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Petit, je ne lâchait pas le burnous de mon père, o immense père. Rien ne pourrait m’arriver quand je suis accompagné de mon immense papa. Tout le monde le respectait dans la famille, le quartier, partout. Je passais mon temps à écouter ses sages paroles qu’il distribuait à tout le monde. Il est souvent entouré des vieux du quartier pour échanger sur tout et rien comme sur ce forum. Ils débataient des informations du jour, des guerres du moyen orient, de la pluie qui tarde a arriver, du décès de telle vielle, du mariage de flane, du différent qu’il faut régler entre la tribut des Ouled Saïd avec les Hrakta, …
Sinon ils jouaient à el kharbgha (jeux traditionnel typique qui ressemble vaguement au jeu de dames, à même le sol en y creusant des petits trous pour faire des cases).
Il était écouté, mon immense père. Il présidait les assemblées improvisées du quartier pour régler un différent entre voisins, tribus, familles, … Il écoutait beaucoup dans ces cas là, méditait quelques jours, des fois avant de décider ou conseiller. Il était médiateur naturel vu son charisme. Quel bonheur d’avoir mon père comme père.
L’essentiel de ma personnalité est une conséquence de cette paternité. Je lui dois tellement.
Que c’est bon d’être père, à mon tour.
Sinon ils jouaient à el kharbgha (jeux traditionnel typique qui ressemble vaguement au jeu de dames, à même le sol en y creusant des petits trous pour faire des cases).
Il était écouté, mon immense père. Il présidait les assemblées improvisées du quartier pour régler un différent entre voisins, tribus, familles, … Il écoutait beaucoup dans ces cas là, méditait quelques jours, des fois avant de décider ou conseiller. Il était médiateur naturel vu son charisme. Quel bonheur d’avoir mon père comme père.
L’essentiel de ma personnalité est une conséquence de cette paternité. Je lui dois tellement.
Que c’est bon d’être père, à mon tour.
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