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Spins et statistiques : un test réussi pour la théorie quantique

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  • Spins et statistiques : un test réussi pour la théorie quantique

    Par Laurent Sacco, Futura-Sciences

    Les particules connues se répartissent en deux classes, les bosons et les fermions, aux comportements bien différents. Basé sur la théorie quantique des champs, le célèbre théorème spin-statistique les décrit très bien et vient de passer un test victorieusement. Heureusement car dans le cas contraire, il aurait fallu revoir les fondements du modèle standard...

    La théorie quantique des champs relativistes est née des travaux de Werner Heisenberg et Wolfgang Pauli dans les années postérieures au congrès Solvay de 1927. Elle n’aurait cependant pas pu se développer pleinement sans la découverte en 1928 par Paul Dirac de la généralisation relativiste de l’équation de Schrödinger pour un électron, et si Pascal Jordan n’avait pas posé les bases de la quantification du champ électromagnétique à la fin de l’année 1925.

    La théorie quantique des champs de cette époque est en fait l’électrodynamique quantique relativiste. Ses créateurs attendent d’elle qu’elle puisse décrire tous les détails des interactions entre protons, électrons et photons à des vitesses arbitrairement proches de la lumière. Deux choses sont alors claires au début des années 1930.

    Tout d’abord, les quanta de matière et de lumière présentent un double aspect ondulatoire et corpusculaire identique mais ils possèdent un moment cinétique intrinsèque, un spin, différent. L’absorption par un objet de photons ou d’électrons peut le mettre en rotation du fait d’un transfert de moment cinétique. Celui porté par un photon est un multiple entier de la mythique constante de Planck alors que celui d’un proton ou d’un électron est un multiple demi-entier.

    De plus, un gaz d’électrons et un gaz de photons ne se comportent pas de la même façon. Le premier est décrit par la statistique dite de Fermi-Dirac alors que le second l’est par celle dite de Bose-Einstein (on peut consulter à ce sujet le cours, en document PPT, de Pierre Bergeron). Les électrons sont farouchement individualistes. Ils ne peuvent jamais se retrouver dans un même état quantique dans un atome de Bohr par exemple, même si tous les électrons sont indiscernables. C’est justement ce qu’exprimait le principe d’exclusion de Pauli, indispensable pour comprendre la stabilité des atomes et leurs propriétés chimiques. Sans lui, les électrons se rassembleraient tous sur un seul niveau d’énergie et il n’existerait pas de couches électroniques, à l'origine de l’existence de différents éléments chimiques.

    Les noyaux eux-mêmes, où les protons coexistent sur différents niveaux d’énergie, seraient bien différents. En effet, les protons sont eux aussi des fermions de spin demi-entier et, tout comme les électrons, ils obéissent au principe d’exclusion de Pauli.

    On peut mesurer l’importance de cet état de chose en supposant que protons et électrons ne soient pas des fermions mais que, tout comme les bosons que sont les photons, ils puissent exister dans un même état. Si tel était le cas, toute la matière d’une pomme, dont la taille est d’environ 7 cm, se retrouverait dans un volume de 10-18 cm, beaucoup plus petit qu’un noyau atomique !

    Pire, deux pommes en contact se condenseraient de façon à ce que tous les fermions occupent le même niveau d’énergie en dégageant une énergie équivalente à plusieurs centaines de millions de bombes H !

    Un théorème mathématique à l'épreuve de l'expérience

    A l’inverse, c’est parce que les photons sont des bosons qu’il est possible d’obtenir la lumière cohérente du laser dont on fête cette année les 50 ans. En outre, lorsque l’on combine des fermions, la somme des moments cinétiques peut devenir un multiple entier de la constante de Planck et c’est pourquoi les noyaux d’hélium 4 sont des bosons et que la superfluidité et la supraconductivité peuvent exister.

    A partir des années 1950, d’autres particules comme le méson pi de Yukawa, un boson, ou comme le neutrino, un fermion, vont être découvertes. Pour chacune d'elles, son caractère bosonique ou fermionique semble non seulement immuable mais aussi strictement connecté à son spin.

    Depuis 1939 cependant, les théoriciens s’attendaient à ce qu’il en soit toujours ainsi. Cela découlait des travaux de Markus Eduard Fierz, un physicien suisse et le collaborateur de Wolgang Pauli. Fierz avait montré que, pour des particules, la connexion entre spin et statistique était une conséquence nécessaire des axiomes et équations de toute théorie des champs à la fois quantique et relativiste. En 1940, Pauli lui-même avait donné une démonstration plus complète et solide de ce théorème.

    Toutefois, cette connexion spin-statistique n’était établie que pour des champs dit libres, c'est-à-dire en supposant que, par exemple, des électrons et des photons n’interagissent pas entre eux. L’extension aux cas dans lesquels existent des interactions ne fut trouvée que dans les années 1950, tout d’abord par Julian Schwinger, parallèlement à sa démonstration du théorème CPT.

    Si ce théorème se trouvait violé dans une expérience de physique, il faudrait en conclure que dans certaines situations expérimentales, les lois de la relativité ou de la mécanique quantique ne s’appliquent plus. Inutile de dire que cela constituerait un séisme théorique majeur. On pourrait imaginer que, par exemple, il faille en revenir à des théories marginales comme celle de David Bohm et Louis de Broglie.

    Aussi improbable que cela puisse paraître, il n’est pas bon de trop se reposer sur des certitudes sans risquer de compromettre gravement la croissance de la connaissance scientifique. C’est sans doute pour cela que des chercheurs de l’Université de Berkeley, Dmitry Budker et Damon English, ont entrepris de tester le théorème spin-statistique à l’aide d’une expérience de physique atomique.


    Une vidéo montrant le principe du test du théorème de la connexion spin-statistique avec un faisceau d'atomes de baryum. Crédit : Damon English-UC Berkeley

    Le principe en est simple. On commence à produire un faisceau d’atomes de baryum et on les bombarde ensuite avec deux faisceaux laser polarisés.

    Il existe de nombreux niveaux d’énergies pour un électron dans un atome mais toutes les transitions avec émission ou absorption d’un photon que l’on pourrait naïvement considérer ne sont pas possibles. Elles obéissent à des règles dites de sélections basées sur des lois de conservations, comme celle du moment cinétique.

    Parmi les transitions possibles, certaines se font avec absorption ou émission non pas d’un mais de deux photons. Là encore, il existerait à priori plusieurs possibilités mais elles sont limitées par des régles de sélections. Il se trouve que certaines de ces transitions sont impossibles du fait du théorème spin-statistique qui interdit à un électron de se comporter comme un boson, ou un photon de se comporter comme un fermion. Il se pourrait, cependant, que cela ne soit vrai que dans la majeure partie des cas, mais pas toujours…

    Une façon de poser des bornes sur de possibles violations du théorème spin-statistique et de régler les deux faisceaux laser de manière à produire des photons de polarisation et d’énergie capables de produire des transitions normalement interdites par le théorème. Si ces transitions existaient avec une probabilité donnée, les faisceaux d’atomes de baryum émergeant de la zone où ils ont interagi avec les photons devraient être dans un état excité instable de courte durée de vie. Les électrons excités finiraient donc par revenir dans leur état fondamental en émettant des photons.

    L’expérience a été réalisée et ses résultats, pas d'émissions de photons mesurables, sont conformes aux prédictions de la théorie quantique des champs relativistes comme l’indiquent des publications des chercheurs.

  • #2
    wellah...j'ai tellement de questions a poser...avec beaucoup de HS philosophique mais peut-etre discutable...alors?

    Dernière modification par absent, 04 juillet 2010, 04h41.

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    • #3
      Salut à toi, Alex !

      Et bien, quelle photo, je m'attarde rarement sur les périodes exactes de vies des scientifiques, mais tous ces noms finalement sont des contemporains les uns des autres, vu comme ça.
      C'est un peu comme un équipe de foot, celle là on peut considérer quelle est largement victorieuse.

      Mais alors... quels genre de HS philosophiques ce sujet peut-il bien t'inspirer ? dis nous tout !

      Commentaire


      • #4
        Bonsoir Nico,

        Et bien, quelle photo, je m'attarde rarement sur les périodes exactes de vies des scientifiques, mais tous ces noms finalement sont des contemporains les uns des autres, vu comme ça.
        C'est un peu comme un équipe de foot, celle là on peut considérer quelle est largement victorieuse.
        oui...un grand antagonisme entre l'ecole de copenhague (Bohr) et celle de Berlin? (Heisenberg?)....le pere vraiment... c'etait Boltzmann (thermodynamique statistique)

        Mais alors... quels genre de HS philosophiques ce sujet peut-il bien t'inspirer ? dis nous tout !
        tu vas vivre a le regretter...

        j'ai envie de polluer sur tout...les consequences de la theorie...conversion des probabilites quantiques micro-macro au niveau des decisions du cerveau (on a deja discute de ca )...l'existence des gravitons et...tu devines: les neutrinos...
        mais c'est surtout le "quantum tunneling" qui m'ouvre cette fenetre...
        voici un appercu:

        a quantum to simply up and leave and show up somewhere else. In fact, there is a very real yet astronomically small chance that all particles that make up you and your computer suddenly decide to zip to Mars. The chance that this happens naturally is so small that we don't incorporate it in our daily experience of reality. But it is certainly not zero. Quantum tunneling is a very real thing, like say electricity.
        Before electricity was comprehended and harnessed by man, all natural manifestation of it (lightning, static electricity, magnetism) must have seemed miraculous and magical, but nowadays we don't look up from a illuminating light bulb. Same with quantum tunneling. If the principle is understood and a pact is sealed with the world of the small, large objects such as a human being may be freely transported instantaneously over great distances.
        alors...a suivre

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        • #5
          hi there,
          Alors comme promis aujourd’hui je commence par les consequences de ce que je qualifie de « quantisme »…parce qu’il ne s’agit pas de mecanique seulement…c’est toute une philosophie…

          Envoyé par wiki
          L'intrication quantique est un phénomène observé en mécanique quantique dans lequel l'état quantique de deux objets doit être décrit globalement, sans pouvoir séparer un objet de l'autre, bien qu'ils puissent être spatialement séparés. Lorsque deux systèmes – ou plus – sont placés dans un état intriqué, il y a des corrélations entre les propriétés physiques observées des deux systèmes qui ne seraient pas présentes si l'on pouvait attribuer des propriétés individuelles à chacun des deux objets S1 et S2. En conséquence, même s'ils sont séparés par de grandes distances spatiales, les deux systèmes ne sont pas indépendants et il faut considérer {S1+S2} comme un système unique.
          Des le depart Einstein etait contre...du moment et pour la simple raison que l’intrication quantique entre en conflit avec son “principe de separabilite” de la relativite restreinte qui stipule qu’un corps separe et distant d’un autre ne peut l’influencer (et vice-versa)...la cause de son fameux “je ne crois que Dieu joue aux des” ...et mouru non convaincu... [Depuis et a partir des annees 80…ces « etats intriques » ont été observes en laboratoire et les realisations pratiques plus ou moins interessantes ont été realise dans beaucoup de domaines.]

          L’autre probleme (qui n’est pas vraiment un probleme…tiens je ne suis plus sur) qui s’impose est avec le principe de « causalite » de la relativite generale…qui affirme que l’effet ne peut preceder la cause…bien-sur faut pas oublier que l’information se transmet a la vitesse de la lumiere…qu’on ne peut pas depasser
          Un simple example pour clarifier…si on considere une pair intriquee de systemes(S1 + S2)…on effectue une mesure sur le systeme1…donc on determine son « etat »…alors et sans effectuer de mesure sur le systeme2...son etat est determine en « meme temps » que le systeme1…maintenant si les deux systemes sont tres distants…le probleme est que ceci implique que l’ « influence »/ l’ »effet »/ l’ « information » peut donc se propager plus rapidement que la lumiere….mais ce n’est pas un probleme parce qu’ il faut mettre en correlation les resultats et…ceci necessite la lumiere pour transferer l’information…ce qui est respectueux de la relativite…

          Et alors ?...attends… je n’ai pas commencer a polluer…
          »Enter the Dragon »…le trou noir…
          si on arrive a « courber »/alterer a notre avantage la lumiere…comme avec un tout petit/gentil/defini/derivable/integrable trou noir ….alors la ….
          Non seulement on arrivera a voir l’effet avant la cause mais surtout manipuler la cause selon l’effet…

          JE PARIE C’EST-CE QUI SE MIJOTE AU LHC…a quelques poussieres pres…
          .
          P.S:

          L'intrication quantique a un grand potentiel d'applications dans les domaines de l'information quantique, tels que la cryptographie quantique, la téléportation quantique ou l'ordinateur quantique. En même temps, elle est au cœur des discussions philosophiques sur l'interprétation de la mécanique quantique. Les corrélations prédites par la mécanique quantique, et observées dans les expériences, montrent que la nature n'obéit pas au principe du « réalisme local » cher à Einstein, selon lequel les propriétés observées d'un système, bien définies avant toute mesure, sont attribuables à ce système et ne peuvent changer que par interaction avec un autre système.
          One experiment that is in agreement with the effect of entanglement "traveling faster than light" was performed in 2008. the experiment found the "speed" of quantum entanglement has a minimum lower bound of 10,000 times the speed of light.
          a suivre...bye for now
          Dernière modification par absent, 06 juillet 2010, 02h36.

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          • #6
            jai reussi un peu a te suivre grace a dieu mais cetait dure

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            • #7
              voici un lien si tu veux plus d'information:

              http://fr.wikipedia.org/wiki/Intrication_quantique

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              • #8
                Non seulement on arrivera a voir l’effet avant la cause mais surtout manipuler la cause selon l’effet…
                En somme tu parles de modification des événements passés...

                Commentaire


                • #9
                  En somme tu parles de modification des événements passés...
                  Personnellement je ne crois pas que c’est une “option humaine"....a cause de la faisabilite....pour plusieurs raisons:
                  1- il faut des distances astronomiques entre les systemes en intrication pour donner des resultas discernables (pour modifier...).
                  2- a cette echelle macroscopique la phisiologie de l’etre humain ne lui permet pas des interactions avec des trous noirs... a la vitesse de la lumiere en plus...
                  3- les manipulations en laboratoires des particules quantiques demeurent aleatoires d’un point de vue “determinisme” a la QFT....et donc n’auront pas d’effets "classiques"

                  Et voila pourquoi je qualifie mes reflections comme de la science-fiction de corbeil...du moins pour l’humain

                  Par contre je crois que l’intrication quantique peut expliquer plusieurs phenomenes comme: le déjà-vu...la “chimie” entre individus...la convergence dans les pensees...et tous les trucs “tele-“...
                  d’ailleurs ca me fait penser aux defauts immunitaires comme l'ophtalmie sympathique...et comme son nom l’indique...un oeil “sympathise” avec l’autre et manifeste les memes symptomes –au risque de s’aveugler- comme dans le cas de plusieures retinopaties (incidents personnels)...

                  mais d’un point de vue pratique...l’ordinateur quantique promet beaucoup...
                  Dernière modification par absent, 06 juillet 2010, 19h46.

                  Commentaire


                  • #10
                    elle est belle cette photo on retrouve les pères de la theorie des quantas (planck, bohr..) les pères de la mecanique qauntique (heinseberg, schrodinger...) un touche à tout (einstein) et un dieu parmi eux (dirac)

                    super
                    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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                    • #11
                      bon je continue...les decisions du cerveau...

                      la recherche continue d’expliquer la physiologie de l’etre humain….une serie de « simples » circuits electriques declenches par des capteurs bio-chimiques et controles par une unite centrale : le cerveau….ou quelque chose comme ca…
                      Oui… la pointe flottante de l’iceberg…et le reste ?
                      La conscience…le bien…le mal…etc..
                      Ce que je lis:

                      Envoyé par wiki
                      Une critique fréquemment formulée est qu’aucune théorie physique, qu’elle soit classique ou quantique, n’est véritablement capable d’expliquer la conscience, particulièrement dans sa forme la plus problématique : la conscience phénoménale ou qualia, connue pour être le problème difficile de la conscience.15 Si aucune théorie physique ne peut exprimer ce que sont les qualia, alors aucune théorie physique ne peut pleinement expliquer la conscience. Remplacer les processus de la physique classique par ceux de la physique quantique n’est donc d’aucune aide à la compréhension de la conscience.
                      Le philosophe David Chalmers, critique les deux théories et ajoute : "Les approches quantiques de la raisons souffrent des mêmes lacunes que les explications neurales ou computationnelles. Les phénomènes quantiques ont des propriétés étonnantes, comme l’absence de déterminisme et la non-localité. Il est donc naturel de penser que ces propriétés pourraient jouer un rôle dans l’explication des fonctions cognitives, comme les choix aléatoires ou l’assimilation des informations. Cependant, lorsque nous devons expliquer proprement ce qu’est l’expérience, les explications quantiques se trouvent dans la même incapacité que les autres approches. La question de savoir pourquoi ces processus devraient donner lieu à la naissance de l’expérience est toujours en suspens."
                      Envoyé par wiki
                      Le principal argument contre la proposition d’esprit quantique est que la décohérence des paquets d’onde à l’intérieur du cerveau serait trop rapide pour jouer un rôle significatif dans le traitement neuronal.
                      Envoyé par wiki
                      Selon l'interprétation de Copenhague de la mécanique quantique, l'état quantique n'a pas de sens physique avant l'opération de mesure. Seul l'état projeté, après la mesure, a un sens physique. Ainsi, selon cette interprétation, il est vain de rechercher une signification physique à ce qui n'est et ce qui doit rester une pure formule mathématique. Cette interprétation renie donc formellement toute formulation comme "plusieurs endroits en même temps", ou "mort et vivant".
                      Selon la théorie d'Everett, défendue également par David Deutsch, l'état de superposition admet une interprétation physique. Les états superposés existeraient dans une infinité d'univers parallèles : la particule serait à une certaine position dans un univers, et à une autre dans un autre univers. Dans cette théorie il est impropre également de parler de "plusieurs endroits en même temps" : pas dans le même univers en tout cas.
                      Aucune interprétation ne fait aujourd'hui l'unanimité des physiciens. À ce jour, il s'agit d'un problème encore ouvert.
                      Experience: faculte d'apprendre et de transmettre le savoir…
                      Conscience: discerner entre le bien et le mal

                      ma "conscience" me pointe dans cette direction:

                      [31] [Et Il apprit à Adam tous les noms (de toutes choses), puis Il les présenta aux Anges et dit: "Informez-Moi des noms de ceux-là, si vous êtes véridiques!" (dans votre prétention que vous êtes plus méritants qu'Adam).]

                      [85] [Et ils t'interrogent au sujet de l'âme, - Dis: "L'âme relève de l'Ordre de mon Seigneur". Et on ne vous a donné que peu de connaissance. ]

                      ...ARE WE REALLY LOOKING IN THE RIGHT PLACE?...BRAIN OR SOUL...THAT IS THE QUESTION






































                      Pollution du jour: principe de superposition d'etats" avec "choix de decisions" & "intrication" avec "savoir"
                      Dernière modification par absent, 08 juillet 2010, 20h54.

                      Commentaire


                      • #12
                        Hello,

                        L'intrication c'est un phénomène très intéressant. Les histoires de transmission d'information, vitesse de la lumière etc... entre particules intriquées éloignées, ça me paraît un peu bizarre. J'ai plutôt l'impression que tandis que nous avons l'impression que notre espace est fait des 3 dimensions spatiales dans lesquelles des particules évoluent, il y aurait des dimensions supplémentaires, qui nous échapperaient à nous mais dans lesquelles les particules pourraient aussi évoluer.
                        Alors on pourrait imaginer des particules -intriquées- qui bien que très éloignées, disons à l'autre bout de l'univers, pour faire loin, ne se seraient pas quittées dans une ou plusieurs autres dimensions, leur conférant cette particularité de s'affranchir des distance pour rester "liées". Des particules pourraient alors être très éloignées dans des dimensions, mais au même endroit dans d'autre dimensions.

                        La faiblesse de la force de gravité par rapport aux autres forces prend aussi cette piste des dimensions supplémentaires comme explication : tandis que la force électromagnétique ne permet à ses transmetteurs -les photons- que de voyager dans les 3 dimensions spatiales classiques, comme prisonniers, les transmetteurs de la gravité -gravitons- pourraient librement passer de dimensions en dimension, diluant leur force apparente dans des dimensions données.

                        Envoyé par Alex
                        si on arrive a « courber »/alterer a notre avantage la lumiere…comme avec un tout petit/gentil/defini/derivable/integrable trou noir ….alors la ….
                        Non seulement on arrivera a voir l’effet avant la cause mais surtout manipuler la cause selon l’effet…
                        Mais que veux tu altérer dans la lumière ? N'est-ce pas une particule sans masse pour laquelle le temps n'a pas cours ?
                        Le principe de la cause et de l'effet n'est il pas justement que la cause produit l'effet, par définition. J'ai du mal à suivre ce que tu proposes !

                        Commentaire


                        • #13
                          bonsoir nico,

                          L'intrication c'est un phénomène très intéressant. Les histoires de transmission d'information, vitesse de la lumière etc... entre particules intriquées éloignées, ça me paraît un peu bizarre. J'ai plutôt l'impression que tandis que nous avons l'impression que notre espace est fait des 3 dimensions spatiales dans lesquelles des particules évoluent, il y aurait des dimensions supplémentaires, qui nous échapperaient à nous mais dans lesquelles les particules pourraient aussi évoluer.
                          Alors on pourrait imaginer des particules -intriquées- qui bien que très éloignées, disons à l'autre bout de l'univers, pour faire loin, ne se seraient pas quittées dans une ou plusieurs autres dimensions, leur conférant cette particularité de s'affranchir des des dimensions, mais au même endroit dans d'autre dimensions.distance pour rester "liées". Des particules pourraient alors être très éloignées dans
                          La faiblesse de la force de gravité par rapport aux autres forces prend aussi cette piste des dimensions supplémentaires comme explication : tandis que la force électromagnétique ne permet à ses transmetteurs -les photons- que de voyager dans les 3 dimensions spatiales classiques, comme prisonniers, les transmetteurs de la gravité -gravitons- pourraient librement passer de dimensions en dimension, diluant leur force apparente dans des dimensions données.
                          dimensions ou univers?...theorie (s) des cordes/theorie-M...pour resoudre le probleme des "paquets de gravitons"...verification dans l'au-dela






                          Envoyé par myself
                          si on arrive a « courber »/alterer a notre avantage la lumiere…comme avec un tout petit/gentil/defini/derivable/integrable trou noir ….alors la ….
                          Non seulement on arrivera a voir l’effet avant la cause mais surtout manipuler la cause selon l’effet…


                          Mais que veux tu altérer dans la lumière ? N'est-ce pas une particule sans masse pour laquelle le temps n'a pas cours ?
                          j'ai voulu dire le chemin de la lumiere...
                          et puis il faut d'abord arreter les photons pour verifier & affirmer qu'ils n'ont pas de mass au repos(at rest)......


                          Envoyé par wiki
                          Image simulée d’un trou noir stellaire situé à quelques dizaines de kilomètres d’un observateur (à 9 fois le rayon du trou noir) et dont l’image se dessine sur la voûte céleste dans la direction du Grand Nuage de Magellan. L’image de celui-ci apparaît dédoublée sous la forme de deux arcs de cercle, en raison de l’effet de lentille gravitationnelle fort. La Voie lactée qui apparaît en haut de l’image est également fortement distordue, au point que certaines constellations sont difficiles à reconnaître, comme la Croix du Sud (au niveau de l’étoile orange lumineuse, Gacrux, en haut à gauche de l’image) dont la forme de croix caractéristique est méconnaissable. Une étoile relativement peu lumineuse (HD 49359, magnitude apparente 7,5) est située presque exactement derrière le trou noir. Elle apparaît ainsi sous la forme d’une image double, dont la luminosité apparente est extraordinairement amplifiée, d’un facteur d’environ 4 500, pour atteindre une magnitude apparente de -1,7. Les deux images de cette étoile, ainsi que les deux images du Grand Nuage sont situées sur une zone circulaire entourant le trou noir, appelée anneau d’Einstein
                          Le principe de la cause et de l'effet n'est il pas justement que la cause produit l'effet, par définition. J'ai du mal à suivre ce que tu proposes !
                          alors... imaginons...un observateur place sur la peripherie d'un trou noir...
                          (S1+S2) deux systemes intriques...les "causes" sur S1 "determinent" les "effets" sur S2 (simultanement)...
                          l'observateur est plus proche du systeme S1 que du systeme S2 qui se trouve de l'autre cote du trou noir...
                          mais a cause de l'effet de lentille gravitationelle du trou noir...l'image de S2 se retrouve dedoublee (en fait une multitude d'images) du cote de l'observateur...donc l'observateur peut voir l'effet sur S2 en meme temps (ou meme avant) que de voir la cause sur S1 et (prendre action) suivant les effets sur S2...

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                          • #14
                            Salut Alex,

                            J'ai pigé ton exemple. Mais question "cause et effet" si par exemple on compare des particules intriquées à deux interrupteurs à leviers dont on aurait lié les leviers. Lorsque l'on change la position de l'un des interrupteurs, l'autre change aussi. Peut-on parler de cause [j'abaisse l'un des leviers] et d'effet [le second levier s'abaisse aussi] ? plutôt les deux sont indissociables et abaisser l'un c'est abaisser l'autre, il n'y a pas vraiment de cause et d'effet de l'un sur l'autre mais un comportement conjoint...
                            Et comment concrètement le système S2 se "dédouble" dans l'exemple ?
                            Et qu'advient-il d'une particule lorsque l'on observe sont alter-ego intriqué ? observer c'est modifier... Il doit y avoir des expériences là dessus, je pense que j'ai déjà lu des choses ce concernant... faut que je m'y replonge.
                            En tout cas ce phénomène d'intrication est tout simplement exceptionnel, il nous appelle à beaucoup d'ouverture sur la réalité de la physique (remise en cause du principe de localité, réalité de l'espace-temps...)

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                            • #15
                              bonjour nico,

                              I did warn you man!

                              Lorsque l'on change la position de l'un des interrupteurs, l'autre change aussi.
                              oui mais il suffit de placer [a “NOT” gate] auprès du deuxieme interrupteur? ...
                              serieusement je ne suis pas en train de discuter l’intrication de labo c.a.d: engendrer deux photons a partir d’un seul...dictee par le principe d'incertitude...ce qui me fait penser a la Loi de Murphy
                              mais je discute interaction avec des systemes en intrication naturelle et a grande echelle...(dans des quasars etc...)...de la fiction

                              Et comment concrètement le système S2 se "dédouble" dans l'exemple ?
                              I prefer quoting you
                              remise en cause du principe de localité, réalité de l'espace-temps...)

                              Et qu'advient-il d'une particule lorsque l'on observe sont alter-ego intriqué ? observer c'est modifier...
                              oui...observer/mesurer c’est modifier...
                              le probleme?...
                              la constante de planck et le principe d'incertitude les relient: l'Energie/la lumiere & le temps/la frequence...



                              la solution?...
                              * meta?: instruments(quelle que soit leur precision)? quels instruments?....peut-on tele-“observer” mentalement?...
                              * radical?:...arreter le temps...SOMEONE PRESS PAUSE PLEASE!

                              "Rigth here Right now"...Hey...someone has handed him the clothes...
                              and the counter stopped ticking!

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