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L'Algérie attire 2,5 milliards d'euros d'IDE en 2009

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  • #16
    les IDE sont vraiment hors sujet pour lalgerie

    les investissements se font par le Trésor public

    et avec 286 milliards, apres 150 milliards...les IDE sont un petit bonus comparé a cela

    il faut revenir a la realité des chiffres

    lalgerie se developpe par ses propres moyens, sans dettes desormais

    il faut arreter avec ces salades sur les IDE....cest completement a coté de la plaque pour leconomie algerienne

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    • #17
      Quelque soit l'économie, aussi-développée soit-elle, a besoin des IDE
      Leur intérêt n'est pas à démontrer.

      Quant aux investissement de l'état, faut dire bonjour aux dilapidations ! :22: force est de constater que 150 milliards de dollars n'ont pas servi à grand chose, si le dixième de cette somme a été judicieusement investit ça se saurait, je suis pessimiste :22:

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      • #18
        force est de constater que 150 milliards de dollars n'ont pas servi à grand chose
        ceux qui habitent reellement en algerie pensent tres exactement le contraire

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        • #19
          l'interminable autoroute made in china
          qlq projets de tramways
          qlq barrages

          sinon, financer les subventions et l'importation des produits de consommation.

          enfin je m'arrête là.
          bonne nuit caracas.

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          • #20
            et 1 000 000 de logements....

            pas grand chose en verité, surtout quand on est algerien...

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            • #21
              Si on enlève les hydrocarbures, il nous restera combien de ces 2,5 milliards euros ? 0,5 ?????
              J'allais repondre a Bachi en disant la meme chose... L'autre mesure pour voir la difference entre le Maroc et l'Algerie est le nombre d'emploi que cree chaque dollar investi dans ces pays...

              La politique du Maroc n'est pas que volontariste, elle est pragmatique et offre une reelle opportunite win-win pour le marocain et pour l'etranger. L'Algerie voudrait bien entendu avoir ces investissements, le probleme est qu'elle est dirigee par des incompetents. L'exemple le plus parlant est encore une fois, celui de Renault..

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              • #22
                renault...encore et encore...

                on sen est remis depuis, et largement !!

                Accord avec des groupements allemands et Émiratis
                Promouvoir l’industrie militaire en Algérie
                Par : S. T.


                Un protocole d’accord portant sur un partenariat industriel, commercial et technologique vient d’être signé entre un groupement d’opérateurs économiques algériens, émiratis et allemands, a indiqué samedi un communiqué du Premier ministère.
                Cet accord s’inscrit, selon nos sources, dans le cadre du renforcement de la coopération multilatérale et le développement de l’industrie militaire en Algérie. Ce protocole d’accord porte notamment sur la création de trois sociétés d’économie mixte qui auront à charge de conduire et d’exploiter des projets industriels au niveau des pôles mécaniques de Aïn Smara, d’Oued Hamimine à Constantine et de Tiaret. La partie émiratie de ce groupement se compose du groupe Aabar Investments, tandis que celle d’Allemagne comprend les sociétés Man, Ferrostaal, Daimler, Deutz MTU et Rheinmettal.
                Selon des sources informées, cette dynamique vise à attirer le groupe Mercedes à s’intéresser à l’industrie algérienne et son installation à Tiaret dans le cadre du développement de l’industrie mécanique et automobile. Et on s’attend à ce que la mise en marche des entreprises permette l’approvisionnement de l’ANP en termes de besoins d’équipement, avec des perspectives d’exportation de matériels. Ce qui aura sans doute une conséquence sur le marché de l’emploi avec la création de centaines de postes de travail dans les régions où seront implantées les unités de montage et de construction.
                Il faut savoir que le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, le général-major Abdelmalek Guenaïzia, précurseur de l’industrie militaire nationale lorsqu’il assurait la fonction de directeur de la logistique au ministère de la Défense nationale dans les années 1980, tenait à assurer une certaine autonomie à l’ANP afin d’éviter une dépendance accrue vis-à-vis des fournisseurs étrangers. Cette stratégie qui avait permis à l’ANP d’assurer l’approvisionnement de certains équipements au moment où le pays était soumis à l’embargo dans les années 1990 permet aujourd’hui, alors que la crise financière internationale persiste, d’éviter les goulots d’étranglement.
                Ainsi, dans cette logique de création de pôle d’excellence, le domaine de la mécanique n’est que le prélude à la mise en œuvre d’autres pôles à l’instar de l’aéronautique, de la construction navale et de l’électronique.

                S. T.

                http://www.liberte-***********/edit.php?id=119313
                Aabar Signs Vehicle Production Deal with Algerian Government




                The Abu Dhabi investment company Aabar has signed a potential landmark deal with the Algerian government to develop a network of vehicle and engine manufacturing plants in conjunction with five German companies including MAN Ferrostaal and Daimler.
                Up to 10,000 cars and trucks will be assembled each year as the North African country looks to establish an industrial base.

                HE Khadem Al Qubaisi, Aabar’s Chairman said:
                “Aabar are delighted to be working with the Algerian Government and some of Germany’s leading technology companies on this exciting new venture.
                “With this important investment, Aabar continues to develop opportunities through our partnership with Daimler.”
                Assembly is expected to start in 2010 following the modernisation or development of plants in Tiaret, Ain Smara and Oued Hamimine.

                The project will be led by the German truck manufacturer MAN Ferrostaal. Daimler, Deutz, MTU and Rheinmetall will participate as technology partners providing licences and intellectual property. The products which have been identified for potential manufacturing include Sprinter, Unimog, G‐Type, Fuchs and other four wheel drive vehicles and engines.
                Ends

                http://www.aabar.com/var/uploads/news/Aabar%20Signs%20Vehicle%20Production%20Deal%20with %20Algerian%20Government.pdf
                tout cela pour produire, completement, et sur place :










                ca vaut bien les dacia roumaines...

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                • #23
                  Les difficultés de rattrapage économique de l’Algérie
                  08 Juin 2010 - Page : 7
                  Lu 420 fois Nous savons depuis la fin des années 1970 que la technologie ne constitue pas un bien public. Autrement dit, elle n’est pas assimilable à un bien qui serait disponible sans coût autre que celui de son achat au prix du marché. Les retards accumulés par notre pays montrent qu’il n’est pas suffisant d’acheter des technologies modernes pour les utiliser de façon optimale. Il existe même une loi d’airain qui s’impose de plus en plus, à savoir que les pays maîtrisant les technologies modernes sont ceux qui sont appelés à les valoriser au maximum dans les années et les décennies à venir.

                  Dans sa chronique hebdomadaire (Plan de relance 2010-2014: une analyse technique, El Watan des 31 mai 6 juin 2010), le Dr Lamiri fait grief au Policy maker d’avoir privilégié les conditions hard du développement (infrastructures, équipements collectifs) au détriment du soft (management, gouvernance des entreprises). Etait-ce le choix délibéré de décideurs ou bien n’était-ce pas les conditions objectives d’usage du capital qui n’ont pas permis d’engendrer des externalités positives sous forme d’apprentissage (Learning by doing)? C’est toute la problématique de la relation entre le stock de capital et le stock de connaissance qui est ainsi soulevée.

                  En Algérie, depuis les premiers plans de développement des années 1960 jusqu’au PCSC (2005-2009), la décroissance de la productivité marginale du capital (qui correspond à l’accroissement de la quantité de capital) n’a jamais pu être compensée par la croissance du stock de connaissances qui aurait profité à l’ensemble des entreprises en leur permettant d’augmenter leur efficacité.

                  L’ampleur du capital matériel et du capital financier
                  Quelque 5000 établissements de l’Education nationale, 3000 établissements de formation et d’enseignement professionnels, 377 polycliniques, 5000 infrastructures pour la jeunesse, 2800 milliards de DA pour le secteur des transports, 1800 milliards de DA pour l’amélioration des moyens et des prestations des collectivités locales, du secteur judiciaire, 1500 milliards de DA dont 1000 au soutien du développement agricole, 2000 milliards de DA de crédits bancaires bonifiés par l’Etat au profit du développement industriel, 350 milliards de DA pour l’encouragement à la création d’emplois sont a priori, de nature à faire accéder l’Algérie à un niveau supérieur de son développement. Au sortir de deux plans dont le coût global dépassera les 580 milliards de dollars, l’Algérie ne devrait plus être considérée comme un pays en développement et sa croissance future cesser de fluctuer au gré des cours du pétrole.

                  Malheureusement, les choses ne sont pas aussi simples et on veut espérer ici, que le décideur ne confonde pas les objectifs physiques du plan quinquennal avec la qualité de la croissance. Ce plan est supposé favoriser, une fois achevées dans les règles de l’art et dans les délais impartis, toutes les infrastructures programmées. Il ne suffit pas de posséder des capitaux financiers importants.

                  L’Algérie devra impérativement innover, à l’instar du Maroc, de la Tunisie, de la Turquie, de la Malaisie, du Brésil ou du Mexique, dans les instruments institutionnels, en particulier financiers pour pouvoir se développer.

                  Ces pays ont pu favoriser en effet, à des degrés divers, ce que les économistes appellent les «arrangements institutionnels», c’est-à-dire l’ensemble des instruments utilisés par les agents économiques pour résoudre des problèmes que ni l’Etat ni le marché ne peuvent régler à eux seuls (accords de coopération entre entreprises, fonds communs d’entreprises pour financer des biens à usage collectif, etc.).

                  Malheureusement, en Algérie, l’économie institutionnaliste n’existe pas.

                  Coexistent au sein d’un ensemble hétérogène et totalement disparate, un secteur privé archaïque, un secteur public économique sinistré, des entreprises étrangères à la recherche de niches technologiques ou commerciales, des autorités de régulation sectorielles insuffisamment indépendantes et peu outillées pour superviser les opérateurs économiques qui en relèvent. Enfin, des banques et des établissements financiers qui reçoivent des dépôts à vue ou à terme et qui se sont spécialisés dans la distribution de crédits à court terme, mais sans pratiquement jamais prendre ou gérer des participations dans des affaires commerciales existantes ou en formation.

                  Rechercher la congruence technologique
                  Reste le débat sur la congruence technologique. Avec l’arrivée de Mohamed Benmeradi, grand commis de l’Etat, à la tête du ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’investissement, il faut espérer que se mette enfin en place une stratégie industrielle qui intègre la problématique de la congruence technologique. Si l’Algérie est encore appelée à dépendre de l’étranger pour l’acquisition de son savoir-faire, il sera impossible d’éluder les aspects relatifs à la disponibilité objective en capital et en main-d’oeuvre qualifiée, la taille de notre marché, l’accès aux matières premières.

                  Une stratégie industrielle digne de ce nom ne saurait faire abstraction du cloisonnement actuel du marché algérien, de l’absence d’homogénéisation de la demande solvable, de l’abondance d’une main-d’oeuvre non qualifiée et de la faible efficacité des ressources nationales qui sont investies en capital physique et dans l’éducation. La question du rattrapage technologique est un phénomène complexe. L’Algérie devra accomplir des efforts substantiels d’investissement et d’innovation, ce qui suppose l’élaboration d’un nouveau système d’éducation et de formation. En principe, comme l’a souligné excellemment le Dr Lamiri (Cf. article précité), les investissements en capital physique et ceux en capital humain doivent se compléter.

                  Mais si l’on s’en tient à l’état des lieux du secteur dressé par le ministre de l’Education, selon lequel, l’Ecole algérienne se porte bien, on découvre alors qu’il n’existe pas de lien positif fort entre les investissements en R & D et la progression de la productivité du travail et du revenu par tête. Cette situation, si elle devait se confirmer, serait très inquiétante pour l’avenir. Pour être au net sur cette question, il conviendrait de mener des analyses qui permettraient de vérifier si oui ou non l’Algérie possède un potentiel de rattrapage technologique (préalable à l’élaboration d’une stratégie industrielle, quelle qu’elle soit) et dans quelle mesure celui-ci constitue une opportunité de développement et de croissance.

                  Quoi qu’il en soit, dans tous les pays émergents dont l’Algérie doit s’inspirer, d’autant que ceux-ci sont appelés à devenir nos principaux partenaires (Turquie, Malaisie, Brésil, Afrique du Sud), les acteurs politiques et économiques sont parvenus à réaliser une symbiose quasi parfaite entre les investissements en capital physique, l’éducation et la formation, la R & D et enfin les infrastructures. Même si le temps lui est désormais compté, l’Algérie peut parfaitement relever ce défi.

                  Ali MEBROUKINE
                  Professeur en droit des affaires

                  http://www.lexpressiondz.com/article...-08/77332.html

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                  • #24
                    chavez de lille

                    Accord avec des groupements allemands et Émiratis
                    Promouvoir l’industrie militaire en Algérie

                    Par : S. T.

                    c'etait pas toi qui insultait les allemands dans un autre poste....NON?

                    Commentaire


                    • #25
                      Envoyé par Bachi Voir le message
                      Ca me surprend que le Maroc ne soit pas très loin de L'Algérie en matière d'IDE...
                      Toutes ses politiques volontaristes, d'ouverture aux finacements, la stabilité de ses lois économiques, sa communication effrénée ne semblent pas rapporter tant que ça...

                      c est excatement ce que je voulais dire, mais Ayoub n a rien trouvé de mieux que de s attaquer au voisin comme s il était la cause pourqoui le Maroc n occupe pas une place plus avancée confortablement, ce qui n est pas le cas, puisque l Algérie, un pays ex-socialiste, un pays qui sort d une période de crise d instabilité, de terrorisme, de guerre civile d une vaigtaine d années arrive à disputer au Maroc malgrés toutes les atouts politiques et économiques une bonne place en matière d IDE

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                      • #26
                        c'etait pas toi qui insultait les allemands dans un autre poste....NON?
                        je repondais a un de tes compatriotes que les allemands netaient pas un peuple a envier

                        mais aussi que cetaient les francais qui avaient colonisés lalgerie..


                        ceci etant, entre dacia et mercedes....

                        Commentaire


                        • #27
                          c est excatement ce que je voulais dire, mais Ayoub n a rien trouvé de mieux que de s attaquer au voisin comme s il était la cause pourqoui le Maroc n occupe pas une place plus avancée confortablement, ce qui n est pas le cas, puisque l Algérie, un pays ex-socialiste, un pays qui sort d une période de crise d instabilité, de terrorisme, de guerre civile d une vaigtaine d années arrive à disputer au Maroc malgrés toutes les atouts politiques et économiques une bonne place en matière d IDE
                          D'abord l'Algérie ne dispute pas au Maroc la place des IDE.

                          Même pendant la guerre civile, ou le socialisme les investissements pétroliers et gaziers existaient.
                          Et c'est pareille, 2,5 milliards investis dans le pétrole et le gaz dans des région désertiques peu peuplées.

                          Les 3,5 milliards investis au Maroc, le serons dans les loisirs,n l'industrie, l'agriculture, le secteur bancaire, la distribution, les infrastructures... Et ce dans les régions les plus peuplées.

                          La vérité c'est que c'est un exploit que le Maroc dépasse l'Algérie pour les IDE, vu que ceux ci ont toujours existé et de cette ampleur en Algérie pour le gaz et le OIL, alors qu'au Maroc(en 2000) avant on atteignait 100 million$ d'IDE on était heureux.


                          De plus pour ta gouverne, si tu était marocain (faut arrêter avec les "marocains" algérianiste bouteflikiste, et les "algériens" makhzeniste, parce que personne n'y croit) tu saurai d'abord:

                          * que depuis la fins des gouvernements démocratiques, en 1963 et la chute du cabinet Abdallah Ibrahim, ET ce jusqu'en 1993, soit pendant 30 ans ont a été dirigé par des incapables minables.

                          * de 1976 à 1991 ont a connu une guerre qui nous a grévé le budget, on a redéssiné le Sahara avec plusieurs murs sécuritaires, on a réorganisé l'armée, et surtout modernisé l'armement.
                          Rien que le mur a couté entre 1980 et 88, plus de 20 milliards $.
                          Le bilan humain oscille entre 25 000 et 35 000 soldats marocain morts.

                          Le Maroc n'a réellement amorça son développement que depuis 1993-1994 avec le cabinet Amrani, puis Filali, a la tête de technocrates qui amorcent les réformes.

                          La victoire écrasante de la gauche en 1997, mène la Koutla (Coalition nationaliste de centre-gauche héritière des partis de la "haraka wataniyya") au pouvoir avec le second premier ministre socialiste de notre Histoire.
                          Débute alors le cabinet Youssoufi(1998-2002) et les réformes de fond.

                          A son arrivée au pouvoir Mohammed VI enclenche la dynamique vertueuse que nous vous vantons sur algérieèdz depuis quelques années.

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                          • #28
                            hugo tu peux me repondre stp.....

                            peut on se chauffer a la bougie ? si oui comment font ils ?

                            ou bedawi alors,tu serai mieux indiqué pour repondre lol

                            Commentaire


                            • #29
                              Et toi dit moi combien de personne se chauffent au concombres? et ceux qui se chauffent à la Lune. Sans oublier ceux qui se chauffent au ver, ou au sous-terrains.

                              Commentaire


                              • #30
                                A son arrivée au pouvoir Mohammed VI enclenche la dynamique vertueuse que nous vous vantons sur algérieèdz depuis quelques années.
                                c'est ce que tout le monde reproche aux marocains j'aime pas parler aux marocains à cause de ça pourtant je vous aime bien arretez de nous vanter tout et n'importe quoi..
                                Dernière modification par absent, 09 juin 2010, 12h30.

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