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Le général Stanley McChrystal, commandant de la Force internationale d'assistance à la sécurité en Afghanistan, a été convoqué à Washington pour s'expliquer sur des déclarations reprises dans un portrait du magazine "Rolling Stone", a-t-on appris mardi auprès d'un responsable de l'administration américaine.
Le général, qui s'est depuis excusé pour ses propos, va devoir assister en personne, au lieu d'une visioconférence, mercredi à la réunion mensuelle de la Maison Blanche sur l'Afghanistan et le Pakistan. Il évoquera ses dernières déclarations avec le président Barack Obama et de hauts responsables du Pentagone.
Un article publié cette semaine dans la revue "Rolling Stone" parle du général Stanley McChrystal comme étant seul sur le terrain, avec plusieurs personnes au sein de l'administration Obama incapables de convaincre leurs propres soldats que la stratégie en place est adéquate pour remporter la guerre.
Le général a présenté mardi ses "plus sincères excuses pour ce portrait". "C'était une erreur qui reflète un mauvais jugement". Il a ajouté qu'il avait énormément de respect pour l'administration du président Barack Obama et que ce reportage ne correspondait pas aux principes de son intégrité.
source : AP
Le général, qui s'est depuis excusé pour ses propos, va devoir assister en personne, au lieu d'une visioconférence, mercredi à la réunion mensuelle de la Maison Blanche sur l'Afghanistan et le Pakistan. Il évoquera ses dernières déclarations avec le président Barack Obama et de hauts responsables du Pentagone.
Un article publié cette semaine dans la revue "Rolling Stone" parle du général Stanley McChrystal comme étant seul sur le terrain, avec plusieurs personnes au sein de l'administration Obama incapables de convaincre leurs propres soldats que la stratégie en place est adéquate pour remporter la guerre.
Le général a présenté mardi ses "plus sincères excuses pour ce portrait". "C'était une erreur qui reflète un mauvais jugement". Il a ajouté qu'il avait énormément de respect pour l'administration du président Barack Obama et que ce reportage ne correspondait pas aux principes de son intégrité.
source : AP