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Bouteflika délimite les règles du « jeu » au Sahel

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  • Bouteflika délimite les règles du « jeu » au Sahel

    le président Abdelaziz Bouteflika a clairement averti les « grands » du monde contre la transformation de la bande du Sahel en terrain de jeu propice pour les groupes armés et les fléaux de toutes sortes et qui ont un lien avec le terrorisme, tels que le crime organisé, la contrebande, la drogue et le trafic d’armes, dans une allocution prononcée à Toronto, au Canada, à l’occasion de la réunion du G8, à laquelle il a prit part ainsi que six chefs d’Etats africains.



    * « La zone du Sahel est devenue une aire de jeu propice pour les groupes terroristes, et cela peut engendrer des dangers réels, et devenir de ce fait, une zone d’expansion du terrorisme pour l’Afrique et le monde si rien n’est engagé pour endiguer la menace », a-t-il précisé.
    * Bouteflika a en outre insisté sur la qualité de cette aide que le Sahel attend de ses partenaires : « Nous serions heureux de recevoir une aide appropriée de la part de nos partenaires », ce qui sous-entend que l’Algérie maintien le cap sur la lutte antiterroriste et le crime organisé dans la zone saharo-sahélienne, deux jours après la fin de la réunion de Bamako que l’Algérie avait boycotté. Bouteflika a insisté sur le respect par l’Algérie des engagements bilatéraux dans les domaines de la lutte antisubversive dans la zone sahélienne, allusion faite au jeu trouble qui agite le Sahel et les manquements à la discipline antiterroriste que l’Algérie a mis en route, et que certaines parties transgressent par le biais de subterfuges caricaturaux.
    * Bouteflika a ouvertement critiqué ce qui a été rapporté par les canaux les plus avisés que des pays européens ont payé des rançons aux terroristes preneurs d’otages affiliés au groupe salafiste pour la prédication et le combat –GSPC- dans des négociations pour le moins très récusables, mettant en relief le rôle de l’Union Africaine qui a criminalisé l’acte de versement de rançons aux terroristes : « Nous sommes satisfaits du fait que le le Conseil de sécurité ait interdit de pareilles pratiques odieuses, et qui constituent en fait le principal pourvoyeur de fonds du terrorisme ».

    echouroukonline
    Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

    Gödel

  • #2
    Le comble c'est que l'algerie a perdue tout pouvoir a contrôler le sahel......le GSPC est maitre sur le sahara algerien , vous oublier vite mais il y a même pas un ans l'aéroport de ain salah a été bombardé par les islamiste........il y a eu des kidnapping ....etc etc.
    Bouteflika maintenant demande aux monde d'intervenir dans la region pour stopper le terrorisme née en algerie ....pauvre algérie

    Commentaire


    • #3
      Il n'a aucun pouvoir sur eux, quand on voit que les armés des pays centraux du Sahel sont totalement dépassée par les evénements, et que la mobilité des terroristes n'est plus a prouver, il n'y a qu'a esperer qu'ils ne viennent pas lui causer des probléme, car hier au Niger, demain au Mali et aprés demain en Algerie voila leur nouvelle devise.

      Commentaire


      • #4
        les armés des pays centraux du Sahel sont totalement dépassée par les evénements
        en effet......ajouté a cela :

        - des rancons europeennes pour financer les maliens et les terroristes

        - une rebellion touaregue au mali et au niger qui verse dans le banditisme pur et simple

        - des decouvertes dhydrocarbures indecentes et sans cesse renouvellées au sahara

        - et surtout un terrain bien preparée par la france des 1994 :

        Les islamistes algériens de Ouagadougou
        Exil à Ouagadougou

        Le 31 août 1994, la France expulsait vingt islamistes algériens soupçonnés de terrorisme. Direction : Ouagadougou. Huit ans après, six d’entre eux sont toujours au Burkina Faso et manifestent pour leur retour en France. Qui sont-il ? Comment vivent-ils ? Quel est leur statut ? Enquête sur les membres du FIS coincés au pays des Hommes intègres.

        vendredi 20 septembre 2002 C’était il y a huit ans, le 31 août 1994. Après l’attentat qui a fait cinq morts à la résidence consulaire de la France à Alger, le ministère de l’Intérieur français, à l’époque dirigé par Charles Pasqua, s’attelle à démanteler les réseaux islamistes. Les membres du Front islamique du salut (FIS) sont particulièrement visés. Une quarantaine d’Algériens sont arrêtés. Après un mois passé en détention à la caserne désaffectée de Folembray, vingt d’entre eux quittent la France sous bonne escorte à bord d’un Boeing 737 spécialement affrété pour leur transport. Direction... Ouagadougou. Suite et fin de l’histoire. Pas de procès. Plus un bruit. Le gouvernement français venait d’inventer un moyen ingénieux de se débarrasser de suspects encombrants : l’aller simple vers le Burkina.
        Huit ans plus tard, six des vingt Algériens expédiés au Burkina Faso sont toujours à Ouagadougou. Et ils protestent. Le 1er septembre dernier, ils prévoyaient une manifestation devant l’ambassade de France. Après une amorce de mouvement, ils ont finalement remis l’événement à plus tard. " Il y avait déjà du grabuge à cause de tous les Burkinabé qui demandaient des visas. On n’a pas voulu que ça fasse des ennuis ", témoigne l’un d’eux.

        on envoie les terroristes chez des amis (blaise campaoré...assassin de thomas sankara)

        on ne les renvoie pas en algerie bien sur !!!

        on les envoie au burkina faso pour quils tranquillement sorganiser....



        ceci expliquant cela...

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