Des prix de m3 entre 1000 a 2000$ , entre l'autoroute et la plage, pour une ptite ville de 30 000 habitant ou vont ces prix? qui peus ce permettre des prix comme sa? apres casa rabat marakech... c'est au tous des ptite ville que les prix augmente, il y a pas 36 solution pour ces prix la, oubien payer les gens avec un smig a l'europeene oubien reduire ces prix, c'est la folie, que ce que vous en penser de tous sa?
L’attractivité de la ville augmente
· Mais l’offre en logements peine à suivre
DANS la petite ville d’Asilah, et surtout dans la vieille médina, les prix de l’immobilier ne cessent de grimper. La moyenne de 10.000 DH pour le m2 est parfois largement dépassée, pour en arriver dans certaines zones situées face à la mer à 20.000 DH/m2.
Les derniers propriétaires des maisons situées à l’intérieur de l’enceinte historique de la vieille ville profitent de l’engouement des étrangers, prêts à payer le prix fort pour acquérir une résidence secondaire dans cette localité aux 30.000 habitants. Ce qui permet aux Zailachis de construire ailleurs. Pourtant, cela ne fait pas l’affaire de tout le monde.
La ruée vers la vieille médina contraint les acquéreurs potentiels à rechercher des terrains en dehors de la ville, notamment du côté de la zone de Briech, sur la route de Tanger, ou vers Larache, dans les douars de la région. Conséquence, les prix grimpent en flèche. Ce qui entraîne une hausse des loyers et pose problème pour les habitants dans une ville qui n’est pas encore entrée dans l’ère des immeubles et de l’habitat économique.
En fait, tout commence en 1979, avec le premier festival d’Asilah, phénomène qui changera la face de ce petit «patelin» perdu. La petite cité devient rapidement une destination privilégiée pour les intellectuels du Maroc et du monde. De fait, la vieille ville est pleine de charme. Entourée d’une muraille historique, elle abrite un ensemble de monuments, dont le Palais Raissouni, le Centre Hassan II des rencontres internationales, les ateliers des arts plastiques attachés au festival et les fameuses tours portugaises ouvertes au public. Tous ces facteurs, conjugués à un périmètre urbain réduit entre la mer et l’autoroute, ont fini par se répercuter sur la vie quotidienne des habitants. Certains estiment que la renommée mondiale de leur ville a dopé le marché de l’habitat de manière irrationnelle dans une localité où il n’y a, par exemple, aucun médecin spécialiste.
Les élus locaux semblent conscients de la crise. Selon Abdellatif Cheddadi, adjoint au maire, «un ensemble de nouveaux lotissements verra très prochainement le jour». Et d’ajouter que les permis des travaux ont été délivrés, parallèlement avec des projets de résorption de l’habitat insalubre initiés par la fondation Forum d’Asilah. D’autres chantiers dédiés à l’habitat économique et qui visent l’éradication des bidonvilles d’ici 2007 sont annoncés.
L’attractivité de la ville augmente
· Mais l’offre en logements peine à suivre
DANS la petite ville d’Asilah, et surtout dans la vieille médina, les prix de l’immobilier ne cessent de grimper. La moyenne de 10.000 DH pour le m2 est parfois largement dépassée, pour en arriver dans certaines zones situées face à la mer à 20.000 DH/m2.
Les derniers propriétaires des maisons situées à l’intérieur de l’enceinte historique de la vieille ville profitent de l’engouement des étrangers, prêts à payer le prix fort pour acquérir une résidence secondaire dans cette localité aux 30.000 habitants. Ce qui permet aux Zailachis de construire ailleurs. Pourtant, cela ne fait pas l’affaire de tout le monde.
La ruée vers la vieille médina contraint les acquéreurs potentiels à rechercher des terrains en dehors de la ville, notamment du côté de la zone de Briech, sur la route de Tanger, ou vers Larache, dans les douars de la région. Conséquence, les prix grimpent en flèche. Ce qui entraîne une hausse des loyers et pose problème pour les habitants dans une ville qui n’est pas encore entrée dans l’ère des immeubles et de l’habitat économique.
En fait, tout commence en 1979, avec le premier festival d’Asilah, phénomène qui changera la face de ce petit «patelin» perdu. La petite cité devient rapidement une destination privilégiée pour les intellectuels du Maroc et du monde. De fait, la vieille ville est pleine de charme. Entourée d’une muraille historique, elle abrite un ensemble de monuments, dont le Palais Raissouni, le Centre Hassan II des rencontres internationales, les ateliers des arts plastiques attachés au festival et les fameuses tours portugaises ouvertes au public. Tous ces facteurs, conjugués à un périmètre urbain réduit entre la mer et l’autoroute, ont fini par se répercuter sur la vie quotidienne des habitants. Certains estiment que la renommée mondiale de leur ville a dopé le marché de l’habitat de manière irrationnelle dans une localité où il n’y a, par exemple, aucun médecin spécialiste.
Les élus locaux semblent conscients de la crise. Selon Abdellatif Cheddadi, adjoint au maire, «un ensemble de nouveaux lotissements verra très prochainement le jour». Et d’ajouter que les permis des travaux ont été délivrés, parallèlement avec des projets de résorption de l’habitat insalubre initiés par la fondation Forum d’Asilah. D’autres chantiers dédiés à l’habitat économique et qui visent l’éradication des bidonvilles d’ici 2007 sont annoncés.
Commentaire