Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les exportations agricoles de l'Algérie ne dépassent pas 60 millions de dollars

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Les exportations agricoles de l'Algérie ne dépassent pas 60 millions de dollars

    Les exportations hors hydrocarbures demeurent en deçà des objectifs fixés par les gouvernements qui se sont succédé au pouvoir depuis quelques années. En effet, les revenus de l’Algérie des exportations hors hydrocarbures n’ont pas pu dépasser 0.06 milliards de dollars, l’année dernière, alors que les revenus de notre voisin, la Tunisie, ont atteint 1.5 milliards de dollars. Pour la même période, les revenus du Maroc sont estimés à 2.5 milliards de dollars. Malgré les 420 mille PME réparties dans le pays, les produits made in Algeria n’arrivent pas à pénétrer le marché mondial.

    Selon l’économiste Salaha Beloucif, c’est un échec pour les 420 mille PME qui n’arrivent pas à promouvoir leurs produits et les rendre plus compétitifs sur le marché mondial, soulignant que les exportations hors hydrocarbures de l’Algérie ont atteint l’année dernière 2.2%, elles sont composées des matières premières, des semi-produits et des produits agroalimentaires. Afin de promouvoir les exportations hors hydrocarbures, le même interlocuteur suggère l’amélioration de la qualité des produits algériens pour qu’ils puissent répondre aux normes internationales, et d’investir dans le secteur agricole, vu les capacités dont dispose le pays, à l’instar de l’oléiculture, la tomate industrielle, le soja, le blé et d’autres produits agricoles qui serviront de base pour l’industrie agroalimentaire.

    El Khabar

  • #2
    Les exportations agricoles de l'Algérie ne dépassent pas 60 millions de dollars

    Le ministre algérien du Commerce Mustapha Benbada a déclaré :
    L'Algérie "n'est pas pressée" d'adhérer à l'Organisation mondiale du commerce (OMC)


    Les 420 mille PME ont répondu :
    Nous somme pas pressée d'exporter .



    Commentaire


    • #3
      la production nationale sert au marché national

      tout le contraire du royaume enchanté....ou le peuple ne fait que voir la production....sans pouvoir se loffrir...

      Commentaire


      • #4
        tout le contraire du royaume enchanté....ou le peuple ne fait que voir la production....sans pouvoir se loffrir..
        disons qu'ils ont droit aux deuxiéme et troisiéme choix ou ce qui reste de la préparation du premier choix qui reste reservé pour l'exportation, ce qui n'est pas faux, s'en passer du premier choix c'est aussi du travail rentable pour leur économie et la rentrée des devises!

        Commentaire


        • #5
          pourquoi se poser des questions ?? regarder le sabotage programmé de la production et la transformations des tomates dans les wilayas de l'EST !!!
          les Produits "Izdihar" Par exemple ne sont même pas Algériens ! de l'importation sauvage camouflé en produit national !
          وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

          Commentaire


          • #6
            Boubérita, je ne sais pas si c'est la même chose, mais ici à Adrar ns avions eu notre part du sabotage: Tout était prêt pour exporter la tomate concentré, production locale et transformation et mise en boite! Le Babour ne l'a pas autorisé!

            Commentaire


            • #7
              Salut Taghiti
              lis cet article :
              Importations frauduleuses du concentré de tomates en Algérie


              Avec cette nouvelle affaire d’importations frauduleuses de double concentré de tomates d’Italie, le point de non-retour est atteint dans cette filière stratégique de l’agroalimentaire. Contraints de réagir à cause des risques latents de dépôt de bilan, les conserveurs algériens ont fait voler en éclats la loi du silence.
              samedi 18 septembre 2004. Elle pesait sur l’un des plus importants systèmes de fuite de capitaux et de blanchiment d’argent.
              Pris dans la tourmente des invendus devenus une régularité à chaque campagne, les conserveurs veulent faire front. Ils détiennent assez d’informations pour provoquer une véritable crise à tous les niveaux des institutions de l’Etat, y compris celui de la grande silencieuse, les Douanes, les ministères des Finances et du Commerce. Les conserveurs, agriculteurs producteurs de tomate industrielle et travailleurs pointent le doigt vers ce qu’ils ont assimilé à une véritable mafia du concentré de tomates d’importation. Pour s’imposer sur le terrain, cette mafia n’hésite pas à distribuer à ses protecteurs commissions et prébendes.
              Au-delà de la fuite des capitaux, du blanchiment d’argent et de l’enjeu qui représente le marché algérien du CT évalué annuellement à plus de 60 millions de dollars, ceux qui tirent les ficelles sous des prête-noms se sont fixés d’autres objectifs. Un de ces objectifs devrait les amener à mettre à genoux la trentaine d’unités de transformation de tomate industrielle du pays dont 26 implantées dans les wilayas de l’Est.
              D’une capacité de production cumulée de quelques 160 000 t/an, ces unités emploient directement et indirectement 120 000 travailleurs. L’éventualité de la disparition de ces unités est soulignée par le président de l’Association des conserveurs de tomate (Actom) lorsqu’il déclare : « Si l’Etat n’exerce pas son pouvoir de régulation dans toute sa rigueur, nous risquons de fermer nos portes à très cour terme. » En fait, ce président n’a pas voulu aller au-delà d’une appréciation technique.
              Apparemment, la situation lui échappe de par l’illégalité et les nombreuses anomalies constatées dans les opérations d’importations réalisées. Il en est ainsi de ces 19 000 t de CT importées durant le seul premier trimestre 2004 d’Italie, de Chine, de Turquie, de Grèce et de Dubaï. Il a suffi de quelques jours aux commanditaires pour faire frauduleusement entrer, via la Tunisie, toute cette quantité en territoire algérien. La Tunisie est également partie prenante des activités de cette fraude qui lui permet d’écouler en Algérie l’excédent de sa production de CT. Sous couvert de la légalité, d’autres opérateurs importent ce produit en prenant soin de minorer leurs factures. Il y a enfin ceux qui s’adressent à des fournisseurs étrangers spécialisés dans la production de concentré de tomates de très mauvaise qualité qu’ils destinent spécialement au marché algérien.
              Les réseaux de contrebande
              Selon les conserveurs, le prix imbattable déclaré par les importateurs, l’équivalent de 10 DA la boîte de 500 g de CT, n’a pas intrigué les douaniers algériens. Ces derniers n’ont pas été également surpris par l’absence de toute inscription portée sur l’emballage quant à la traçabilité du CT. « Des importateurs peu scrupuleux importent du concentré de tomates sur la base de factures minorées auprès de fournisseurs étrangers producteurs de CT que l’on ne trouve nulle part à travers le marché extérieur. Nous n’arrivons pas à expliquer que ces anomalies et pas mal d’autres n’aient pas alerté les services concernés.
              Comment se fait-il qu’on nous taxe sur 7,50 DA le prix de la boîte d’emballage importé et que l’on ne s’inquiète même pas que contenu et contenant importés arrivent aux ports d’Algérie au prix de 10 DA l’unité », a indiqué un des conserveurs de la wilaya d’El Tarf. L’impunité aidant, les réseaux de contrebande du concentré de tomates ne se fixent plus de limites en n’hésitant pas à utiliser des subterfuges très grossiers.
              Grâce à leurs pratiques, nous apprenons que la lointaine Chine et la désertique Dubaï des Emirats arabes, les deux pays qui importent la totalité de leurs besoins en CT, se sont découvertes productrices de tomate industrielle et de concentré de tomates destinés au marché algérien. Cette autre anomalie est passée inaperçue du côté des douaniers algériens qui décidément ne voient jamais rouge quand il s’agit de concentré de tomates. « Toute la tomate qui nous vient de la Tunisie entre frauduleusement. Les auteurs ne paient ainsi aucun centime en droits et taxes sur des milliers de tonnes qu’ils écoulent sur le marché national. Le préjudice se chiffre à des milliards de dinars pour le trésor public. Depuis quand Dubaï et la Chine produisent-ils du CT qu’ils destinent spécialement à l’Algérie ? Des analyses ont démontré que ce CT ne répond pas aux normes algériennes avec un taux de concentration qui dépasse rarement les 17%. », a précisé le président d’Actom. Les conséquences de ces importations frauduleuses n’ont pas tardé sur le terrain avec l’apparition d’une concurrence déloyale impossible à soutenir par les conserveurs algériens. D’où les pires difficultés qu’ils éprouvent à écouler leur production d’à peine 50 000 t/an pour des besoins nationaux exprimés de 60 000 t.
              Pas de traçabilité
              Cette production est en deçà de leurs capacités annuelles de 160 000 t. Ces difficultés sont à l’origine des 20 000 t annuellement en mévente. « Nous sommes confrontés à une concurrence contre laquelle nous sommes impuissants car générée par le trafic, la contrebande, la fraude sur la qualité et le prix. Nous pouvons largement couvrir les besoins nationaux de l’ordre de 50 000 à 60 000 tonnes. Nous sommes en mesure de faire mieux pour permettre à notre pays d’économiser le maximum de devises. D’autant que par rapport à celui importé, notre CT est très apprécié. Il est produit sur la base de pure tomate, sans colorant, sans betterave, carotte ou pomme de terre, tant de produits qui servent aux Italiens du Sud, aux Chinois et aux Emiratis pour la production de leur CT qu’ils destinent exclusivement au marché algérien », a ajouté notre interlocuteur. Un argument massue est présenté par les conserveurs algériens. Il consiste en la présentation d’une boîte de CT de 800 g portant marque Latina d’Italie. Pour le commun des mortels, l’emballage rouge et blanc sur fond noir ne comporte aucune anomalie. Lues de près, les inscriptions qui y sont portées ne donnent aucune indication sur le taux de concentration du CT. Certes, le nom de l’importateur y est mentionné mais son adresse commerciale et autre élément à même de le localiser sont inexistants. Des investigations entreprises à Bordj Bou Arréridj, nom de la wilaya inscrite sur l’emballage comme étant le lieu d’implantation du siège de la société import/export M. K, il ressort que cette dernière n’existe pas. Inexistence confirmée par les services de la répression des fraudes et des impôts. Plusieurs membres d’Actom ont unanimement reconnu : « C’est un importateur qui agit sous un prête-nom. Il continue à sévir et ne parait pas être inquiet par les opérations de recherche lancées pour le localiser ou l’identifier. En fait, le même importateur est un commerçant à Sétif. Depuis 5 années, il s’est lancé dans l’importation du CT du Sud de l’Italie. Son emballage n’indique rien de précis. Même le taux de concentration n’est pas inscrit alors que c’est une obligation. Il s’est avéré par la suite que cette marque de tomate Latina n’existe pas en Italie ni ailleurs. Ayant remarqué l’engouement des consommateurs algériens pour tout ce qui porte la marque « made in », l’importateur a demandé à son fournisseur italien d’imprimer cette marque sur son emballage. Bien qu’il ait par la suite réalisé une unité de production à Chelghoum Laïd, il s’est limité à transformer le triple concentré de tomates import. C’est sous la marque Latina inscrite sur l’emballage qu’il le commercialise en Algérie. Il est allé jusqu’à imprimé que cette marque est sa propriété exclusive et qu’elle est enregistrée en Italie. Or, jusqu’à preuve du contraire toute marque produite en Algérie doit être enregistrée en Algérie (IAPI) ».
              Par N. Benouaret, El Watan


              il date de 2004 et je te jure que rien n'a été fait ...wallou
              pire d'autres Acteurs entre en jeux , de l'importation de chine et de la Tunisie ...
              وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

              Commentaire


              • #8
                hugo tu dis n importe koi , soit t es mal informe (j espere ,et revise tes sources ) ou tu veux juste etre mechant et tu sors du n importe koi .

                Commentaire


                • #9
                  tout verité est bonne a dire...

                  le consommateur moyen marocain....et son pouvoir dachat ...il ninteresse pas grand monde

                  Commentaire


                  • #10
                    en tt cas les magasins et centre commerciaux qui ouvrent partt au maroc,ouvrent leurs portes juste pour ouvrir ,une chance que les investisseurs ont pas la meme mentalite economique que toi sinon ca serait pas drole

                    Commentaire


                    • #11
                      les marocains aiment s habiller proprement , ouvrir un commerce de bouf ou de vetements de marques ,ca marche a cout sure .

                      Commentaire


                      • #12
                        othmane, l'algerien est plus connu que le marocain pour aimer s'habiller, frimer, dépenser ect ect

                        n'oublie pas que le maroc est aidé par les 9 millions de touristes.qui font tourner l'economie.

                        Commentaire


                        • #13
                          othmane, l'algerien est plus connu que le marocain pour aimer s'habiller, frimer, dépenser
                          c'est une idée recu je crois....au maroc il y a bcp plus de centres commerciaux,de cafés de restaurants, d'hypermarchés qu'en algérie.
                          n'oublie pas que le maroc est aidé par les 9 millions de touristes.
                          et l'espagne par 50 millions de touristes...la france par 60 millions de visiteurs...
                          qui font tourner l'economie
                          il y a pas que ca qui fait tourner l'economie samarkand.

                          Commentaire


                          • #14
                            n'oublie pas que le maroc est aidé par les 9 millions de touristes. et l'espagne par 50 millions de touristes...la france par 60 millions de visiteurs...

                            Et l'algerie est aidé par son sous-sol trés riche

                            le consommateur moyen marocain....et son pouvoir dachat ...il ninteresse pas grand monde
                            Hugo, au maroc le pouvoir d'achat , le smig ... sont superieur qu'en algerie

                            Et la classe des riches , la concentration de centres de shopping ,de resto d'hotel , de casino, d'enseigne celebres.... sont plus nombreux qu'en algerie

                            Donc normal que la consomation soit importante au maroc qu'en alegrie

                            Commentaire


                            • #15
                              tout verité est bonne a dire...

                              le consommateur moyen marocain....et son pouvoir dachat ...il ninteresse pas grand monde
                              c'est quoi le rapport avec notre sujet ??? l'articl ne parle pas de marocains ..la ilaha ila allah , ya des gents fi kloubihom marad , fzadahom allaho marada.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X