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Le veto protecteur
Le tollé général provoqué par cet énième crime, marqué notamment par la convocation des ambassadeurs israéliens dans plusieurs capitales européennes pour expliquer l’acte ignoble, n’a pas freiné l’ardeur de l’administration US à protéger Tel-Aviv, quitte à voir le sentiment anti-américain s’accroître davantage.
Le Conseil de sécurité des Nations unies a de nouveau montré ses limites à agir quand il s’agit de condamner Israël. Washington n’a pas hésité, comme à son habitude, de recourir à son droit de veto pour empêcher la condamnation de l’État hébreu. Pourtant cette fois-ci, les victimes de l’acte criminel israélien sont des humanitaires qui venaient desserrer l’étau sur un peuple martyre privé de tout par un blocus inhumain depuis 1997.
Malgré cela, l’organe exécutif de l’Organisation des Nations unies a démontré, une fois de plus, que son pouvoir était concentré entre les mains de ses membres permanents, en particulier les États-Unis qui abusent du droit de veto pour éviter des condamnations et des sanctions à Israël. Sans gêne aucune, les États-Unis ont réaffirmé leur soutien à un État terroriste qui ne recule devant rien pour asservir les Palestiniens.
Le tollé général provoqué par cet énième crime, marqué notamment par la convocation des ambassadeurs israéliens dans plusieurs capitales européennes pour expliquer l’acte ignoble, n’a pas freiné l’ardeur de l’administration US à protéger Tel-Aviv, quitte à voir le sentiment anti-américain s’accroître davantage.
En effet, la rue arabe et musulmane ne s’est pas privée de montrer sa colère contre Israël et ses alliés. La réaction d’Ankara a été la plus virulente, car elle a ouvertement affiché son ire contre son ancien allié. Ceci a amené des analystes à dire que les “Turcs ont été plus arabes que les Arabes” dans la condamnation de l’assaut contre les humanitaires de la “flottille de la liberté”. Il faut dire que le gouvernement Erdogan n’a pas mâché ses mots pour qualifier l’acte israélien.
Ankara réfléchit même à l’opportunité de lancer des poursuites judiciaires contre Israël, pour qu’il réponde de ses crimes devant les juridictions internationales compétentes. Mais, là aussi, la Turquie risque de buter sur les obstacles que dresseront sur son chemin les éternels protecteurs d’Israël.
Liberté
Le tollé général provoqué par cet énième crime, marqué notamment par la convocation des ambassadeurs israéliens dans plusieurs capitales européennes pour expliquer l’acte ignoble, n’a pas freiné l’ardeur de l’administration US à protéger Tel-Aviv, quitte à voir le sentiment anti-américain s’accroître davantage.
Le Conseil de sécurité des Nations unies a de nouveau montré ses limites à agir quand il s’agit de condamner Israël. Washington n’a pas hésité, comme à son habitude, de recourir à son droit de veto pour empêcher la condamnation de l’État hébreu. Pourtant cette fois-ci, les victimes de l’acte criminel israélien sont des humanitaires qui venaient desserrer l’étau sur un peuple martyre privé de tout par un blocus inhumain depuis 1997.
Malgré cela, l’organe exécutif de l’Organisation des Nations unies a démontré, une fois de plus, que son pouvoir était concentré entre les mains de ses membres permanents, en particulier les États-Unis qui abusent du droit de veto pour éviter des condamnations et des sanctions à Israël. Sans gêne aucune, les États-Unis ont réaffirmé leur soutien à un État terroriste qui ne recule devant rien pour asservir les Palestiniens.
Le tollé général provoqué par cet énième crime, marqué notamment par la convocation des ambassadeurs israéliens dans plusieurs capitales européennes pour expliquer l’acte ignoble, n’a pas freiné l’ardeur de l’administration US à protéger Tel-Aviv, quitte à voir le sentiment anti-américain s’accroître davantage.
En effet, la rue arabe et musulmane ne s’est pas privée de montrer sa colère contre Israël et ses alliés. La réaction d’Ankara a été la plus virulente, car elle a ouvertement affiché son ire contre son ancien allié. Ceci a amené des analystes à dire que les “Turcs ont été plus arabes que les Arabes” dans la condamnation de l’assaut contre les humanitaires de la “flottille de la liberté”. Il faut dire que le gouvernement Erdogan n’a pas mâché ses mots pour qualifier l’acte israélien.
Ankara réfléchit même à l’opportunité de lancer des poursuites judiciaires contre Israël, pour qu’il réponde de ses crimes devant les juridictions internationales compétentes. Mais, là aussi, la Turquie risque de buter sur les obstacles que dresseront sur son chemin les éternels protecteurs d’Israël.
Liberté
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