Mansouri : «C’est trop d’ingratitude tout ça !»
Honte à ceux qui ont fait pleurer Mansouri !
A la fin du match, Yazid Mansouri était l’homme le plus malheureux sur terre, à cause de cette ingratitude qui lui a été servie méchamment des tribunes par certains supporters. Et pourtant, le capitaine courage a pris sur lui durant toutes les 70 minutes qu’il est resté sur le terrain.
Lorsque la bêtise épouse la lâcheté
Lorsque la bêtise humaine dépasse celle des animaux, on ne peut rien faire contre ses auteurs.
Car siffler et huer un joueur qui a été, pour le moins, l’un des meilleurs sur le terrain, cela relève de l’aveuglement. Pire, cela s’apparente tout simplement à de la lâcheté. Car pousser un homme aussi gentil, aussi dévoué à son pays et à l’Equipe nationale à pleurer, cela ne s’est vu nulle part ailleurs. Qu’a-t-il fait de pire que les autres pour mériter un tel sort ? Rien, si ce n’est d’être confronté à une concurrence dont il s’est sorti vainqueur depuis 10 ans, par la seule force de son talent.
Vous avez joué 70 minutes avant de céder votre place. Comment vous êtes-vous senti physiquement ?
Ça va, hamdoullah, je me suis dépensé à fond et j’ai eu de bonnes sensations d’un point de vue personnel. Tout se passait bien pour moi, si ce n’était cette pression du public qui m’a un peu vexé. C’est difficile de vivre une soirée comme ça, vraiment
C’était moche vraiment tout ça…
J’estime que le public n’est pas reconnaissant par rapport à tout ce que j’ai donné à cette équipe. Les gens ont vite oublié ce que j’ai fait en dix ans
Honte à ceux qui ont fait pleurer Mansouri !
A la fin du match, Yazid Mansouri était l’homme le plus malheureux sur terre, à cause de cette ingratitude qui lui a été servie méchamment des tribunes par certains supporters. Et pourtant, le capitaine courage a pris sur lui durant toutes les 70 minutes qu’il est resté sur le terrain.
Lorsque la bêtise épouse la lâcheté
Lorsque la bêtise humaine dépasse celle des animaux, on ne peut rien faire contre ses auteurs.
Car siffler et huer un joueur qui a été, pour le moins, l’un des meilleurs sur le terrain, cela relève de l’aveuglement. Pire, cela s’apparente tout simplement à de la lâcheté. Car pousser un homme aussi gentil, aussi dévoué à son pays et à l’Equipe nationale à pleurer, cela ne s’est vu nulle part ailleurs. Qu’a-t-il fait de pire que les autres pour mériter un tel sort ? Rien, si ce n’est d’être confronté à une concurrence dont il s’est sorti vainqueur depuis 10 ans, par la seule force de son talent.
Vous avez joué 70 minutes avant de céder votre place. Comment vous êtes-vous senti physiquement ?
Ça va, hamdoullah, je me suis dépensé à fond et j’ai eu de bonnes sensations d’un point de vue personnel. Tout se passait bien pour moi, si ce n’était cette pression du public qui m’a un peu vexé. C’est difficile de vivre une soirée comme ça, vraiment
C’était moche vraiment tout ça…
J’estime que le public n’est pas reconnaissant par rapport à tout ce que j’ai donné à cette équipe. Les gens ont vite oublié ce que j’ai fait en dix ans
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