J'ai (ou plutôt j'avais) un collègue étranger (comme moi) mais installé en France depuis à peine un an. Quand je suis rentré à Rennes la dernière fois, il était pour le moins irrité ! Il aurait eu un problème avec un autre étranger qui était impatient et voulait passer au guichet de l'OFII avant lui (des problèmes qui arrivent quand il n'y a qu'un seul guichet pour tous les étrangers de la ville !!!). Alors il lui a sorti un truc du genre "ici c'est la France, on respecte la loi, ..." et bien évidemment le fameux "tu n'es pas chez toi". En me racontant ça, il était presque fier de son geste très civique, mais moi j'étais écœuré et je regrettais toutes les fois où je l'ai considéré comme un pote.
Évidemment, le topic ne parle pas de "l'universalité du racisme", il est plutôt question de xénophobie. Plus exactement d'une forme assez particulière de xénophobie qu'on peut résumer par l'expression "Tu me bouffes mon oxygène". Ca vient généralement d'étrangers trop obnubilés par le modèle occidental et impatients de s'y intégrer, et qui trouvent que leurs semblables les freinent en quelque sorte dans cette démarche. Ainsi, ils sont convaincus que, pour réussir son intégration, il faut commencer par cracher sur ses semblables.
Évidemment, le topic ne parle pas de "l'universalité du racisme", il est plutôt question de xénophobie. Plus exactement d'une forme assez particulière de xénophobie qu'on peut résumer par l'expression "Tu me bouffes mon oxygène". Ca vient généralement d'étrangers trop obnubilés par le modèle occidental et impatients de s'y intégrer, et qui trouvent que leurs semblables les freinent en quelque sorte dans cette démarche. Ainsi, ils sont convaincus que, pour réussir son intégration, il faut commencer par cracher sur ses semblables.
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