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L’Arabie Saoudite met en garde contre les mariages mixtes

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  • L’Arabie Saoudite met en garde contre les mariages mixtes

    Awasir, association de protection des familles saoudiennes à l’étranger, a décidé de mener une campagne pour mettre en garde les Saoudiens contre les mariages avec des étrangères. Premières visées, les Marocaines !

    Le conseil d’Awasir, réuni à Riyad, a décidé de mettre en place un plan de sensibilisation face aux "effets négatifs du mariage avec des non saoudiennes et les problèmes sociaux et familiaux qui en résultent".
    Dans le cadre de cette campagne, Awasir promet une tournée dans 30 pays étrangers pour rencontrer des familles saoudiennes qui y sont installées afin de les aider à un éventuel retour en Arabie Saoudite.
    Cette campagne, qui cible surtout les jeunes saoudiens se tiendra tout au long de l’été 2010, vise à prévenir "le mariage à l’étranger sous toutes ses formes". Des études seraient d’ailleurs en cours pour évaluer le taux de mariages mixtes chez les Saoudiens.
    Toujours selon Awasir, "ces mariages souvent organisés dans le secret" avec des étrangères seraient à l’origine de l’abandon de plus 1500 femmes et enfants dans 19 pays du monde dont 90% est originaire de pays tels le Maroc, la Syrie et les Philippines.
    A terme, une nouvelle loi sur le mariage mixte devrait interdire celui-ci aux membres du gouvernement, aux employés des ministères et aux services de sécurités saoudiens. En cas de non respect, les personnes concernées risqueront jusqu’à 20.000 euros d’amende en plus de l’expulsion du conjoint étranger. MAP
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    Premières visées, les Marocaines !
    biensur ces saoudien preferent juste faire des "mariage "mout3a, missyar, 3orfi et mariage temporaire avec les marocaines,
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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    • #3
      t'es en train de dire quoi oudjda, plus de respect, tu fais parti du clan d'oujda

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      • #4
        respect ces projet de loi saoudienne qui vise interdire les mariages mixte et l'auteur a bien pricisé que ces le smarocaine les premiers visées.
        tu les respecte t'es libre, moi je ne les repsecte pas ces saoudiens
        المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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        • #5
          les wahabites ne veulent plus des marocaines...

          les hriras vont etre bien claires, lights si ca continue ainsi...

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          • #6
            les wahabites ne veulent plus des marocaines...
            domage que ces marocaine veulent a tout prix de ces arabe
            wahhabite et chiite

            les hriras vont etre bien claires, lights si ca continue ainsi
            j'ai rien compri de ta hrira la ya monsieur chavez
            المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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            • #7
              Enfants de Saoudiens sans le sou


              Des Marocaines, épouses de ressortissants saoudiens à qui l’Arabie saoudite versait des pensions pour leurs enfants, s’en trouvent privées. Récit du calvaire d’une mère et de son fils.
              Elles sont près de 300 dans son cas. Jusque-là, elles se sont faites plutôt discrètes. Mais Nadia Mohcine, Oum Saïf comme on l’appelait du temps où elle vivait avec son époux en Arabie saoudite, fait partie de ces femmes qui ont décidé de se battre et qui ne reculent devant rien, affûtant leurs féline griffes de lionne dès lors qu’il s’agit de défendre les intérêts de leurs rejetons.
              Elle a décidé de se rendre ce 13 décembre 2006 à l’ambassade d’Arabie saoudite à Rabat pour tenter de présenter ses revendications pour la énième fois à des responsables qui semblent lui faire la sourde oreille. Elle-même de père marocain et de mère franco-algérienne, Nadia connaît probablement mieux que toute autre les affres des enfants issus de couples mixtes. Séparée de son mari saoudien depuis plus de 9 ans sans pour autant être divorcée, sans emploi, Nadia vit seule au Maroc avec ses parents et son fils de 14 ans, Saïf.
              La peau mate, les yeux foncés et brillants, les cheveux raides et noir de jais des gens du désert, jonglant avec l’arabe classique comme avec l’anglais, difficile de se tromper. Saïf détient un “passeport saoudien”. Comme beaucoup d’autres enfants de père saoudien dans sa situation, de parents séparés, juridiquement ou non, Saïf recevait depuis l’an 2000 une pension dite “ikramia” de 4.675 dirhams par l’émir Abdallah avant qu’il ne soit intrônisé roi d’ Arabie saoudite.
              Nadia, comme un centaine d’autres citoyennes marocaines dans le même cas de figure, songe même à s’installer à Rabat pour que son fils puisse être scolarisé à l’Ecole saoudienne de la capitale. Le loyer étant trop cher sur place, elle décide finalement de faire la navette quotidienne entre Kénitra, où résident ses parents, et Rabat. L’“ikramia” suffit d’ailleurs à peine à assurer un minimum décent à son fils.
              En novembre 2005, le robinet se ferme subitement: Sans raison valable. On nous a dit que c’était lié à des restrictions budgétaires. Mais comment expliquer que cette mesure ne concerne que les enfants de mère marocaine? “Je n’ai pas peur de le dire. A mes yeux, cette discrimination relève du racisme masqué.
              Je ne comprends pas ce mépris envers les femmes marocaines. On les met toutes dans le même sac, alors que beaucoup parmi elles sont respectables et instruites. Qu’attendre d’ailleurs d’un pays à la mentalité rétrograde qui considère ses femmes comme des objets, et le mot est bien trop faible? Et même, pour quels motifs priverait-on leurs enfants, citoyens saoudiens à part entière, de leurs droits fondamentaux? Eux n’ont pas demandé à naître dans une famille mixte.
              C’est honteux. L’ambassadeur actuel de l’Arabie saoudite, Abderahman El Bichr, n’accorde aucune importance à ce sujet, contrairement à l’ancien, Abdelaziz Mouhidine Khouja. A son époque, nous payions uniquement le transport scolaire, tout le reste était à la charge de l’ambassade. D’ailleurs, Khouja avait lui-même incité des familles à déménager pour inscrire leurs enfants à l’Ecole saoudienne de Rabat”, rappelle Nadia.
              Du jour au lendemain, privées d’une source de revenu importante sinon principale, de nombreuses femmes sortent leurs enfants de l’Ecole saoudienne pour les inscrire dans des écoles publiques marocaines et rentrent dans leur ville d’origine, auprès de leurs familles, seules à même de les aider à surmonter cette épreuve.
              Certaines femmes sont carrément parties en Arabie saoudite avec leurs enfants, malgré leur mésentente avec leur époux ou ex-mari. Nadia refuse pour sa part de quitter un pays qui a toujours été le sien pour une société saoudienne dans laquelle elle n’est jamais parvenue à s’intégrer: “Ne nous voilons pas la face. Les femmes là-bas sont des moins que rien. J’ai des amies qui ont reçu leur divorce par “contumace” et qui, comme moi, ne perçoivent pas un rial de leurs époux ou ex-maris. Elles n’ont d’autre moyen de se rendre en Arabie Saoudite qu’avec un tuteur lors des périodes de pèlerinage.

              suite ..
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #8
                Enfants de Saoudiens sans le sou


                Comment réclamer leurs droits en faisant fi de freins pareils? Imaginez que je remette les pieds en Arabie saoudite et qu’on m’enlève mon fils. Quand je vivais là-bas, ma belle-famille n’avait d’yeux que pour Saïf. Imaginez donc, un héritier mâle! Sérieusement, je n’ai aucune confiance en leur système et j’estime, sans entrer dans le détail, que le père de Saif n’est pas en mesure actuellement de lui assurer une bonne éducation”, explique Nadia.
                D’autres mères demeurent à Rabat, mais se serrent la ceinture. Plus de British Council (centre de langues), finis les cours d’équitation ou de musique, les sorties avec les copains ou les gadgets high-tech pour frimer devant les potes.
                Mais la souffrance de ces centaines d’enfants est ailleurs: “Nos enfants se sentent abandonnés par leur second pays et indirectement, par leurs pères. Cela s’est répercuté sur leur scolarité et leur santé. Que cherche-t-on à dire à ces enfants? Qu’ils devraient avoir honte d’être de mère marocaine et que l’Arabie Saoudite leur renie “l’insigne honneur” de faire partie des siens? Dans ce cas-là, qu’on interdise tous les mariages mixtes et basta, s’ils ne sont que source de problèmes! Pour ma part, je laisse tomber tous mes droits, pourvu qu’on restitue ceux de mon fils”, tonne la mère du petit Saïf.
                Le directeur de l’école saoudienne afficherait également un comportement inexplicable. Il ne daignerait même recevoir les mères plaignantes ou continuerait à vaquer à ses occupations tandis que celles-ci tentent de discuter avec lui. Nadia Mouhcine est la seule à lutter aussi ouvertement: “Les autres ont peur. Je ne sais pas de quoi, peut-être de répressions juridiques, d’être exclues de la liste des bénéficiaires au cas où la pension reviendrait? Ou ces femmes n’osent-elles simplement pas revendiquer leur statut d’épouse ou d’ex-compagne de saoudien, sachant comment cela est perçu au Maroc? J’estime qu’elles devraient faire preuve de plus de courage. Je ne parle pas des mères qui en sont quasiment arrivées à la mendicité, mais, pour toutes les autres, au-delà du côté purement matériel, c’est de leur dignité et de celle de leurs enfants qu’il s’agit, bon sang!”
                Saïf est un adolescent plutôt timide et réservé. A la douleur de la séparation de ses parents, s’ajoute celle de voir sa mère lutter quotidiennement pour lui assurer une vie humble, à cause d’une mesure vaguement politico-diplomatique à laquelle il ne comprend strictement rien . Même au cas où le gouvernement saoudien reverserait à ces enfants cette fameuse bourse, cette phase de leur vie, aussi transitoire soit-elle, laissera en eux des traces morales indélébiles. Assis sagement auprès de ses grands-parents, poli comme tout, dans son regard encore infantile se lit une certaine gêne, une incompréhension certaine. Saif, comme ses camarades, a mal à son identité…



                Par Mouna Izddine /Maroc .Hebdo
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #9
                  pour un pays musulman je trouve cela illogique,
                  que l'on vienne pas nous rabâcher ensuite sur la oumma musulmane ou quoi que ce soit,

                  Vive le maghreb avec seulement 3 pays, maroc algerie tunisie
                  l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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                  • #10
                    beurk, ces saoudiens profitent des pauvres marocaines,pour ensuite les jeter comme des malpropres.

                    300 c'est beaucoup, mais pourquoi vont elles en grand nombre las bas ?

                    elles devraient se mefier quand meme.

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                    • #11
                      A force de faire n'importe quoi...

                      un jour djihoum wahed sekhta ils sauront plus ou se cacher!

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                      • #12
                        beurk, ces saoudiens profitent des pauvres marocaines,pour ensuite les jeter comme des malpropres.

                        300 c'est beaucoup, mais pourquoi vont elles en grand nombre las bas ?

                        elles devraient se mefier quand meme.
                        comme ZAHIA D

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                        • #13
                          Même avec cela, tu vas toujours trouver des esclaves arabes du Maroc qui vont se revendiquer la même origine bédouines que ces Saoudiens en insultant au passage tous les Amazighs du monde. Pire, ils n'hésiteraient pas un seul instant à se mettre à quatre pattes pour leur faire plaisir dans tous les sens du terme. Je dis donc bravo aux Saoudiens !!! Car c'en est une grosse gifle aux Baâthistes terroristes qui colonisent mon pays, le Maroc.
                          Le Tamazgha, c'est la terre des Amazighs.

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                          • #14
                            de quoi vous parlez la ??

                            qu'elels oient marocaine ou malaisiennne ou algeriennes le probleme n'est pas ces femmes qui se marient mais avec les laches saoudiens
                            « Puis-je rendre ma vie
                            Semblable à une flûte de roseau
                            Simple et droite
                            Et toute remplie de musique »

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                            • #15
                              Awasir, association de protection des familles saoudiennes à l’étranger



                              C'est une simple association, je ne vois pas pourquoi on accuse l'arabie saoudite...

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