A croire que...
Des nuits, blanches, vertes et roses
Des cris sourds, plein, métalliques
Des mouvements crispé sur l'horloge
La danse, du sable, mouvant
A croire que l'on ne manquera
Jamais a personne
Sourire au pieds d'argiles,
Promesses de béton, si fragiles
L'eau des fleurs, sans odeur
Spectacle grandiose, et inutile
A croire que l'on ne manquera
Jamais a personne
Confession terrifiée, vide volubile
D'un coup au sacrifice des émotions
Au contact du coton imbibé
D'un jus de larmes amères
A croire que l'on ne manquera
Jamais a personne
Si je reste là, c'est par la foi
En ce qui peut devenir beau, soudain
Dans les méandres de ma chair
J'aime comme je hait,
L'idée de mourir...
Chaarar,
Des nuits, blanches, vertes et roses
Des cris sourds, plein, métalliques
Des mouvements crispé sur l'horloge
La danse, du sable, mouvant
A croire que l'on ne manquera
Jamais a personne
Sourire au pieds d'argiles,
Promesses de béton, si fragiles
L'eau des fleurs, sans odeur
Spectacle grandiose, et inutile
A croire que l'on ne manquera
Jamais a personne
Confession terrifiée, vide volubile
D'un coup au sacrifice des émotions
Au contact du coton imbibé
D'un jus de larmes amères
A croire que l'on ne manquera
Jamais a personne
Si je reste là, c'est par la foi
En ce qui peut devenir beau, soudain
Dans les méandres de ma chair
J'aime comme je hait,
L'idée de mourir...
Chaarar,
Commentaire