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Algérie et le Maroc
Ouvrir la frontière
Est-ce que la longue impasse entre les deux grands rivaux du maghreb aura jamais une fin?
MAROCAINS appellent la vaste région aride et long de leur frontière avec l'Algérie "l'Oriental".Pendant des siècles, le commerce s'affairaient entre leurs ancienne capitale, Fès, et les villes sur la côte ouest de l'actuelle Algérie, comme Oran. Pèlerins traversent sur leur chemin au Moyen-Orient. Ibn Battuta, un grand explorateur du 14ème siècle musulmans, partit de Tanger, sur la pointe nord-ouest du Maroc, sur ses pérégrinations de 30 ans qui l'a mené jusqu'en Chine.
Hélas, il n'y a pas ibn Battutas aujourd'hui, si ce n'est que parce que la frontière entre le Maroc et l'Algérie, qui s'étend sur 1,559 km (969 miles), ou 1,601 km si vous incluez un tronçon plus long du territoire contesté du Sahara occidental, a été fermé pendant près de 16 ans. En 1994, Algérie a fermer la frontiere après que le gouvernement du Maroc imposé des visas aux voyageurs algériens à la suite d'une attaque de la guérilla sur l'Hôtel Atlas Asni à Marrakech, où les Marocains soupçonnés Algérie d'avoir une main. Des milliers de résidents algériens et les touristes ont été sommairement expulsé.
La ligne du Sahara occidental n' a fait qu'empirer les choses. Depuis 35 ans, depuis le départ de l'Espagne, le territoire a été disputée entre le Front Polisario, qui veut l'indépendance, et le gouvernement marocain, qui a offert l'autonomie. Les Algériens ont travaillé sans relâche soutenu Polisario. Le conflit est à peine plus d'une résolution, même si le Maroc a réussi à garder la guérilla du Polisario militaire aux abois.
Même en laissant de côté le Sahara occidental, l'incident Atlas Asni est encore un obstacle important pour de meilleures relations. Il empêche également l'intégration économique entre les pays du Maghreb en général. L'Union du Maghreb arabe (UMA), une organisation professionnelle créée en 1989 pour encourager le libre-échange entre l'Algérie, la Libye, la Mauritanie, le Maroc et la Tunisie, a omis de tenir une réunion au sommet depuis 1994, en partie en raison de la cracha algéro-marocaine. Le commerce dans les comptes quintet UMA pour un maigre 2% de ce que la région entretient avec l'ensemble du reste du monde.
le roi Mohamed VI a commencé à essayer de sortir cette situation de l'impasse en 2004, quand il laisse les Algériens visiter son pays sans visa. Président de l'Algérie, Abdelaziz Bouteflika, a rendu la pareille l'année prochaine, mais a refusé de rouvrir la frontière, malgré moyen Roi Mohammed en 2008 et l'insistance des États-Unis et l'Union européenne. Algérie peut encore ressentir de l'amertume au sujet de l'expulsion après l'attaque hôtel de 1994, mais il est aussi nerveux pour peur que le Maroc utilise la question de la frontière comme un levier pour obtenir de l' Algérie à faire marche arrière sur le Sahara occidental. Algérie insiste sur le fait encore, à l'irritation du Maroc, qu'il devrait y avoir un référendum en vertu d'un accord international signé en 2003. La question non résolue a alimenté la rivalité pour la domination de la région du Maghreb, dans lequel les deux pays sont de loin le plus important en termes de population: Le Maroc a 32m de personnes, l'Algérie 35.
Les frontières plongent dans les ténèbres
Les villes marocaines telles que Oujda, a dix minutes de la frontière algerienne, ont été durement touchés. Malgré les efforts pour réorienter l'économie de la région vers le tourisme et pour tracer la surface dans le moyeu du Maroc sur l'Atlantique, le chômage local est deux fois et demi le taux national officiel de 10%. Les envois de fonds en provenance d'Europe offrent probablement la principale source de revenu de la région: près d'un tiers des Marocains 3M-qui travaillent à la grêle de l'UE de la région de l'Est. Leur roi a récemment visité Oujda à lancer des plans pour de nouvelles usines et l'infrastructure, ce qui implique qu'il ne pouvait pas attendre de l'Algérie à ouvrir. Pourtant, l'ouverture des frontières au commerce serait manifestement apporter un véritable boom.
Des signes d' appaisement entre les deux pays sont, toutefois, évident. Indépendamment de la politique, les hommes d'affaires font leur propre chemin. Plus d'Algériens maintenant prennent des vacances en Maroc enjoué, même s' ils doivent aller par avion, et les entreprises marocaines tentent d'apporter leur savoir-faire à l'Algérie, qui est riche en pétrole et gaz, mais obstinément hostile aux marchés et aux affaires mondiales. Depuis 2007, les services de renseignement des deux pays ont tenu des réunions régulières sur la lutte contre le terrorisme, en vue d'une menace commune de djihadistes. Et les fonctionnaires UMA ont convenu de mettre en place un Maghreb de coopération douanière du Conseil dont le siège est à Alger et un centre de formation dans la capitale commerciale du Maroc, Casablanca. Un homme de l'ONU appelle «le coup le plus important au cours des années vers la réconciliation."
Edited google translation
De la revue The Economist
Ouvrir la frontière
Est-ce que la longue impasse entre les deux grands rivaux du maghreb aura jamais une fin?
MAROCAINS appellent la vaste région aride et long de leur frontière avec l'Algérie "l'Oriental".Pendant des siècles, le commerce s'affairaient entre leurs ancienne capitale, Fès, et les villes sur la côte ouest de l'actuelle Algérie, comme Oran. Pèlerins traversent sur leur chemin au Moyen-Orient. Ibn Battuta, un grand explorateur du 14ème siècle musulmans, partit de Tanger, sur la pointe nord-ouest du Maroc, sur ses pérégrinations de 30 ans qui l'a mené jusqu'en Chine.
Hélas, il n'y a pas ibn Battutas aujourd'hui, si ce n'est que parce que la frontière entre le Maroc et l'Algérie, qui s'étend sur 1,559 km (969 miles), ou 1,601 km si vous incluez un tronçon plus long du territoire contesté du Sahara occidental, a été fermé pendant près de 16 ans. En 1994, Algérie a fermer la frontiere après que le gouvernement du Maroc imposé des visas aux voyageurs algériens à la suite d'une attaque de la guérilla sur l'Hôtel Atlas Asni à Marrakech, où les Marocains soupçonnés Algérie d'avoir une main. Des milliers de résidents algériens et les touristes ont été sommairement expulsé.
La ligne du Sahara occidental n' a fait qu'empirer les choses. Depuis 35 ans, depuis le départ de l'Espagne, le territoire a été disputée entre le Front Polisario, qui veut l'indépendance, et le gouvernement marocain, qui a offert l'autonomie. Les Algériens ont travaillé sans relâche soutenu Polisario. Le conflit est à peine plus d'une résolution, même si le Maroc a réussi à garder la guérilla du Polisario militaire aux abois.
Même en laissant de côté le Sahara occidental, l'incident Atlas Asni est encore un obstacle important pour de meilleures relations. Il empêche également l'intégration économique entre les pays du Maghreb en général. L'Union du Maghreb arabe (UMA), une organisation professionnelle créée en 1989 pour encourager le libre-échange entre l'Algérie, la Libye, la Mauritanie, le Maroc et la Tunisie, a omis de tenir une réunion au sommet depuis 1994, en partie en raison de la cracha algéro-marocaine. Le commerce dans les comptes quintet UMA pour un maigre 2% de ce que la région entretient avec l'ensemble du reste du monde.
le roi Mohamed VI a commencé à essayer de sortir cette situation de l'impasse en 2004, quand il laisse les Algériens visiter son pays sans visa. Président de l'Algérie, Abdelaziz Bouteflika, a rendu la pareille l'année prochaine, mais a refusé de rouvrir la frontière, malgré moyen Roi Mohammed en 2008 et l'insistance des États-Unis et l'Union européenne. Algérie peut encore ressentir de l'amertume au sujet de l'expulsion après l'attaque hôtel de 1994, mais il est aussi nerveux pour peur que le Maroc utilise la question de la frontière comme un levier pour obtenir de l' Algérie à faire marche arrière sur le Sahara occidental. Algérie insiste sur le fait encore, à l'irritation du Maroc, qu'il devrait y avoir un référendum en vertu d'un accord international signé en 2003. La question non résolue a alimenté la rivalité pour la domination de la région du Maghreb, dans lequel les deux pays sont de loin le plus important en termes de population: Le Maroc a 32m de personnes, l'Algérie 35.
Les frontières plongent dans les ténèbres
Les villes marocaines telles que Oujda, a dix minutes de la frontière algerienne, ont été durement touchés. Malgré les efforts pour réorienter l'économie de la région vers le tourisme et pour tracer la surface dans le moyeu du Maroc sur l'Atlantique, le chômage local est deux fois et demi le taux national officiel de 10%. Les envois de fonds en provenance d'Europe offrent probablement la principale source de revenu de la région: près d'un tiers des Marocains 3M-qui travaillent à la grêle de l'UE de la région de l'Est. Leur roi a récemment visité Oujda à lancer des plans pour de nouvelles usines et l'infrastructure, ce qui implique qu'il ne pouvait pas attendre de l'Algérie à ouvrir. Pourtant, l'ouverture des frontières au commerce serait manifestement apporter un véritable boom.
Des signes d' appaisement entre les deux pays sont, toutefois, évident. Indépendamment de la politique, les hommes d'affaires font leur propre chemin. Plus d'Algériens maintenant prennent des vacances en Maroc enjoué, même s' ils doivent aller par avion, et les entreprises marocaines tentent d'apporter leur savoir-faire à l'Algérie, qui est riche en pétrole et gaz, mais obstinément hostile aux marchés et aux affaires mondiales. Depuis 2007, les services de renseignement des deux pays ont tenu des réunions régulières sur la lutte contre le terrorisme, en vue d'une menace commune de djihadistes. Et les fonctionnaires UMA ont convenu de mettre en place un Maghreb de coopération douanière du Conseil dont le siège est à Alger et un centre de formation dans la capitale commerciale du Maroc, Casablanca. Un homme de l'ONU appelle «le coup le plus important au cours des années vers la réconciliation."
Edited google translation
De la revue The Economist