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Nassima Chabane - Layla

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  • Nassima Chabane - Layla

    ... Salat djamila aâla misbahi dhalam...




    « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

  • #2
    coucou océane

    ...quelle douceur de l'écouter, je ne connais pas cette chanteuse, belle voix "hnina", ce dont on a besoin pour nous apaiser...
    merci h'bibti pour ce partage
    ..."Le sourire que tu m'envoies, revient vers toi" ...

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    • #3
      coucou h'bibti

      ...C'est une perle... une douceur... une rose de Blida...

      « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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      • #4
        ... J'en profite pour dire "mabrouk" à une amie...




        « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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        • #5
          Épris de la beauté de Layla, je devins esclave
          Le cœur en proie à un amour fou errait avec elle
          «Ô Layla! Que le salut soit sur toi», lui dis-je et
          «Sur tous les nobles qui sont les successeurs»
          Accorde Ô mon Dieu une bénédiction sublime
          Au flambeau de la nuit, Taha le bienfaiteur...


          - al 'Alaoui

          (ça me rappelle qu'on ne chante jamais le pauvre Majnoun)
          ¬((P(A)1)¬A)

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          • #6
            hi Sidi

            ...Jolis vers

            En voici d'autres... de Majnoun Layla

            Je ne veux voyager que si le chemin monte
            Et je n’aime l’éclair que s’il vient du Yemen
            Aimez une Layla et pour morts je vous compte
            Même si comme moi vous vivez de chagrin...

            Je les entends : « Tu n’as qu’à l’oublier ! »
            Et moi je dis : « Je ne veux ni ne puis,
            Car son amour à mon cœur est lié
            Comme le seau à la corde du puits...

            Passant par la maison, la maison de Layla
            Je baisse ce mur-ci, cet autre, et celui-là
            Est-ce d’aimer les murs que tu perds la raison ?
            Non pas les murs mon cœur ; les gens de la maison...

            Son amour je le crois m’abandonne à l’errance
            Dans un pays perdu, tout seul et dépouillé
            Pas un ami pour les dernières confidences
            Pour compagnie j’ai ma chamelle et son harnais...

            Nous étions à Minâ, au Khayf quelqu’un cria
            De mon âme avivant malgré lui les douleurs
            Ce cri c’était le nom de Layla sans Layla
            Et j’ai cru qu’un oiseau s’envolait de mon cœur...

            Je n’irai pas plus loin, Layla : vingt ans c’est trop.
            Je t’attendrai ici, pleurant sur ma misère.
            Ton amour de mon cœur malade est le bourreau,
            Mais contre l’ennemi, s’il est aimé, que faire ?
            Je vais où va Layla, et puis elle me laisse.
            Telle est la vie : on se rejoint, se désunit.
            J’ai, passée à mon cœur, je crois bien, une laisse :
            Layla me traîne ainsi partout, et je la suis.
            La nuit est mon séjour, mon chemin, et je tremble
            Comme le fou dont tout le corps se désassemble...


            « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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            • #7
              salut lalla

              un jour de grand apparat, Haroun Ar Rachid se pencha et murmura à l'oreille de Layla:
              «je ne comprends pas ce que ce Majnoun trouve en toi...
              tu n'es même pas aussi belle que la moins belle de mes concubines.
              pas un grain de la beauté de Dhat el Khal
              ni une once du charme de Sihr
              ni l'élan de ma gazelle Inan
              ni même l'ombre de la volupté de Dananis


              à quoi Zoubeida rétorqua:
              «Tais-toi, Ignorant! Tu n'es pas Majnoun!»
              ¬((P(A)1)¬A)

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              • #8
                Passant par la maison, la maison de Layla
                Je baise ce mur-ci, cet autre, et celui-là
                Est-ce d’aimer les murs que tu perds la raison ?
                Non pas les murs mon cœur ; les gens de la maison...
                est-ce ma faute si mon oreille est plus charmée par l'original en arabe ?

                أَمُـرُّ عَلَـى الدِّيَـارِ دِيَـارِ لَيْلَــى



                أُقَبِّــلُ ذَا الجـِدَارَا وَذَا الجــِدَارَا



                وَمَـا حُـبُّ الدِّيَـارِ شَغَفْـنَ قَلْبِـي



                ولَكِـنْ حُـبُّ مَنْ سَكَـنَ الدِّيَـارَا

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                • #9
                  Hidhabi

                  ...Oui...oui... "ouqabil" ... Chut !




                  Me too... Je préfère l'original.


                  Merci à toi !

                  « La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte. »

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