J'estime être pleinement concerné par le topic, vu que je suis célibataire depuis quelques années, et que je sois en âge de fonder une famille.
J'ai longtemps, et de tout temps focalisé mon énergie à comprendre les raisons de mon célibat.
Mais comme toute chose relevant du caractère humain, la complexité liée à la compréhension du phénomène résulte d'une quantité de paramètres non négligeable qui ponctue la grande équation.
Nous autres hommes sommes différents les uns des autres, en dépit de notre tendance aux réactions mécaniques, et l'indéfectible détachement dont nous faisons preuve dans nos relations intimes.
Il y a les peinés, les mal-aimés, les dorés, les hommes à femmes, les carriéristes, les séducteurs, les ténébreux, les voyous, et les niais. Tant d'hommes ayant pourtant tous des raisons différents de rester célibataire.
Il y a de quoi écrire un bouquin rien qu'avec cette brochette.
Tout commence par une notion de choix. Le principe du libre arbitre, qui conforte une situation inconfortable : être seul.
Ce choix, contrairement à tout autre choix n'est pas préalablement justifié. Il se justifie de lui-même avec le temps. Plusieurs causes, toutes aussi tangibles, viennent fortifier l'édifice.
Une fois convaincus que ce choix, est la meilleure protection contre l'inextricable fébrilité de la dépendance affective, et des tares innombrables dont nous sommes pourvus, nous autres primates dans la gestion, et la dynamique de couple.
Il y aura d'autres femmes, considérées pour la plupart comme un exutoire.
Il y aura d'autres femmes, dont la seule présence réveillerait mille un démons, tapis au fond de nous.
Il y aura d'autres femmes, qui nous feront comprendre que nos choix sont justifiés, et d'autres qui détruiront nos convictions par un simple geste.
En deçà, nous resterons toujours inébranlables, imperturbables, jusqu'à ce que nous combattions nous-mêmes nos démons, et arrivions à une vérité absolue. Une vérité aussi éclatante que le soleil.
La peur...
Nous avons peur du changement. De la dépendance, de la réduction du temps imparti à nos bacs à sable. Nous avons peur de nous-mêmes, de décevoir, d'être déçus. Peur de ne plus pouvoir reculer. Peur d'être responsables. Peur d'aimer, et être trahis. Peur de se sentir aimés, et être trahis. Peur de ne plus être un chasseur. Peur de passer à côté de toutes les autres femmes. Peur de ne faire l'amour qu'à une seule femme des années durant. Peur de ne plus être adulés.
Nous avons peur...
Je pense qu'une fois la peur dépassée. Nous sommes capables d'aimer une femme comme nous avions aimé nos premiers amours adolescents. D'un amour pur et sincère, dénué de calculs, de craintes, et de jugements.
Cela n'est que mon avis, et n'engage que ma propre réflexion sur le sujet.
Et en ce qui me concerne. Je découvre certaines de mes peurs, et j'essaie de comprendre pourquoi sont t-elles encore là. A la fin de cette quête, j'ai l'intime conviction que je finirai par trouver chaussure à mon pied. Et je vous prie de me croire que ce n'est pas une mince affaire.
Les hommes sont de grands enfants, il faut parfois leur tenir la main avec une subtilité et un tact imperceptible, du au fait qu'ils soient grands.
Mesdemoiselles, nous vous aimons. Mais le temps joue contre vous, compte tenu de la durée nécessaire à notre compréhension de points essentiels à notre propre accomplissement.
J'ai longtemps, et de tout temps focalisé mon énergie à comprendre les raisons de mon célibat.
Mais comme toute chose relevant du caractère humain, la complexité liée à la compréhension du phénomène résulte d'une quantité de paramètres non négligeable qui ponctue la grande équation.
Nous autres hommes sommes différents les uns des autres, en dépit de notre tendance aux réactions mécaniques, et l'indéfectible détachement dont nous faisons preuve dans nos relations intimes.
Il y a les peinés, les mal-aimés, les dorés, les hommes à femmes, les carriéristes, les séducteurs, les ténébreux, les voyous, et les niais. Tant d'hommes ayant pourtant tous des raisons différents de rester célibataire.
Il y a de quoi écrire un bouquin rien qu'avec cette brochette.
Tout commence par une notion de choix. Le principe du libre arbitre, qui conforte une situation inconfortable : être seul.
Ce choix, contrairement à tout autre choix n'est pas préalablement justifié. Il se justifie de lui-même avec le temps. Plusieurs causes, toutes aussi tangibles, viennent fortifier l'édifice.
Une fois convaincus que ce choix, est la meilleure protection contre l'inextricable fébrilité de la dépendance affective, et des tares innombrables dont nous sommes pourvus, nous autres primates dans la gestion, et la dynamique de couple.
Il y aura d'autres femmes, considérées pour la plupart comme un exutoire.
Il y aura d'autres femmes, dont la seule présence réveillerait mille un démons, tapis au fond de nous.
Il y aura d'autres femmes, qui nous feront comprendre que nos choix sont justifiés, et d'autres qui détruiront nos convictions par un simple geste.
En deçà, nous resterons toujours inébranlables, imperturbables, jusqu'à ce que nous combattions nous-mêmes nos démons, et arrivions à une vérité absolue. Une vérité aussi éclatante que le soleil.
La peur...
Nous avons peur du changement. De la dépendance, de la réduction du temps imparti à nos bacs à sable. Nous avons peur de nous-mêmes, de décevoir, d'être déçus. Peur de ne plus pouvoir reculer. Peur d'être responsables. Peur d'aimer, et être trahis. Peur de se sentir aimés, et être trahis. Peur de ne plus être un chasseur. Peur de passer à côté de toutes les autres femmes. Peur de ne faire l'amour qu'à une seule femme des années durant. Peur de ne plus être adulés.
Nous avons peur...
Je pense qu'une fois la peur dépassée. Nous sommes capables d'aimer une femme comme nous avions aimé nos premiers amours adolescents. D'un amour pur et sincère, dénué de calculs, de craintes, et de jugements.
Cela n'est que mon avis, et n'engage que ma propre réflexion sur le sujet.
Et en ce qui me concerne. Je découvre certaines de mes peurs, et j'essaie de comprendre pourquoi sont t-elles encore là. A la fin de cette quête, j'ai l'intime conviction que je finirai par trouver chaussure à mon pied. Et je vous prie de me croire que ce n'est pas une mince affaire.
Les hommes sont de grands enfants, il faut parfois leur tenir la main avec une subtilité et un tact imperceptible, du au fait qu'ils soient grands.
Mesdemoiselles, nous vous aimons. Mais le temps joue contre vous, compte tenu de la durée nécessaire à notre compréhension de points essentiels à notre propre accomplissement.
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