Que l'on soit croyant ou non, tout le monde y va de sa conjecture sur le sort qui nous est réservé après la mort. Va-t-on au paradis? Les plus pêcheurs d'entre nous vont-ils purger leur peine en enfer? Ou est-ce que notre corps pourrit simplement sous terre?
Le Huffington Post donne lui une réponse beaucoup plus simple à une question qui taraude l'humanité depuis qu'elle existe. Pour le scientifique Robert Lanza, ce qui change après la mort, c'est que le temps revient simplement à zéro. Réinitialisation des compteurs, pour ainsi dire.
Commence alors une démonstration scientifique de haute volée. L'auteur s'appuie sur la théorie du biocentrisme, selon laquelle tout ce que l'on vit est le fruit de notre pensée. Il file la métaphore de l'horloge, avec l'homme dans le rôle du coucou. Selon lui, on se réveille chaque matin dans le présent «avec devant nous des marches à gravir vers un futur incertain».
Mais selon l'auteur, cette idée d'une mécanique temporelle est liée à notre conscience. Sans notre conscience, ce qui est le cas lorsque l'on meurt, l'espace et le temps n'ont pas de réalité. On peut alors choisir le passé, le présent ou le futur comme nouvelle référence.
Pour renforcer son propos, il s'appuie sur la théorie de la relativité d'Albert Einstein et sur une citation très précise:
A présent, Besso [un vieil ami] a quitté ce monde étrange. Cela ne signifie rien. Les gens comme nous savent que la distinction entre passé, présent et futur n'est qu'une illusion, malgré tout persistante.
En un mot, la mort remet donc les pendules à zéro.
slate
Petit sujet sympa pour ce week end
Le Huffington Post donne lui une réponse beaucoup plus simple à une question qui taraude l'humanité depuis qu'elle existe. Pour le scientifique Robert Lanza, ce qui change après la mort, c'est que le temps revient simplement à zéro. Réinitialisation des compteurs, pour ainsi dire.
Commence alors une démonstration scientifique de haute volée. L'auteur s'appuie sur la théorie du biocentrisme, selon laquelle tout ce que l'on vit est le fruit de notre pensée. Il file la métaphore de l'horloge, avec l'homme dans le rôle du coucou. Selon lui, on se réveille chaque matin dans le présent «avec devant nous des marches à gravir vers un futur incertain».
Mais selon l'auteur, cette idée d'une mécanique temporelle est liée à notre conscience. Sans notre conscience, ce qui est le cas lorsque l'on meurt, l'espace et le temps n'ont pas de réalité. On peut alors choisir le passé, le présent ou le futur comme nouvelle référence.
Pour renforcer son propos, il s'appuie sur la théorie de la relativité d'Albert Einstein et sur une citation très précise:
A présent, Besso [un vieil ami] a quitté ce monde étrange. Cela ne signifie rien. Les gens comme nous savent que la distinction entre passé, présent et futur n'est qu'une illusion, malgré tout persistante.
En un mot, la mort remet donc les pendules à zéro.
slate
Petit sujet sympa pour ce week end
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