Je sentais la rose éclore, à fleur de ta peau, et ton cœur qui bat,
Tes fruits mûris et la vallée de notre joie qui naissait là bas
Je sentais ta douceur avec l’aurore qui se lève
Tout était fleuri sur tes lèvres qui murmuraient tout bas
Je sentais les veines de la grande tendresse pleines
Ses mains faisaient mes voluptés soudaines
Je sentais l’amande trébucher sous tes yeux
Tout était bonheur sous nos sept cieux
Je sens ta colère, folle de mes doigts,
Descendre comme la foudre se fondre sur moi
Je sens ta mer qui s’agite et ton amour qui palpite
Tout a bondi avec la tempête qu’émerge de toi
Je sens les puissants pas du jour fuyant la nuit
Descendre sur mes envies faisant des adieux
Aux lamentables heures révolues…
Qu’il fasse le printemps ou le beau temps avec la pluie,
Et même si le cœur incandescent s’ennuie,
Heureux comme je suis, j’aspire le vent et courtise la vie
Tes fruits mûris et la vallée de notre joie qui naissait là bas
Je sentais ta douceur avec l’aurore qui se lève
Tout était fleuri sur tes lèvres qui murmuraient tout bas
Je sentais les veines de la grande tendresse pleines
Ses mains faisaient mes voluptés soudaines
Je sentais l’amande trébucher sous tes yeux
Tout était bonheur sous nos sept cieux
Je sens ta colère, folle de mes doigts,
Descendre comme la foudre se fondre sur moi
Je sens ta mer qui s’agite et ton amour qui palpite
Tout a bondi avec la tempête qu’émerge de toi
Je sens les puissants pas du jour fuyant la nuit
Descendre sur mes envies faisant des adieux
Aux lamentables heures révolues…
Qu’il fasse le printemps ou le beau temps avec la pluie,
Et même si le cœur incandescent s’ennuie,
Heureux comme je suis, j’aspire le vent et courtise la vie
Commentaire