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One, two, t(h)ree, plantons en Algérie

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  • One, two, t(h)ree, plantons en Algérie

    Solidarité. Nous sommes en plein Coupe du monde. Les Algériens du monde entier, les Algériens de naissance, ceux d’origine, ceux de cœur, et tous ceux qui ont soutenu les Fennecs, la sélection algérienne, ont tenu à montrer qu’ils tenaient fort à ce pays. Ils ont dit aimer l’Algérie, la soutenir, espérer la voir aller loin, se développer, grandir et se tourner définitivement vers l’avenir. Ils ont dit vouloir tout lui donner. Chiche ? Les Algériens, dont la fierté, le nif, est inscrit dans leur ADN, ne peuvent que joindre le geste à la parole. Ça tombe à pic. Bionoor, une société qui a un pied en France et un pied, entre autres, en Algérie, propose à qui le veut bien de planter des arbres dans des régions désertiques ou semi-désertiques.

    Planter des arbres, éduquer les enfants

    L’éducation est au centre du programme de plantation de Bionoor ; ce qui se traduit, concrètement, par des arbres plantés dans des écoles. Pourquoi des écoles ? Comme l’explique Hadj Khelil, que nous avons joint au téléphone, « la préoccupation est double : 1) il faut pouvoir s’assurer de la survie des arbres. Or, les écoles permettent de planter les arbres dans des enceintes à l’abri des animaux, 2) tous les arbres sont parrainés par les enfants. De la sorte, on espère que ces arbres feront partie de la vie des enfants. »

    Ainsi, en intégrant la plantation, puis l’entretien de plusieurs arbres, dans le programme scolaire, Bionoor, en collaboration avec les écoles partenaires, réussit à sensibiliser les enfants dès leur plus jeune âge. « Le problème que génère les dérèglements écologiques ne seront réglés que par une prise de conscience globale, qui ne peut venir que d’un vaste mouvement pédagogique. Les enfants sont plus à même d’entendre ce message. Ils y sont plus sensibles que les adultes, et sont d’une certaine manière moins réfractaires », précise Hadj Khelil. Et d’ajouter : « La victoire ne viendra pas de l’écologie en tant que tel, mais de l’éducation et de la sensibilisation des populations. Au lieu d’aller supplier les industriels à Copenhague, si on arrive à faire que chacun agisse par conviction, on réussira à faire que ce souci de l’environnement devienne un véritable mode de vie. On ne sera plus tributaire des desiderata des industriels, mais bien dans une démarche durable. »

    En Afrique, loin des bureaucrates

    Si Bionoor agit en Afrique, ce n’est pas anodin. Cela est certes dû au fait que Hadj Khelil appartient à une famille qui cultive des datiers depuis plus d’un siècle dans le sud de l’Algérie, mais c’est aussi parce que « plus de neuf fois sur dix les Africains ne sont pas associés aux solutions qui sont déployées pour résoudre les problèmes de dérèglements climatiques ».

    Des cols-blancs s’invitent autour d’une table, à plusieurs milliers de kilomètres des zones en souffrance, et prennent leurs décisions en donnant l’impression de faire une œuvre charitable. Plutôt que de mendier de l’aide, il faut agir local, tout en pensant global, et ne plus attendre que des technocrates veuillent bien s’acquitter de leur B. A.

    C’est donc ce que nous vous proposons aujourd’hui. Dans les pépinières entretenues par Bionoor, il y a actuellement 250 arbres qui attendent d’être plantés en Algérie (des agrumiers, des oliviers et des arbres fruitiers en général). De même une réserve de 300 arbres (des baobabs principalement) au Sénégal et 200 au Congo (notamment des flamboyants) sont prêts à être plantés. Planter un arbre coûte 24,90 euros, soit une misère si l’on rapporte ce prix à ce qu’il apporte aux enfants : embellissement de leur école, éducation, apport en vitamine C, quand les arbres donnent des fruits, sensibilisation au développement durable, lutte contre la déforestation, etc.

    250 arbres en Algérie, 200 au Sénégal et 300 au Congo, donc. Vous êtes nombreux à lire quotidiennement Al-Kanz. Puisqu’il s’agit de joindre la parole, nous vous proposons qu’on les plante ensemble. Enfin ! qu’on mandate Bionoor pour qu’ils plantent ces arbres pour nous. Et parce qu’il faut aussi en laisser pour les autres, nous ouvrons le bal et nous en achetons deux. Qui nous suit ? Ce serait bien que l’on liquide ensemble le stock de 250 arbres en Algérie (idéalement aussi ceux du Sénégal et du Congo) et que l’on crée une véritable dynamique vertueuse.

    Pour acheter un ou plusieurs arbres, cliquez sur le lien suivant : j’achète un arbre qui sera planté dans une école en Afrique (Algérie, ou Sénégal, ou Congo).

    © Al-Kanz
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