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L'acteur français Alain Delon appelle à libérer les réfugiés de Tindouf

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  • #16
    Maghreb-United,

    Que penses-tu de l'APS algérienne "sosie" de la MAP marocaine?

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    • #17
      je pense beaucoup de bien sur elle que de mal, car tout ce qu'elle rapporte en dehors du dossier du sahara Marocain sont réel par contre quelques sujets sur le Sahara Marocain raporté par aps d'après son clone sps sont fausses à 60% et démenti par la map quand sa sert à la propagande.

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      • #18
        Maghreb-United,

        Tant la l'APS, la MAP ou la SPS n'ont aucune crédibilité puisqu'il s'agit d'outils de propagandes.
        ___________________

        Sous les pressions internationales, en particulier françaises, le Maroc s'est résigné à accepter le retour de cette figure de la lutte pour l'autodétermination, après une grève de la faim de 32 jours.

        Après trente-deux jours de grève de la faim, Aminatou Haidar a gagné son épreuve de force avec le Maroc : elle a pu regagner son domicile d'El Ayoun, capitale administrative du Sahara occidental (territoire annexé par le royaume), sans conditions et sans présenter d'excuses.

        Source: Le Monde

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        • #19
          pourquoi tu colles la news en bas !? tu cherches à provoquer ^^ ?
          t'es le master en provocation, t'es bien connu pour ton amour envers le Maroc.

          sinon je vois pas pourquoi la map va mentir pour un soutient de la part d'un cinéaste ???

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          • #20
            Maghreb-United,

            Nullement. Mais je démontre ce que la MAP (outil de propagande marocaine comme l'APS algérienne) n'a jamais avoué: c'est-à-dire la vérité sur l'affaire du retour de Madame Haidar rapporté par le quotidien de référence qu'est Le Monde.

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            • #21
              si j'étais là quand la Map a publié la news concernant le retour de aminatou haidar

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              • #22
                "si j'étais là quand la Map a publié la news concernant le retour de aminatou haidar" (Maghreb United)

                Là n'est pas la question. L'essentiel consiste à savoir si la MAP avait relaté de manière pertinente le retour de Madame haidar? Il serait invraisemblable que l'agence de propagande marocaine-à l'instar de sa consoeur algérienne APS-ait la probité de rapporter en qu'espèce, le Maroc avait bu le calice jusqu'à la lie.

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                • #23
                  ma concierge aussi c'est ce qu'elle dit.

                  bonjour.

                  quand on va mettre en exergue ce que dit un acteur en perte de vitesse c'est qu'il y a un probléme . ça ressemble à du racollage.

                  attendons la réaction de brigitte bardot.

                  ma concierge dit la même chose mais je l'ai convaincue que seul l'avis de l'ONU importe et est crédible (un peu) en la matiére.
                  "Soyez les gardiens de votre cœur et rendez-le propre et pur comme un lieu de prière." .

                  Commentaire


                  • #24
                    bonjour

                    ma concierge dit la même chose mais je l'ai convaincue que seul l'avis de l'ONU importe et est crédible (un peu) en la matiére.
                    Quand on est sûr et convaincu de la justesse de sa cause, on a pas besoin d'aller chercher un quelconque soutien de telle ou telle personnalité. Ce que rapporte la Map, c'est le désepoir du Maroc. Allah Ikoun Ma3akoum.

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                    • #25
                      désespoir ? hahahahahaha trop marrant ces commentaires xD

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                      • #26
                        L'acteur français Alain Delon appelle à tout mettre en oeuvre pour libérer les Marocains séquestrés à Tindouf
                        Alain Delon est certainement un grand acteur mais surement pas une caution morale ; c'est un nostalgérien , grand ami de Lepen et du milieu français proche de l'extreme droite ; il fait partie de ces loosers revanchards français qui n'ont jamais digéré l'indépendance algérienne !
                        Le Makhzen doit etre aux abois pour solliciter l'aide du plus beau des voyous français ;
                        Lundi 24 février 2003, spéciale "On ne peut pas plaire à tout le monde", France 3.

                        Après avoir diffusé des images montrant Alain Delon donnant l'accolade à Jean-Marie Le Pen, Marc-Olivier Fogiel ne peut cacher son dégoût :
                        M-O.F :"Quand je vous vois l'embrasser ça me fait froid dans le dos !"
                        A.D : "Eh bien, couvrez-vous ! Ces images ont été prises le jour où Jack Lang m'a remis les insignes de Commandeur des Arts et des Lettres. Il y avait des amis à moi dont faisait partie Jean-Marie. Je l'ai connu il y a 35 ans et je ne renie jamais mes amis quoi qu'ils fassent !"
                        M-O.F : "Et vous le considérez encore aujourd'hui comme votre ami ?"
                        A.D : "Bien entendu."
                        M-O.F : "Et son programme vous le rejetez ?"
                        A.D : "Non ! Il y a des choses qui me satisfont et il y a des choses que je rejette."
                        M-O.F : "Mais aujourd'hui, est-ce que vous embrasseriez encore Jean-Marie Le Pen ?"
                        A.D : "Je l'embrasserai jusqu'à la mort s'il le faut !"

                        yabiladi
                        Guerini : Quand la fille de « Mémé » se souvient

                        Les Guerini ? Redouté jadis, le patronyme appartient aujourd'hui à la légende. Un caïd de la pègre au sobriquet désuet - « Mémé », pour Barthélemy -, une histoire familiale, un clan parmi les plus puissants d'Europe ? Tout cela à la fois. Marquant à jamais le grand banditisme de l'après-guerre, intimement mêlé à la politique et au show-biz, le nom des Guerini a fait trembler, à Marseille, en Corse et jusque sur le pavé parisien. Formidablement documenté, car écrit par la fille de Mémé en personne, un livre ressuscite l'époque des truands en costume croisé, chaussures bicolores et chapeaux de feutre. Marie-Christine Guerini a mis cinq ans pour quitter le milieu et deux ans pour coucher sur le papier l'histoire du clan, « La saga Guerini » (Flammarion).
                        Jusqu'à son déclin à la fin des années 60, c'est le temps béni où la pègre marseillaise s'illustre par ses hauts faits de résistance, passe publiquement alliance avec les politiques sans que quiconque y trouve à redire, s'affiche aux côtés des stars, fait vivre des familles entières. La violence des règlements de comptes y est atténuée par l'image d'un Marseille folklorique où les malfrats passent leurs soirées au cabaret et alignent les bons mots, on l'imagine, avec l'accent chantant. On se tue, certes, mais entre hommes d'honneur. On ne touche pas à la drogue. Enfin, hormis l'opium, bien sûr... « Mon père n'était ni un saint ni un loup » , dit Marie-Christine Guerini. C'est le petit village corse de Calenzana qui a vu naître, dans une famille de huit enfants, Barthélemy Guerini, rapidement appelé Mémé, et son frère Antoine, qui, plus tard, sera l'autre pilier du clan. Arrivé à Marseille à 14 ans, Mémé Guerini s'initie aux vraies affaires - « les jeux, la passe anglaise, le poker, les combats de boxe, et bien sûr les femmes de petite vertu » - auprès d'un ami de son père, Corse lui aussi. Les deux frères font l'apprentissage de la rue. Ils en tirent la conclusion que « la réussite et la renommée se forgent rarement sur la vertu et le travail » . Et voilà l'étoile des Guerini qui monte, qui monte : en mettant quelques filles à la rue, en résistant à l'intimidation de la pègre, en achetant les premiers bars... Trois autres frères et deux soeurs débarquent de l'île de Beauté en soutien de famille. « Avec Antoine, comment avez-vous fait votre trou ? » a demandé Marie-Christine à son père, bien plus tard. Réponse du parrain : « Comme dans la forêt de Bonifato, Marie, il a fallu déboiser ! » Les cadavres se ramassent pour un rien dans les rues de Marseille, c'est la guerre des clans. Mais un pacte va sceller la réconciliation entre les jeunes Guerini et les parrains d'alors, Paul Carbone et François Spirito. On partage les trafics, on s'achète la bienveillance de l'évêché, l'hôtel de police.
                        1939. C'est la guerre, et le destin des Guerini en sera chamboulé. Carbone et Spirito choisissent le camp de Jacques Doriot, Antoine Guerini se tait - et engrange les profits, car les affaires continuent -, et Mémé Guerini, lui, se jette tête baissée dans la Résistance. Son nom de code : Martin. Il sera rapidement parmi les dirigeants du réseau clandestin baptisé « Joseph le Fou », lui-même une branche du réseau Brutus. « Les deux groupes de résistants feront de nombreux dégâts au cours de leurs spectaculaires opérations contre les nazis et les collaborateurs. » Mémé croise Jean Moulin et participe à de nombreux attentats contre les Allemands, à coups de grenades et de bombes. Des réunions sont même organisées, au printemps 1942, entre toutes les factions du milieu pour mobiliser une vraie opposition aux nazis. C'est la création du maquis noir, à l'aube du 8 mai 1942, avec environ « 300 durs, Corses, Catalans, Calabrais, Marocains, Algériens et Tunisiens » . En deux mois et demi, 48 attentats seront commis contre les nazis, qui réagiront violemment avec l'évacuation et la destruction du Vieux-Port. De cette époque date la rencontre avec Gaston Defferre. Les deux hommes ont des intérêts qui convergent, ils se fréquenteront pendant de longues années, même après l'entrée au gouvernement du futur maire de Marseille.
                        L'attentat de l'Observatoire
                        Arrêté, emprisonné au château de Carcassonne, Mémé Guerini s'évadera et rejoindra Marseille déguisé en paysan. Le sauvetage d'une petite fille juive de 12 ans lui vaudra plus tard la médaille de la Résistance en plus de la croix de guerre. A la Libération, il descend la Canebière juché sur un char d'assaut, le « Jeanne-d'Arc », dont la carcasse est toujours en poste devant Notre-Dame-de- la-Garde, à Marseille.
                        Après la guerre, les affaires reprennent de plus belle. « Les nombreux établissements des parrains d'avant se retrouvent donc entre les mains des Guerini. Le clan régente désormais l'ensemble de la ville. En haut lieu, on remet officieusement aux deux frères les clés de Marseille... » Les choses sérieuses vont commencer, avec un postulat plein de bon sens : « Même si les messieurs que nous aidons ne gagnent pas, ils seront quand même élus de l'opposition et on en profitera aussi bien que s'ils gagnent » , disait le chef de clan. Les deux frères se diviseront sur le candidat à soutenir à Marseille. La ville, elle, a retenu Defferre. On va croiser ce dernier dans les bars, cabarets et night-clubs du clan. Menacé par les communistes, en cet après-guerre mouvementé, Defferre s'appuie sur les réseaux Guerini. Les amis de Mémé ont été placés aux bons postes de la mairie. Plus de 200 agents communaux, tous corses, sont désormais des fidèles du clan.
                        On ne saura jamais les noms de tous les hommes politiques que les Guerini ont aidés. Questionnée par Le Point , Marie-Christine se tait. Des archives de la famille elle a gardé 40 dossiers, cachés en France et en Suisse, sur des affaires délicates, mais s'apprête, dit-elle, à les brûler. Marie-Christine Guerini nous affirme ainsi - sur la base de témoignages, selon elle - que ce sont des hommes de son père qui ont tiré sur la voiture de François Mitterrand lors du faux attentat de l'Observatoire, en 1959. Des basses besognes, les hommes des Guerini vont en exécuter ! Que dire des manifestations « spontanées » de dockers venus casser les piquets de grève montés par le puissant Parti communiste, sur le port de Marseille, en 1947, pour empêcher le débarquement des marchandises envoyées des Etats-Unis dans le cadre du plan Marshall ? Mémé Guerini en était l'organisateur, après une rencontre secrète avec des agents de la CIA. Que dire des affaires menées de conserve avec des policiers corrompus ?
                        Grâce à ses cabarets - le Versailles et l'Annabel's Club notamment, à Marseille, et d'autres encore -, qui attirent le monde de la nuit, les Guerini sablent le champagne avec les vedettes du cinéma et de la chanson.

                        Alain Delon, avec qui Marie-Christine entretiendra une relation toute particulière, fait partie des habitués. C'est François Marcantoni qui le présentera à Mémé Guerini. Le parrain et l'acteur partageront une longue amitié et même des chevaux de course en copropriété.

                        Fernand Sardou, Charles Aznavour, Yves Montand, Johnny Hallyday, Mouloudji, Eddie Constantine, Fernand Raynaud, Lino Ventura, Elvire Popesco, Romy Schneider, Jean Lefèvre, eux aussi, fréquentent les Guerini...

                        1967, début de la fin. Les guerres de territoire ont repris, et Antoine, le frère de Mémé, est assassiné, un après-midi d'été, de douze balles de 11.43. Quelque temps plus tard, la villa de Mémé est cambriolée. Disparaissent de précieux dossiers concernant le passé douteux de notables, politiques et fonctionnaires pendant l'Occupation. Les Guerini perdent petit à petit appuis, protections, influence. Les Zemour, la famille qui monte dans le milieu, montrent les dents, et Marie-Christine est même séduite par l'un d'entre eux.
                        Tombé pour un meurtre pour lequel il s'est toujours déclaré innocent, Mémé fera dix ans de prison et mourra d'un cancer en 1982, quelques années après sa libération. Marie-Christine Guerini, dans les semaines qui viennent, va déposer, via son avocat Gilbert Collard, une demande de révision du procès


                        Le Point

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                        • #27
                          ma concierge dit la même chose mais je l'ai convaincue que seul l'avis de l'ONU importe et est crédible (un peu) en la matiére.
                          (un peu) ??

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                          • #28
                            les vidéos arrivent pour ceux qui croient que c'est de la propagande avec la parole de Monsieur Alain

                            Commentaire


                            • #29
                              Alain Delon, libérateur des Marocains ?
                              Que disent Brigitte Bardot et Tom Cruise de tout ça ?

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                              • #30
                                Tactique usée d Makhzen d'exploiter les stars en vacances au Maroc. Un bon machoui à Marakech et ils commencent à débiter n'importe quoi.
                                "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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