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Les régions d'Algérie

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  • Les régions d'Algérie

    Quelques uns peuvent-ils nous...parler un peu des réussites dans différentes régions du pays !

    Des projets dans l'industrie,
    Dans l'agriculture...
    Dans le tourisme....
    Dans l'urbanisme....
    Des coutumes locales....
    La pêche................................. ?

    Quelques belles réussites enfin qui nous permettraient de briser la litanie de sujets tellement décevants qu'on craindrait d'en être.... je ne sais quoi dire.

    Peut être des âmes plus portées vers ce que j'appelle des réussites mettront un quelque chose d'agréable dans nos prochaines lectures....

    Au plaisir de vous lire !
    L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

  • #2
    Je me suis permis de modifier le titre de ton sujet, Avucic.
    Prière de choisir des titres explicites et clairs pour vos topics.

    :smile:

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    • #3
      Bonjour,
      C'est un très bon sujet que vous venez de proposer, ça permet aux gens des différentes régions de connaître et de se familiariser avec les autres régions, et surtout de se mettre a jour avec les nouveautés. Notre pays est si grand, possédant de divers traditions et diffère de région en autre. Merci pour ce geste.
      Thirga,

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      • #4
        NOVO NORDISK / Un projet de 672 millions de dinars

        Après deux années d’interdiction d’importation, le laboratoire danois Novo Nordisk vient d’être autorisé à reprendre cette activité. Il revient avec un projet d’une grande envergure.

        Des médicaments pour de lourdes pathologies seront fabriqués en Algérie, précisément à Oued Aïssi, à Tizi Ouzou, sous la responsabilité directe de Novo Nordisk, à travers sa filiale Aldaph, actionnaire à hauteur de 99,98 % depuis le mois de décembre 2003. Une large gamme de produits sera produite à partir de septembre 2005 et sa filiale les étalera jusqu’à avril 2006.

        «La mise en production est programmée en septembre 2005 pour les antidiabétiques oraux, et en avril 2006 pour les antihypertenseurs et les hypolipémiants», nous explique Magdalena Paradzinska, le marketing manager de Novo Nordisk à Alger.

        Elle signale que le laboratoire prévoit une production globale de 8,7 millions d’unités de vente qui sera portée à 16 millions d’unités de vente en deux équipes.

        Le coût de cet investissement qui sera réalisé sur le site d’Aldaph à Oued Aïssi est estimé à 672 millions de dinars et permettra la création de 115 emplois.

        Le financement de ce projet sera réalisé sur les fonds propres de Novo Nordisk qui a déjà transféré et mobilisé les fonds nécessaires au lancement de la construction.

        Le terrain en question est déjà viabilisé et aménagé, et l’installation du chantier est achevée.

        Cette nouvelle usine vient enrichir le marché du médicament en Algérie, dont la production est à ses premiers balbutiements concernant certains produits pharmaceutiques destinés aux pathologies lourdes et qui font défaut sur le marché national.

        La fabrication d'anticholésterol, des antidiabétiques oraux et des antihypertenseurs ne peut que contribuer à la réduction de la facture à l’importation estimée à 600 millions de dollars.

        D’aucuns estiment que les Algériens, dont 25% sont hypertendus, ont besoin de ce genre d’unité de fabrication.

        Comme c’est le cas également pour les diabétiques, dont le nombre a atteint 1,5 million, soit 8% de la population.

        Par ailleurs, des professionnels s'interrogent : pourquoi des voix s’élèvent contre ce type d’investissements qui ne peuvent être que rentables pour l’Algérie ?

        «Des multinationales qui raflent près de 65% des 80% que représentent les fournisseurs français activent librement, et personne ne leur demande des comptes. Pourquoi s’acharne-t-on sur le laboratoire Novo Nordisk ?», nous dit-on.

        Pour le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, cet opérateur a eu son agrément sur la base d’un engagement ferme et écrit et une caution bancaire de l’entreprise concernée pour investir dans la création d’une usine de production de produits pharmaceutiques.

        Le ministère a aussi exigé un rapport d’étape tous les deux mois concernant l’évolution de ce projet.

        A noter que depuis le renouvellement de son autorisation à l’importation, le laboratoire danois fait face à des hostilités de la part de certaines associations de diabétiques.

        Ils lui reprochent de n’avoir «jamais respecté ses engagements». Interrogé à propos de cette accusation, Mme Magdalena préfère ne pas s’exprimer pour l’instant sur cette affaire.

        Par Djamila Kourta

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        • #5
          Ansej, un espoir pour tous, du concret pour certains

          Le système de lutte contre le chômage à travers l’Ansej, revu et corrigé, suscite un très grand intérêt parmi les jeunes chômeurs diplômés de la wilaya et même parmi les non-diplômés qui tentent d’en bénéficier sans y parvenir faute de répondre aux critères d’éligibilité.
          Les allègements introduits par la loi de finances 2004 ont multiplié par dix le nombre de dossiers déposés au niveau de l’antenne de Tizi-Ouzou par rapport aux années 2002 et 2003 passant de 100 à 1000 par jour, selon le directeur concerné, au point, dit-il, que les banques n’arrivent pas à suivre le rythme des attestations d’éligibilité délivrées par ses services, satisfait dans l’ordre de 40 à 50 % seulement. La durée moyenne s’écoulant entre l’établissement de l’attestation d’éligibilité et la mise en place des crédits étant de 3 à 5 mois tandis que les délais d’agrément au niveau de l’Ansej n’excédent pas un mois, compte tenu du rush suscité par les nouvelles mesures. Les critères d’éligibilité sont sensiblement les mêmes au niveau de l’Ansej et des banques, ils s’agit de la qualification du demandeur, de sa situation de chômeur, de l’âge (19 à 40 ans), de la capacité de fournir un apport personnel équivalent au taux fixé par la loi de finances 2004, de la possession d’un local et de la motivation personnelle du promoteur. Cela en théorie. Dans la pratique, les banques sont plus rétives faisant intervenir des considérations économiques et d’autres subjectives. L’accumulation de dossiers au niveau d’une banque, le financement préalable de projets similaires, la saturation et d’autres éléments moins avouables constituent des motifs de rejet ou tout au moins des procédés de découragement. Le hasard nous a justement, livré, au moment où nous quittions le responsable de l’Ansej, des exemples concrets de rejets non motivés par le CPA de Draâ Ben Khedda et de l’exigence d’une somme de 11 700 DA, préalable à l’étude du dossier déposé par deux ingénieurs en électrotechnique près d’une autre banque de la même localité, et ce, sans garantie d’une réponse positive ni remboursement en cas de rejet. Selon Mlles M. Nadia et C. Malika, venues se plaindre à notre bureau de Tizi de ces tracasseries bancaires pour utiliser un euphémisme de rigueur. Ceci dit, l’Ansej de Tizi-Ouzou s’inscrit parmi les plus dynamiques et les plus sollicité du pays si l’on considère le nombre de dossiers déposés depuis 1997 au 31 décembre 2003, soit 10 800 dossiers étudiés et agréés à 90 % avec 24 700 emplois escomptés. Pour la même période de référence, 3500 entreprises sont en activité avec 8 300 emplois directs créés sans compter les saisonniers et les emplois indirects, selon les chiffres fournis par M. Zitoun, directeur de l’antenne de Tizi, qui estime à 60 la moyenne mensuelle de projets créés entraînant une création de 100 emplois. Sauf manque de fiabilité, ces chiffres témoignent d’un blocage ou d’un gros freinage de l’ancienne formule au niveau des banques où le nombre d’agréments n’est que d’un tiers des dossiers déposés réduisant d’un taux équivalent la création d’emplois attendue. La grande majorité des promoteurs choisissent le financement triangulaire au lieu du financement mixte minoritaire mais présent tout de même. Le volume de financement Ansej se chiffre à 905 millions de DA pour la période 1997/2003, celui des banques s’élève à 2941 millions de dinars pour la même période et l’apport des promoteurs à 911 millions de DA, selon la même source. Autant d’argent, soustrait à la thésaurisation et à l’économie informelle, injecté dans la sphère de la production de biens et services apportant par ailleurs une précieuse contribution à la relance de l’économie locale. A défaut d’une évaluation globale, exhaustive et précise de l’impact économique des 3500 projets en activité, hormis la création d’emplois, un regard sur les créneaux les plus demandés donne une idée sur la place et le rôle des petites entreprises créées dans le cadre de l’Ansej. A l’actif de l’antenne de Tizi figure également la réalisation en cours d’une pépinière de la microentreprise au niveau des ex-Galeries algériennes de l’avenue Abane, siège de l’Ansej depuis quelque temps. Cette initiative, qui est une première au niveau national, consiste en la création de 40 microentreprises homogènes et complémentaires, qui serviront, selon notre interlocuteur, de modèle — entraînant et stiumlant — aux promoteurs potentiels plus ou moins hésitant à se jeter à l’eau. Installées, au niveau du bâtiment des ex- Galeries, pour une période moyenne de trois ans, ces microentreprises, qui s’entraideront et serviront de cadre de formation et de préparation pour la mutation des petits projets en moyennes entreprises, céderont la place à un nombre équivalent d’autres microentreprises, d’après ce que l’on a saisi des explications fournies par le directeur de l’antenne. Considérant la place et le rôle des petites entreprises, notamment en France et au Japon où elles représentent la plus grande partie du tissu industriel, notre interlocuteur pense que la microentreprise est destinée à un grand avenir dans notre pays.
          B. T.


          http://www.lesoird***********/artic....9315&cid=4

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          • #6
            Issad Rebrab

            En 1968, il était expert-comptable. Aujourd'hui, il dirige 23 entreprises et emploie environ 3 000 personnes. Victime d'une malveillance de la part de l'un de ses associés, il échappe par miracle à un attentat, mais il perd la plus importante de ses sociétés, Metalsider, détruite par l'explosion de 10 bombes en une nuit. Cet entrepreneur de 63 ans, dont le consortium s'intéresse à de nombreux secteurs, de la sidérurgie à l'agroalimentaire - grâce à lui, l'Algérie est devenue exportatrice d'huile raffinée - est aussi le représentant exclusif de Hyundai, d'IBM et de Rank Xerox. Il possède également un journal et projette, avec le lancement de deux rotatives, de fonder un groupe de presse.

            ************************************************** ***

            La raffinerie du groupe Cevital, contrôlé par M. Issad Rebrab, sera opérationnelle le 15 août, au moment où arriveront les premières 20 000 tonnes de sucre brut en provenance du Brésil ; située dans le port de Bejaia (ex-Bougie), elle a une capacité de 650 000 tonnes de sucre par an et importera quelque 60 000 t de brut/mois.

            R 1/7/02


            http://www.s2b.fr/statique/apps/actu...asp?artId=2042

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            • #7
              L'eau minérale Lalla Khedidja sera désormais produite par le groupe Cevital

              --------------------------------------------------------------------------------

              Les travailleurs acceptent la privatisation de l'EMAG/ETK

              Rebrab rachète
              Lalla Khedidja


              Après s'être longtemps opposés au principe, les travailleurs de l'Entreprise d'eau minérale d'Agouni Gueghrane (Emag) ont finalement accepté la privatisation de leur entreprise. L'eau minérale Lalla Khedidja sera désormais produite par le groupe Cevital de l'homme d'affaires Issad Rebrab. La décision a été entérinée avant-hier, lundi, lors d'une assemblée générale des travailleurs présidée par Mohamed Boukerma, P-DG de l'Entreprise touristique de Kabylie (ETK) dont l'Emag est une filiale, en présence de Mali Mohammedi et Akli Halli, représentants de l'Union locale/UGTA de Draâ El Mizan.
              Selon M. Mohammedi, l'accord exprimé par les travailleurs de voir leur entreprise privatisée est motivé par « l'aboutissement de longs et durs rounds de négociations au bout desquels nous avons pu arracher des conditions de cession avantageuses pour les employés », a-t-il déclaré.
              Lors de cette assemblée générale, dont une copie du P-V de réunion nous est parvenue, le P-DG de l'ETK a rappelé les termes de l'offre du groupe Cevital qui prévoit particulièrement la sauvegarde de l'emploi, question qui avait constitué la raison majeure du refus de la privatisation. Ainsi, l'effectif, dans sa totalité, sera maintenu. Mieux, quatre travailleurs licenciés et ayant obtenu de la justice des décisions de réintégration qui n'ont pas été appliquées avant le transfert de l'unité seront repris. De plus, l'ETK s'est engagée à verser à chaque travailleur une somme nette de 52,5 millions de centimes avant le transfert de l'Emag à son nouveau propriétaire. Somme qui représente la part de chaque employé du montant de la vente de l'entreprise qui s'élève à 39,375 milliards de centimes.
              Par ailleurs, le groupe Cevital, qui était en concurrence avec plusieurs autres candidats à la reprise de l'Emag, compte injecter 250 milliards de centimes sur une période de 24 mois pour améliorer la production de l'entreprise. Cet important investissement permettra, en outre, la création de 120 emplois, a précisé M. Mohammedi.
              De son côté, le collectif des travailleurs visiblement satisfait des termes de cession de l'entreprise s'est engagé à « travailler avec le nouveau repreneur et à lui assurer toute l'aide et l'assistance voulues dans l'exercice de son activité et de ses projets ». Avant de donner leur accord, les travailleurs de l'Emag avaient longtemps opposé un niet catégorique à tout processus de privatisation qui mettrait en péril leur emploi. Position qu'ils ont défendue en tenant, notamment, deux sit-in devant le siège du holding des entreprises publiques à Alger.
              A. A. Y.

              http://www.lematin-dz.net/quotidien/...39&idc=109

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              • #8
                5 micro-entreprises de distribution créées prochainement à Tizi-Ouzou



                [Aps 20/6/04] Tizi-Ouzou - Cinq micro-entreprises de distribution de gaz butane seront créées dans la wilaya de Tizi-Ouzou, durant le second semestre 2004, au titre de la mise en œuvre d’une convention Naftal/Ansej, a annoncé, dimanche, le directeur de l’antenne de l’agence. D’un montant global de 14.750.000 DA, ces unités offriront près de 10 à 15 emplois. Elles sont destinées à être implantées dans les communes de Boghni, Makouda, Drâa El-Mizan, Irdjen et Illoula Oumalou. Ces zones sont jugées insuffisamment approvisionnées en gaz Butane.

                L’Ansej a également signé une convention avec le même partenaire, pour la réalisation, à Drâa El-Mizan, d’une station services, Sirghaz (GPL) pour un montant de 7.086.000 DA. Dans le cadre de son partenariat avec les collectivités locales, cette agence d’emploi de jeunes a finalisé, selon son directeur, 3 conventions avec les APC d’Irdjen, Makouda et Tizi-Rached, pour la création d’unités de sous-traitance dans les activités déconcentrées, telles que l’entretien des routes, l’éclairage public et la gestion des déchets domestiques.

                Une autre convention a été paraphée avec l’Algérienne des Eaux (ADE) pour la réalisation de micro-entreprises dans les domaines du relevage et de la réparation des compteurs de la consommation des eaux, ainsi que la pose et l’entretien de conduites d’AEP.

                3500 micro-entreprises offrant 8700 emplois ont été créées dans la wilaya de Tizi-Ouzou depuis le lancement en 1997 du dispositif d’emploi de jeunes, alors que plus de 3000 dossiers ont été déposés durant le premier semestre 2004, a indiqué la même source, soulignant l’engouement croissant des jeunes pour la création de l’auto-emploi.


                [Aps 20/6/04]

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                • #9
                  Bordj Bou Arréridj, ville de l'électronique ?

                  Bordj Bou Arréridj, ville de l'électronique ?

                  B. A.
                  13-08-2003



                  Les plus grosses entreprises se trouvent, en fait, éparpillées à travers le territoire national. Sodimco (Haier) au centre, Bya Electronic à l'ouest, Essalem Electronic (LG) à l'est, Auvisat à Béjaïa. Mais la plus importante concentration reste au centre-est du pays, et plus précisément à Bordj Bou Arréridj. Le chef-lieu de la wilaya est devenu, par la force des choses, la ville de l'électronique. Une réputation qui est loin de faire l'unanimité parmi l'ensemble des opérateurs du pays qui voient dans cette effervescence anarchique la source d'alimentation des marchés informels d'El Eulma, Tadjenant, El Hamiz, objet d'une concurrence qualifiée de « déloyale ». Bon nombre de marques y sont représentées. Philips (groupe Abbabou), Samsung (Upac Electronic), Daewoo-Cherokee (Attya Electronics), Condor (Antar Trade) et Sharp (Mecomiex) pour ne citer que celles-là.

                  Parmi les usines que nous avons visitées, celles du groupe Abbabou et d'Upac Electronic paraissent parmi les plus armées dans la course à l'industrialisation.
                  Le premier, qui est spécialisé dans l'audiovisuel et la réception numérique, s'est lancé dans le montage des produits Philips dès 1997, après avoir commencé par l'importation et la distribution des mêmes produits. L'entreprise Abbabou, qui emploie aujourd'hui plus de 120 salariés, s'attelle à élargir sa gamme de production avec la fabrication, sur place, des cartes électroniques, activité qui prendra plus d'envergure avec la réalisation d'une extension de 5 000 m2 dotée d'équipements modernes, et se permet même le luxe de lancer des produits locaux (Coolor) sans aucune sorte de parrainage. Le fait que l'entreprise dispose d'un dépôt sous douane (avec Bya Electronic, ils sont deux à en disposer à l'échelle nationale) lui confère un standing que seuls les véritables industriels peuvent se permettre.

                  Avec une gamme de production plus variée qui va des climatiseurs aux appareils électroménagers en passant par les produits blancs, Upac Electronic aspire beaucoup plus au transfert des nouvelles technologies que lui garantit son contrat de représentation avec le géant coréen Samsung, d'où la grande qualification de ses techniciens dont le niveau d'intervention sur leurs produits défie toute concurrence.
                  Nous n'avons, malheureusement, pas eu le loisir de visiter les structures des autres opérateurs pour nous rendre compte de la réalité de la production CKD à leur niveau, par manque de disponibilité de leurs patrons.
                  B. A.

                  http://www.lematin-dz.net/polemiques...607&idc=59
                  Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                  • #10
                    ABDELLAH HASNAOUI. Président du groupe Hasnaoui «Bientôt une usine de montage de camions avec Volvo»
                    http://www.africatime.com/sites/inde...3FRefPays%3D15

                    Troisième Salon national de la micro-entreprise:L’ANSEJ met les bouchées doubles
                    http://www.africatime.com/sites/inde...3FRefPays%3D15

                    Devenus chefs de micro-entreprises en recourant au dispositif ANSEJ: Des jeunes promoteurs reviennent sur leurs succès
                    http://www.africatime.com/sites/inde...3FRefPays%3D15
                    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                    Commentaire


                    • #11
                      RÉUSSITES

                      MERCI Zek et tous les autres.

                      Ça fait plaisir qu'il y a des réussites en Algérie.

                      Ça nous change du pessimisme qu'on entend partout.

                      Merci encore.
                      L'homme parle sans réféchir...Le miroir réfléchit sans parler!

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                      • #12
                        Apparemment le lien ne marche pas voici le texte en clair

                        Devenus chefs de micro-entreprises en recourant au dispositif ANSEJ:
                        Des jeunes promoteurs reviennent sur leurs succès
                        (La Tribune d'Algerie 29/01/2004)

                        Les jeunes chefs d’entreprise nous ont présenté leurs entreprises respectives et nous ont donné leurs impressions sur le dispositif ANSEJ.
                        Ils partagent tous les mêmes qualités ; idée fixe sur ce qu’ils veulent, le sens des affaires et une détermination sans faille. Ce sont de jeunes algériens devenus, du jour au lendemain, chefs d’entreprise par le biais du dispositif ANSEJ. Ahmed, Kamel, Salah Eddine et Lyes faisaient partie, il n’y a pas longtemps, de ces milliers de jeunes diplômés confrontés dès la fin de leur cursus universitaire à la dure réalité du chômage. Mais à la différence de leurs pairs, ces jeunes gens, croyant en leur bonne étoile, n’ont jamais douté de leurs capacités et de leurs chances. La mise en place d’un dispositif de soutien à l’emploi des jeunes, ANSEJ, a constitué pour eux l’occasion ou jamais de s’arracher du chômage et de réaliser leur rêve de devenir un chef d’entreprise et gagner ainsi leur place au soleil. Ils ont bravé toutes les difficultés pour réussir. Ni les contraintes bancaires ni la bureaucratie de l’administration n’ont eu raison de leur détermination. Rencontrés au troisième Salon de la micro-entreprise (SAMIE 2004), où ils exposent leurs produits et services, les jeunes chefs d’entreprises nous présenté leurs entreprises et nous ont donné leurs impressions sur le dispositif ANSEJ. Pour Salah Eddine, gérant d’une entreprise de conditionnement et d’emballage de produits alimentaires, le dispositif ANSEJ lui a permis, grâce aux avantages qu’il offre aux jeunes promoteurs, d’être un véritable homme d’affaires et un exportateur de produits nationaux. Son entreprise, sise à Biskra, achète des produits agroalimentaires directement des agriculteurs, les conditionne, les emballe au niveau de son unité et les exporte à destination des marchés européens et asiatiques notamment. Le jeune chef d’entreprise dispose même de points de vente à Dubaï, aux Emirats arabes. Son entreprise, nous dit-il, a fait entrer aux caisses de l’Etat un montant en devises de 200 000 euros. Le succès est aussi là pour Ahmed Chafik, vétérinaire, et actuellement gérant d’une unité de fabrication d’aliments pour animaux. Ce jeune promoteur s’est lancé également dans l’élevage des volailles (poulet, dinde et perdrix). Etant donné qu’il a investi dans un domaine où il excelle, son projet a été réalisé avec moins de difficultés. Le dispositif ANSEJ, pour ce jeune chef d’entreprise, est ce qu’il y a de mieux en matière de soutien à l’emploi des jeunes pourvu qu’on ne mette pas les bâtons dans les roues. Pour Mustapha Kamel, artisan et fabricant de chaussures, le dispositif ANSEJ lui a permis d’avoir un prêt pour l’achat des machines. Ses produits étalés au niveau de son stand au SAMIE ont subjugué plus d’un visiteur. On n’arrive pas à croire qu’il s’agit d’un produit national. Les chaussures, avec du véritable cuir, fabriquées par l’entreprise de Mustapha Kamel n’ont rien à envier à celles des fabricants étrangers, pourtant plus outillés que lui. Le seul problème qui se pose à lui, nous confie-t-il, c’est la concurrence déloyale des importateurs qui inondent le marché national par des produits contrefaits et de piètre qualité en jouant sur le prix. «L’Etat, lance-t-il, doit protéger les producteurs comme nous.» «C’est toute l’industrie du cuir qui en pâtira si on ne fait rien», ajoute-t-il. Son entreprise a même eu des propositions de la part d’acheteurs européens. Chose qui prouve la qualité de ses produits.
                        Par Salah Slimani
                        S. S.

                        ABDELLAH HASNAOUI. Président du groupe Hasnaoui «Bientôt une usine de montage de camions avec Volvo»
                        (El Watan 25/06/2003)

                        Le groupe Hasnaoui, créé en 1964, est constitué de 7 sociétés et d’un holding financier. C’est un groupe à la compétence avérée intervenant dans divers domaines : l’industrie, le service et l’industrie. Il compte installer une usine de montage de camions avec le grand constructeur Volvo d’une capacité théorique de 600 camions.

                        Tout d’abord, une présentation du groupe Hasnaoui…

                        Le groupe Hesnaoui est constitué de plusieurs sociétés. Nous sommes dans l’industrie, la distribution et le service. Le groupe a été créé en 1964, totalisant une expérience dans l’industrie, le service et la distribution. Notre groupe a à son actif une expertise dans la collectivité, le matériel de travaux publics, l’automobile, les véhicules industriels et les télécommunications. Nous avons donc 7 sociétés au service du client et un holding financier. Dans l’industrie, nous avons la Société algérienne de fonderie et d’emboutissage (ALFEM). Elle est donc spécialisée dans la fonderie, la collectivité et le traitement de surface. La plupart des universités, des lycées, des salons d’entreprises et d’autres organismes de souveraineté sont équipés par notre matériel qui est fabriqué à Blida dans une usine qui fait 20 000 m2 couverts. Ce qui veut dire que lorsqu’on installe une cuisine, il y a la conception, la fabrication, l’installation et le service après-vente. Notre deuxième entreprise, la Compagnie commerciale et industrielle (CCI) s’occupe de la réalisation des seconds œuvres tels la plomberie, l'électricité, le gaz, etc. Et ce depuis 1964 à ce jour. D’ailleurs, nous sommes leaders dans ce domaine. Notre troisième entreprise, GHKomatsu, une société mixte avec le constructeur lui-même. Du point de vue importance, elle est le deuxième constructeur mondial et le premier en rapport qualité/prix. On travaille avec la plupart des entreprises algériennes de réalisation. Elle intervient dans tout ce qui est cimenterie, mines, travaux routiers, aéroports, etc. Elle joue un rôle très important puisqu’elle vend en Algérie plus de 20 000 produits, et ce, depuis les années 1980 à ce jour. Le client qui achète chez nous du matériel est aussi entièrement pris en charge : diagnostic de son parc, le choix du matériel et son accompagnement tout le long de la durée de vie du matériel qu’il achète. Nous avons une équipe de techniciens algériens très performante qui bénéficie d’une continuelle formation ici et chez notre partenaire. Nous intervenons aussi dans l’automobile. Depuis 1991, on est le distributeur exclusif de Nissan en Algérie. Les premières années, on a eu beaucoup de difficultés. Par conséquent, on a travaillé timidement, mais sûrement. Aujourd’hui, on est leader dans tout ce qui est utilitaire (pick-up, 4X4 double cabine, 4x2, 4X4). Toutes les entreprises ont besoin de ce genre de véhicules. Comme vous le savez, Nissan est devenue une référence dans le domaine de l’automobile, compte tenu du rapport qualité/prix. La plupart des véhicules commercialisés en Algérie sont des véhicules dernière génération qui répondent aux normes internationales tant sur les plans environnement que sécuritaire. C’est pour cette raison que nous avons réussi à gagner la confiance de nos clients. Réussite à mettre aussi à l’actif de notre jeune directeur général. En 2001, il a eu le prix de management dans toute la région. En 2002, il a eu aussi le prix de la performance qui a été décerné par le président de Nissan. L’Algérie a été primée parmi 18 pays. En 2003, il a récidivé avec le même prix. Mais en dépit de cette performance, nous avons encore des problèmes liés aux hommes, à la disponibilité des terrains et à beaucoup d'éléments pour satisfaire totalement le client. Beaucoup reste à faire. Nous sommes aussi en partenariat avec le grand groupe européen EADS Télécom. Mais seulement dans les télécommunications (la téléphonie, radio, etc).

                        Une des spécialités du groupe étant le véhicule, peut-on avoir votre avis sur le marché de l’automobile ?

                        Le marché algérien est diversifié. Vous savez, le marché des véhicules particuliers est dominé par la voiture d’occasion. Aujourd’hui, elle coûte aussi cher que le véhicule neuf, sans services et dont l’âge dépasse souvent 3 ans. Conséquence, le parc automobile algérien, fort de plus de 2,5 millions de voitures, est constitué en majorité de véhicules qui ont plus de 5 ans d’âge. D’où les accidents de la route qui font beaucoup de morts. Par conséquent, notre rôle est de travailler dans un cadre organisé en tenant compte de l’environnement et du rapport qualité/prix. Il ne faut pas que les concessionnaires, quels qu’ils soient, continuent à importer des produits qui ne sont pas vendables en Europe.

                        Comment expliquez-vous les réticences des constructeurs automobiles à installer des unités de montage en Algérie ?

                        Ecoutez, je pense qu’en Algérie le montage de véhicules n’est pas une priorité. Pourquoi ? Parce que pour monter ce genre d’usine, il faut un certain chiffre d’affaires pour pouvoir amortir l’investissement. Et ce n’est pas en vendant 50 000 ou 6000 véhicules divers par an que vous pouvez vous permettre d’installer une usine de montage qu’elle que soit la marque. Donc, on ne peut pas exiger d’un constructeur la réalisation de ce genre de projet. Pour deux raisons essentielles. La première est économique. Nous sommes par ailleurs engagés dans un processus d’adhésion à l’OMC qui assure aux investisseurs la liberté d’investir. Le constructeur a la liberté d’investir là où il trouve son intérêt.

                        Quels sont vos partenaires ?

                        L’ensemble de nos partenaires sont des géants dans leurs domaines. Le premier partenaire qui est venu, c'était en 1978. A cette époque, la législation ne permettait pas d’avoir un partenariat avec une société étrangère. Mais dès 1990, avec la promulgation de la loi permettant aux entreprises de nouer des partenariats avec leurs homologues étrangers, nous étions les premiers à le faire. De 1990 à 1991, on a eu 2 partenariats. Le premier, dans l’automobile Nissan avec le groupe Mitsui qui est l’un des plus grands groupes au monde. Et le deuxième avec Komatsu avec qui nous avions prévu des projets de fabrication de certaines pièces. Les événements vécus par notre pays ont malheureusement mis entre parenthèses cette partie industrielle de notre partenariat. Car nous sommes, d’abord et avant tout, des industriels. C’est notre vocation. Mais cette industrie ne peut réussir que si elle s’associe avec un partenaire. En bénéficiant de son nom, de son réseau international de distribution on a plus de chance de réussir.

                        Le groupe Hasnaoui a-t-il dans ses tablettes de nouveaux projets ?

                        Nous avons plusieurs projets. Dans le véhicule lourd, avec le constructeur Volvo, nous avons un projet d’une usine de montage à long terme. Nous allons commencer cette année. Les études sont fin prêtes. On fera du véritable CKD. Le montage du camion est faisable et plus facile que celui des véhicules légers. Dans ce projet, Il y a aussi l’assistance technique de notre partenaire. C’est très important. On a été un peu retardé pour le terrain. Finalement, on a opté pour l’installation de cette unité à Blida, en attendant de trouver un autre site plus important. Pour moi, le financement est secondaire. Parce qu’aujourd’hui l’Algérie pourrait obtenir tous les financements qu’elle veut pour des projets fiables. Nous, nous ne demanderons de financement que s’il est nécessaire. Sinon, on ne le fera pas, compte tenu des problèmes de dévaluation des cours. Donc, quelles que soient nos solutions de financement, nous le ferons d’abord avec les banques algériennes et nous suivrons les conseils qu’elles nous donneront. Concernant la capacité de production de cette usine, pour le moment, on commencera avec 250 grands camions pour arriver à 600. Concernant la fabrication de bus, elle interviendra dans 2 ans. Le transport de voyageurs est indispensable. A mon avis dans ce créneau, l’autobus a un avenir beaucoup plus prometteur que celui du camion.

                        Par A. C.
                        Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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