Chakib Khelil, le ministre du puissant secteur de l’Énergie et des Mines, se rend aux Etats-Unis, un pays qui engloutit 25% de nos exportations en hydrocarbures.
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L’importance du marché US - 25% des exportations algériennes de pétrole
Le marché US prend de plus en plus d’importance pour l’Algérie. Les exportations de pétrole brut vers les États-Unis sont en augmentation. Elles représentent 25% des exportations algériennes de brut, a indiqué M. Hached, le vice-président commercialisation à Sonatrach. L’Algérie a également l’intention de se placer sur le marché du gaz américain qui connaîtra, à l’avenir, une forte croissance à travers des réservations de capacité dans des terminaux de regazéification dans le golfe du Mexique. En parallèle, grâce au pétrole, les États-Unis sont devenus le premier partenaire commercial de l’Algérie.
Les intérêts des compagnies américaines en Algérie sont, du reste, en train de croître. Leurs profits sont en hausse. Par exemple, la compagnie américaine Anadarko a transféré pour plus de 1 milliard de dollars au titre de sa rémunération (profit oil) en 2005. Plus de nuages. Les navires de Sonatrach dont certains ont été bloqués dans les ports américains peuvent circuler librement. Ils sont désormais certifiés au code ISPS. C’est sur ce fond de toile que s’inscrit la visite du ministre de l’Énergie aux États-Unis. Il s’agira, en somme, de renforcer la coopération énergétique.
Une convergence de vues l’y encourage : l’Algérie avec la mise en œuvre de la nouvelle loi sur les hydrocarbures est en phase avec les principes de libéralisation du marché énergétique développés par les États-Unis. Il s’agira également d’approfondir le dialogue avec le partenaire américain sur la stabilité du marché pétrolier international. Tel est le sens de la visite de M. Chakib Khelil à Washington.
(c) Liberté
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L’importance du marché US - 25% des exportations algériennes de pétrole
Le marché US prend de plus en plus d’importance pour l’Algérie. Les exportations de pétrole brut vers les États-Unis sont en augmentation. Elles représentent 25% des exportations algériennes de brut, a indiqué M. Hached, le vice-président commercialisation à Sonatrach. L’Algérie a également l’intention de se placer sur le marché du gaz américain qui connaîtra, à l’avenir, une forte croissance à travers des réservations de capacité dans des terminaux de regazéification dans le golfe du Mexique. En parallèle, grâce au pétrole, les États-Unis sont devenus le premier partenaire commercial de l’Algérie.
Les intérêts des compagnies américaines en Algérie sont, du reste, en train de croître. Leurs profits sont en hausse. Par exemple, la compagnie américaine Anadarko a transféré pour plus de 1 milliard de dollars au titre de sa rémunération (profit oil) en 2005. Plus de nuages. Les navires de Sonatrach dont certains ont été bloqués dans les ports américains peuvent circuler librement. Ils sont désormais certifiés au code ISPS. C’est sur ce fond de toile que s’inscrit la visite du ministre de l’Énergie aux États-Unis. Il s’agira, en somme, de renforcer la coopération énergétique.
Une convergence de vues l’y encourage : l’Algérie avec la mise en œuvre de la nouvelle loi sur les hydrocarbures est en phase avec les principes de libéralisation du marché énergétique développés par les États-Unis. Il s’agira également d’approfondir le dialogue avec le partenaire américain sur la stabilité du marché pétrolier international. Tel est le sens de la visite de M. Chakib Khelil à Washington.
(c) Liberté
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