Récemment le guide de la Révolution libyenne, le colonel Mouammar Kadhafi a reçu une délégation marocaine à qui il a exprimé ses préoccupations notamment sur les relations algéro- marocaines et sur le retour du Royaume chérifien au sein de la grande famille politique africaine. Le chef de la Jamahiriya arabe libyenne serait- il prêt à jouer les bons offices pour des relations plus cordiales entre l’Algérie et le Maroc ? On est tenté de le croire, car le No1 libyen, en sa qualité de président de l’actuelle session de la Ligue arabe, semble bien se soucier de certains problèmes qui minent les relations entre les différents Etats de la sous-région.
C’est ainsi qu’il a déploré le 30 mai 2010r, la fermeture de la frontière entre le Maroc et son voisin, l’Algérie. Pour rappel, ces deux pays frères ont vu leurs relations être sérieusement détériorées par la question du Sahara occidental. Le soutien affiché de l’Algérie au Polisario, un mouvement que le Maroc considère comme terroriste, constitue l’une des raisons essentielles de la brouille. Depuis de longues années, les frontières sont restées fermées entre les deux pays, leur causant un préjudice économique considérable. Or, fera remarquer le guide libyen, le Maroc a joué un rôle déterminant dans le triomphe de la Révolution algérienne.
Toujours au chapitre des questions relatives au Maghreb, le colonel Kadhafi a encouragé la préservation de la langue arabe et la création de l’Union arabe. Au plan continental, il a regretté le retrait du Royaume de l’Union africaine, ce qui a ses yeux, constitue une grande perte pour l’Afrique. Aussi a-t-il émis le souhait de voir le Maroc reprendre au plus vite sa place dans la grande famille africaine. La délégation marocaine composée d’hommes politiques, de parlementaires, de syndicalistes et d’hommes de médias a également été reçue par le chef du parlement libyen, M. Mohamed Abou Al Kacem Zaoui.
Celui-ci n’a pas manqué de soutenir l’intégrité territoriale du Royaume. Il a notamment évoqué la question du Sahara marocain et des enclaves de Ceuta et de Melilla, deux territoires marocains sous administration espagnole. Au total, le chef du Congrès général du peuple, (Assemblée nationale) a apporté un soutien on ne peut plus clair à la cause marocaine sur ces deux questions touchant à l’intégrité territoriale du Royaume.
Source : l'inter
C’est ainsi qu’il a déploré le 30 mai 2010r, la fermeture de la frontière entre le Maroc et son voisin, l’Algérie. Pour rappel, ces deux pays frères ont vu leurs relations être sérieusement détériorées par la question du Sahara occidental. Le soutien affiché de l’Algérie au Polisario, un mouvement que le Maroc considère comme terroriste, constitue l’une des raisons essentielles de la brouille. Depuis de longues années, les frontières sont restées fermées entre les deux pays, leur causant un préjudice économique considérable. Or, fera remarquer le guide libyen, le Maroc a joué un rôle déterminant dans le triomphe de la Révolution algérienne.
Toujours au chapitre des questions relatives au Maghreb, le colonel Kadhafi a encouragé la préservation de la langue arabe et la création de l’Union arabe. Au plan continental, il a regretté le retrait du Royaume de l’Union africaine, ce qui a ses yeux, constitue une grande perte pour l’Afrique. Aussi a-t-il émis le souhait de voir le Maroc reprendre au plus vite sa place dans la grande famille africaine. La délégation marocaine composée d’hommes politiques, de parlementaires, de syndicalistes et d’hommes de médias a également été reçue par le chef du parlement libyen, M. Mohamed Abou Al Kacem Zaoui.
Celui-ci n’a pas manqué de soutenir l’intégrité territoriale du Royaume. Il a notamment évoqué la question du Sahara marocain et des enclaves de Ceuta et de Melilla, deux territoires marocains sous administration espagnole. Au total, le chef du Congrès général du peuple, (Assemblée nationale) a apporté un soutien on ne peut plus clair à la cause marocaine sur ces deux questions touchant à l’intégrité territoriale du Royaume.
Source : l'inter
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