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Le réseau des Algériens licenciés des grandes écoles françaises "Reage" organise, à partir du 10 Mars, une série de conférences sur les enjeux de l'économie algérienne, intitulée "Libéralisation de l'Economie: Les Enjeux de l'Economie Algérienne". Ce réseau vise à contribuer au développement de l'économie algérienne et trouver les moyens pour y parvenir.
Le rapport préliminaire du réseau, publié sur son site internet, indique que l'endettement publique en Algérie représente 14% du produit intérieur brut. "Mais cela ne veut pas dire que l'Algérie est entrée dans une période de développement économique".
Cette série de conférence, encadrée par des diplômés des grandes écoles spécialisées en France, met en exergue les challenges auxquels l'économie algérienne doit répondre pour saisir l'opportunité qu'il lui est donnée par l'abondance financière, fourni par le secteur des hydrocarbures.
Ces experts estiment que les économistes algériens ne sont pas encore parvenu à expliquer la relation existante entre le commerce et le développement. Car malgré la libéralisation du commerce en coordination avec les compagnies internationales, l'ouverture des frontières ne suffit pas pour réaliser d'importantes rentrées venant du secteur du commerce extérieur.
La première conférence de cette série vise à déterminer les points forts et les points faibles de l'économie algérienne, à travers la libéralisation du commerce lancée en l'Algérie depuis une année environ.
Conférenciers
§ Karim MEDJAD – Docteur en économie, diplôme de Harvard Law School, avocat, professeur à HEC
§ Mohamed Madoui – Chercheur- enseignant, Conservatoire National des Arts et Métiers
§ Guillaume Gaulier – Docteur en économie, chercheur au CEPII, spécialiste de commerce international (Centre d’Etudes Prospectives et d’Informations Internationales)
§ Bessaha Abdelrahmi (Discutant) – Economiste Principal au FMI et Président de l'AAAGW (Algerian American Association of Greater Washington)
Soyez nombreux à cette rencontre
Stanislas
Le rapport préliminaire du réseau, publié sur son site internet, indique que l'endettement publique en Algérie représente 14% du produit intérieur brut. "Mais cela ne veut pas dire que l'Algérie est entrée dans une période de développement économique".
Cette série de conférence, encadrée par des diplômés des grandes écoles spécialisées en France, met en exergue les challenges auxquels l'économie algérienne doit répondre pour saisir l'opportunité qu'il lui est donnée par l'abondance financière, fourni par le secteur des hydrocarbures.
Ces experts estiment que les économistes algériens ne sont pas encore parvenu à expliquer la relation existante entre le commerce et le développement. Car malgré la libéralisation du commerce en coordination avec les compagnies internationales, l'ouverture des frontières ne suffit pas pour réaliser d'importantes rentrées venant du secteur du commerce extérieur.
La première conférence de cette série vise à déterminer les points forts et les points faibles de l'économie algérienne, à travers la libéralisation du commerce lancée en l'Algérie depuis une année environ.
Conférenciers
§ Karim MEDJAD – Docteur en économie, diplôme de Harvard Law School, avocat, professeur à HEC
§ Mohamed Madoui – Chercheur- enseignant, Conservatoire National des Arts et Métiers
§ Guillaume Gaulier – Docteur en économie, chercheur au CEPII, spécialiste de commerce international (Centre d’Etudes Prospectives et d’Informations Internationales)
§ Bessaha Abdelrahmi (Discutant) – Economiste Principal au FMI et Président de l'AAAGW (Algerian American Association of Greater Washington)
Soyez nombreux à cette rencontre
Stanislas
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