohamed Benmeradi : des domaines à l’industrie
    Mohamed Benmeradi vient d’être nommé ministre de l’Industrie, de la Petite et Moyenne entreprise, et de la Promotion de l’investissement. Le dernier poste, occupé par ce nouveau ministre, est la direction générale du domaine national, rattachée au ministère des Finances. Cet homme spécialiste des domaines, qui se voit désigné à la tête d’un portefeuille ministériel quelque peu «réaménagé», aura du pain sur la planche, en héritant d’un segment aussi lourd que l’industrie. Il aura à parachever les différentes restructurations insufflées du temps de Hamid Temmar, notamment le dossier de la nouvelle stratégie industrielle.
    Ali Boukrami : un expert au service de la statistique
    Le professeur Sid-Ali Boukrami est un économiste bien connu pour avoir produit plusieurs œuvres portant sur la finance et l’économie notamment.
    Il vient en effet d’hériter du portefeuille de Secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Prospective et de la Statistique, chargé de la statistique. Un secteur aussi sensible qu’important. Récemment, il a été installé dans ses fonctions de commissaire au plan par le ministre des Finances Karim Djoudi.
    Auparavant, il a exercé comme directeur général de l’Institut des études douanières et fiscales de Koléa. Il a également été désigné en tant que président de la Cosob, vice-recteur dans les années 80, directeur de l’Institut de commerce et professeur d’économie universitaire.

  • #2
    les nouveaux hommes du président
    Avec Robert Redford?
    Quiconque apprend la langue d'un peuple se préservera de ses mauvais desseins. Mohammed (psl)

    Commentaire

    Chargement...
    X