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Les maladies rhumatismales sont en progression en Algérie où des dizaines de milliers d’Algériens en sont affectés. On parle même de plusieurs millions en l’absence de statistiques fiables.
Parmi les plus fréquentes, il y a lieu de citer l’arthrose qui ne cesse de progresser et qui touche près de 3 millions de personnes découvrant à leurs dépens cette pathologie, ses effets et sa douleur, la polyarthrite rhumatoïde, la goutte, l’ostéoporose et la fibromyalgie.
Ces maladies touchent particulièrement les sujets âgés, certaines d’entre elles affectent aussi les jeunes et les personnes victimes de traumatismes. Les rhumatismes ont pour causes, principalement, des facteurs environnementaux, telle l’humidité, mais des spécialistes poussent les assertions plus loin en affirmant que certaines, comme la polyarthrite rhumatoïde, peuvent aussi être provoquées par des conditions de travail pénibles, alors que, pour d’autres, cette forme de rhumatisme reste d’origine inconnue.
Si on ne peut pas prévenir ces affections qui se manifestent et évoluent différemment, la plupart devenant invalidantes, il est en tout cas nécessaire de recourir à un diagnostic aussitôt que la maladie se déclare. Comme pour toutes les pathologies, le dépistage précoce est seul en mesure de permettre une prise en charge immédiate, et d’éviter des complications.
Ce n’est malheureusement pas le cas, de nombreux malades ne se présentant pour auscultation qu’une fois parvenus à un stade avancé et les dégâts étant irréversibles. Les parties touchées du corps sont irrémédiablement déformées, ce qui peut même entraîner un handicap.
La pathologie de la main, un organe qui peut, lui aussi, être touché par certaines affectations des os, préoccupe de plus en plus les médecins qui conseillent tout un chacun d’en prendre soin.
L’absence de centres spécialisés invalide sérieusement les malades, alors que les nombreux médicaments existant en officine et devant uniquement intervenir sur la douleur ont pratiquement tous révélé leur inefficacité.
La seule thérapeutique en mesure de traiter les maladies rhumatismales consiste en la biothérapie qui est effectuée en milieu hospitalier. La particularité de cette thérapie qui repose sur une nouvelle génération de médicaments est qu’elle exige que les malades soient suivis de près par les médecins spécialistes en rhumatologie. .
Par la Tribune
Parmi les plus fréquentes, il y a lieu de citer l’arthrose qui ne cesse de progresser et qui touche près de 3 millions de personnes découvrant à leurs dépens cette pathologie, ses effets et sa douleur, la polyarthrite rhumatoïde, la goutte, l’ostéoporose et la fibromyalgie.
Ces maladies touchent particulièrement les sujets âgés, certaines d’entre elles affectent aussi les jeunes et les personnes victimes de traumatismes. Les rhumatismes ont pour causes, principalement, des facteurs environnementaux, telle l’humidité, mais des spécialistes poussent les assertions plus loin en affirmant que certaines, comme la polyarthrite rhumatoïde, peuvent aussi être provoquées par des conditions de travail pénibles, alors que, pour d’autres, cette forme de rhumatisme reste d’origine inconnue.
Si on ne peut pas prévenir ces affections qui se manifestent et évoluent différemment, la plupart devenant invalidantes, il est en tout cas nécessaire de recourir à un diagnostic aussitôt que la maladie se déclare. Comme pour toutes les pathologies, le dépistage précoce est seul en mesure de permettre une prise en charge immédiate, et d’éviter des complications.
Ce n’est malheureusement pas le cas, de nombreux malades ne se présentant pour auscultation qu’une fois parvenus à un stade avancé et les dégâts étant irréversibles. Les parties touchées du corps sont irrémédiablement déformées, ce qui peut même entraîner un handicap.
La pathologie de la main, un organe qui peut, lui aussi, être touché par certaines affectations des os, préoccupe de plus en plus les médecins qui conseillent tout un chacun d’en prendre soin.
L’absence de centres spécialisés invalide sérieusement les malades, alors que les nombreux médicaments existant en officine et devant uniquement intervenir sur la douleur ont pratiquement tous révélé leur inefficacité.
La seule thérapeutique en mesure de traiter les maladies rhumatismales consiste en la biothérapie qui est effectuée en milieu hospitalier. La particularité de cette thérapie qui repose sur une nouvelle génération de médicaments est qu’elle exige que les malades soient suivis de près par les médecins spécialistes en rhumatologie. .
Par la Tribune