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Oujda : Vitrine de l'effort royal

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  • Oujda : Vitrine de l'effort royal

    Oujda étant la porte du Maroc , les algeriens voulaient nous suffoquer en fermant les frontières: mais c'est sans compter avec la volonté royale. En effet ceux qui se sont absentés d'oujda pendant quelques années sont surpris par l'ampleur et l'énormité des changements que la ville a connue, c'est le cas notamment de nos ressortissants marocains à l'étranger qui ne croient pas leurs yeux:

    Grands boulevards, éclairage moderne, éspaces verts, chaussées flambant neuf, places publiques, batiments façades en verres, théatre en plein air, revétement des moindres rues jadis oubliées, voirie, asphaltage de qualité...bref, une ville moderne est née à la place de l'ancienne.

    Et dire que nos voisins algeriens voulaient nous asphyxier en fermant les frontières pensant bloquer OUJDA devant le mur ( comme disait jean paul sartre ).C'est sans compter avec la volonté, la clairvoyance et la vision de SM le ROI ; qui a fait de l'oriental une priorité de développement durable et des chantiers gigantesques que tous les gouvernements n'ont pu réaliser. Des inaugurations et des grands chantiers quotidiens qui ont modifié l'aspect de l'oriental de fond en comble : Infrastructures, mise à niveau, réhabilitation, modérnisation, attractivité des investisseurs, grandes enseignes internationales...

    Tout a été fait dans cet oriental et dans cette province et ville d'OUJDA.

    De quoi faire mordre la rage nos voisins algériens qui meurent certainement de jalousie en voyant leurs plans tomber à l'eau: ils voulaient d'OUJDA une ville morte, et voila qu'ils la voient de plus en plus rajeunissante. Et l'avenir nous montera certainement que nous avons un ROI avec une grande vision futuriste et beaucoup de sagesse.

    Madani Mohammed



    == MODERATION ==
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  • #2
    Yakhi torchon toujours l'obssession algérienne
    Dernière modification par icosium, 04 juillet 2010, 00h54.
    "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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    • #3
      Grands boulevards, éclairage moderne, éspaces verts, chaussées flambant neuf, places publiques, batiments façades en verres, théatre en plein air, revétement des moindres rues jadis oubliées, voirie, asphaltage de qualité..
      C est BEAU ! Mais tout cela , ne va pas donner du pain aux pauvres marocains ,
      pour ta gouverne leurs yeux sont toujours braqués vers Beni Drar et Ahfir ..ça leur procure des petits emplois ( business : vente des produits algériens ) ..y a des articles marocains !
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

      Commentaire


      • #4
        C est BEAU ! Mais tout cela , ne va pas donner du pain aux pauvres marocains ,
        pour ta gouverne leurs yeux sont toujours braqués vers Beni Drar et Ahfir ..ça leur procure des petits emplois ( business : vente des produits algériens ) ..y a des articles marocains !
        houari ,


        Vaut mieux avoir au moin une que RIEN du tout , au de la des frontiére de l'EST chez le pays voisin c'est ni l'un ni l'autre !


        Les gens de l'orientale c'est eux qui font vivre les algeriens ,car ils achetent d'eux des produit alimentaires , des hydrocarbure ....)

        Si on arrete , le raouage s'arretra en algerie et c'est LA CRISE ! c'est grace a notre argent DH que vos pauvres s'urvivent

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        • #5

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          • #6
            Reportage dans la zone frontalière entre le Maroc et l’Algérie

            Oujda, ville fantôme

            Les Algériens dépensaient près d’un milliard de dollars par an au Maroc, dont la majeure partie à Oujda. Depuis la fermeture des frontières, c’est le marasme et le chômage.

            Loubna Bernichi

            À quand l’ouverture des frontières ?

            À Oujda, ce 21 mars 2008, le mouvement est inhabituel. Cette ville frontalière de l’Algérie se réveille sur une nouvelle inattendue. Le Maroc appelle son voisin de l’Est à rouvrir la frontière terrestre. Une décision prise au lendemain de l’impasse prévisible du 4ème round de Manhasset. Sur la terrasse du mythique café de France, le sujet est sur toutes les lèvres. Les avis sont partagés entre pessimisme et euphorie. « Encore une manoeuvre politique. Il vaut mieux ne rien espérer pour ne pas être déçu. » s’exclame Abdellah, 30 ans, diplômé chômeur. À ses côtés, Yahya, 39 ans, instituteur, lâche d’un ton méprisant « que les Algériens restent chez eux. Nous n’avons besoin ni d’eux ni de leur argent pourri. Si on ouvre les frontières, ils vont nous envahir comme des sauterelles et rafler tout sur leur passage.» Installé dans une table voisine, Boussif, 59 ans, renrichit, cigarette aux lèvres et tasse de café crème fumante à la main : « Les prix des produits alimentaires connaissent déjà une flambée. Avec l’arrivée des rapaces (allusion aux Algériens), ils vont exploser.»

            Nourredine, 45 ans, commerçant, n’est pas de cet avis, mais préfère garder le silence. « Ces discussions restent vaines et stériles. J’attends du concret pour réagir. Entre nous, l’ouverture de la frontière sera bénéfique pour l’économie de la ville. »

            La plupart des commerçants et les tenanciers d’Oujda ne s’en cachent pas. Ils espèrent que les relations entre l’Algérie et le Maroc se normalisent. Mohamed, la cinquantaine, vendeur de tissus à souk Fellah, se rappelle encore, quatorze ans après, le jour de l’annonce de la fermeture des frontières. « Driss Basri (l’ancien ministre de l’Intérieur) a puni ses compatriotes et pas les Algériens.»

            Au lendemain de l’attentat de l’hôtel Atlas Asni de Marrakech, en août 1994, qui a fait trois victimes, dont deux morts, le Maroc a, en effet, décidé de fermer la frontière terrestre et d’imposer le visa aux ressortissants algériens. Et pour cause, les autorités marocaines ont soupçonné l’implication des services secrets algériens dans cet acte terroriste. L’un des principaux commandos, Stéphan Aït Idir, qui a ouvert le feu sur les touristes, est d’origine algérienne mais de nationalité française. À cette époque, la situation politique de l’Algérie était instable.

            Le pays était déchiré par des mouvements islamistes radicaux révoltés contre le pouvoir de l’armée. Par mesure de sécurité et pour ne pas servir de refuge et de base arrière aux terroristes, le Maroc a bloqué le passage. Cette décision a plongé l’économie de la région d’Oujda dans un marasme inquiétant après avoir connu un dynamisme sans précédent. Les négociants de Souk Mellilia et de Souk Fellah se souviennent de ces années glorieuses avec beaucoup de nostalgie.

            « Les Algériens n’étaient pas des clients exigeants. Ils achetaient tout sans poser de questions. En plus, ils payaient cash. J’écoulais mon stock de cent téléviseurs en une semaine. Des records inégalés », s’extasie Fettah, 40 ans, détaillant d’appareils électroménagers au souk Mellilia. Même son de cloche au marché central d’Oujda, situé sur le boulevard Mohammed V. Le marchand de fruits et légumes Haj Tayeb raconte avec exaltation comment ses grosses pastèques vertes se vendaient comme des petits pains. « Ici, personne ne niera qu’on faisait des chiffres d’affaires de folie avec les Algériens. Oui ! On ne les aime pas. D’ailleurs, c’est réciproque. Mais avec leurs dinars, ils faisaient vivre plus d’une famille. »

            Les Algériens déboursaient près d’un milliard de dollars par an au Maroc alors que les touristes marocains étaient quasi-absents en Algérie. Les habitants d’Oujda avaient beau les accuser de manquer de civisme et d’augmenter le taux de la criminalité dans la ville, mais personne ne crachait sur leurs billets verts.

            Aujourd’hui, les regrets sont d’autant plus grands que cette frontière fermée officiellement est plus que jamais imperméable. Toutes sortes de produits y transitent. Du carburant aux médicaments en passant par les produits alimentaires. Le tout made in Algérie. Les gardes frontaliers connaissent les contrebandiers par leurs prénoms. Ils assistent avec indifférence à la valse incessante des breaks Peugeot disloqués lancés à toute vitesse sur la piste, chargés de bidons d’essence de trente litres.
            Dinars

            Certes, la seule route goudronnée qui relie Oujda, côté marocain, à Maghnia, côté algérien, est cadenassée. Mais quelques kilomètres vers le nord ou le sud sur ce plateau aride à 500 m d’altitude, les chemins et les pistes permettent facilement de passer. De temps en temps, les gardes frontaliers algériens appuient sur la gâchette, mais plus pour faire diversion qu’autre chose. « Les Algériens nous tirent dessus juste pour s’amuser. Ils ne risquent pas de blesser quelqu’un parce qu’ils visent très mal », rapporte Benyounes, un spécialiste de trabando (Contrebande en dialecte oujdi). Ce trafic illégal n’est pas sans conséquence. 70% de l’économie de l’Oriental sont plombés par la contrebande, qui représente un chiffre d’affaires moyen de 6 milliards de dirhams par an.

            Une étude de la Chambre de commerce et d’industrie réalisée en 2004 estime le la perte d’emplois à 32.400, contre à peine 6.000 créés par l’activité illicite. Et ce n’est pas un hasard si l’Oriental souffre d’un taux de chômage variant entre 25 et 30 %.

            Au-delà de l’aspect purement économique et des chamailleries politiques entre frères ennemis, la fermeture des frontières cache un drame humain. «Depuis quatorze ans, je n’ai vu ma soeur que trois fois. Elle est mariée à un Algérien et habite à Oran. Ni elle ni moi n’avons les moyens de payer un billet d’avion Casa-Alger à 5.000 dirhams pour le moins cher. Je ne comprends toujours pas cette aberration. La frontière aérienne est ouverte mais pas la terrestre. De qui se moque-t-on ? », s’interroge Hoummad, gérant de téléboutique.

            Alors comme Hoummad, ils sont des centaines à emprunter les pistes de la contrebande pour pouvoir embrasser un neveu ou se rendre au chevet d’un oncle malade de l’autre côté de la frontière. Selon la rumeur, le président algérien Abdelaziz Bouteflika l’a avoué lui-même. Pour voir sa soeur Zahra, installé à Oujda, il prend, à son tour, le sentier interdit.

            Alors, si la légende dit vrai : Pourquoi le frère à Zahra persiste-t-il à garder fermée la frontière avec le Maroc?

            Maroc Hebdo
            Mars 2008
            Dernière modification par icosium, 04 juillet 2010, 01h08.
            "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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            • #7
              c est beau ! Bsahatt Laoujada !

              Les s de l'orientale c'est eux qui font vivre les algeriens ,car ils achetent d'eux des produit alimentaires , des hydrocarbure ....)
              Nenni ! BMW
              Le carburant à bas prix en Algerie , ça rapporte gros aux petit trabendistes algeriens .. ces jeunes ont investi leurs argent pour la construction de leur logement .
              *Les denrées et les articles ménagers qui passent à Oujda , tu ne peux nier …y a des articles marocains …

              PS : Ayoub 7
              ( mémoire courte , tu dénigrais en générale le béton et l infrastructure en Algerie … )

              c est beau ! Bsahatt Laoujada !

              mais l oriental manque de mouvement des touristes algeriens …
              Demande aux commerçants et les hôteliers , ils te donneront une réponse franches ..
              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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              • #8
                C est BEAU ! Mais tout cela , ne va pas donner du pain aux pauvres ?

                Avoir 20ans aux frontières Depuis quelques semaines, les drames se succèdent aux frontières. Derrière les faits divers, un drame : celui des familles prises au piège entre misère et mafia. Reportage.

                Maghnia : Entre chômage et décor de guerre

                Ils ont entre 20 et 50 ans. Et rêvent de gagner leur dignité par le travail. Mais dans une région d’agriculture et d’industrie sinistrée, terreau de la corruption et du trafic en tous genres, certains n’ont trouvé que la contrebande pour survivre.

                « Tous les usines qui avaient été inaugurées avec tambour et trompette dans les années 80 ont été soit fermées, soit cédées aux privés, relève Slimane, la quarantaine, ancien ouvrier de l’Entreprise des corps gras de Maghnia. Ces derniers, au lieu de relancer l’activité économique, ont carrément mis au chômage le personnel dont ils avaient hérité et pour certains d’entre eux, carrément changé d’activité. » Le décès tragique, samedi dernier, d’Amine Boulouiz, 19 ans, septième jeune à subir ce sort en moins de deux ans, n’est pas arrivé par hasard. Peuplée de près de 1,2 million d’habitants, la wilaya de Tlemcen s’étend sur une ligne frontalière de 170 km.

                Les plus nostalgiques l’appellent « la ligne Morice » en référence à l’ère coloniale. « Ses complexes industriels dans les domaines du textile, des télécommunications, de matériaux de construction et d’électrolyse de zinc sont autant d’opportunités pour une population de jeunes… », débite avec un verbe facile, comme dans un spot publicitaire, un responsable endimanché, tout en étalant des chiffres incompréhensibles, comme pour démentir ces voix qui s’élèvent dénigrant le taux de chômage qui grimpe à vue d’œil.

                Vieille Mercedes

                Ce dernier serait moins de 10%, selon les officiels, mais à regarder de près et selon le sociologue Mohamed B., il dépasserait largement les 30%. Mais qu’importent les chiffres officiels. Sur la bande frontalière, de Maghnia, la deuxième ville de la wilaya avec plus de 200 000 habitants, pour l’essentiel des moins de 25 ans, en passant par Beni Boussaïd, Souani, Sidi Boudjenane, Bab El Assa et Marsat ben M’hidi, la principale activité des 20-50 ans reste le commerce informel. « Si les frontières entre l’Algérie et le Maroc n’existaient pas, nous les aurions inventées », affirme, d’emblée, Mourad, 39 ans, marié et père d’une fille. Profession non déclarée, mais assumée : contrebandier.

                Ne pouvant prétendre trouver un autre emploi parce que trop vieux et trop jeune pour partir à la retraite, Slimane s’est débrouillé une vieille Mercedes pour convoyer du carburant vers le Maroc. « C’est peut-être interdit par la loi, mais j’ai la conscience tranquille parce que ce n’est pas moi qui vais porter préjudice à l’économie nationale, dans un pays où des milliards de dinars s’évaporent n’importe comment. De plus, j’exerce mon activité en payant le droit de passage sur tous les barrages. Ce type d’impôt ne va, certes, pas à l’Etat », dénonce-t-il, presque avec colère. Pus loin, plus à l’ouest, les daïras de Bab el Assa et de Marsat Ben M’hidi dont dépend la bourgade de Boukanoune, théâtre d’émeutes samedi dernier.

                Lettres arabes

                « On aurait transformé ces terres hostiles, on aurait pu nourrir un million d’habitants ! Si seulement les pouvoirs publics, au lieu de construire des tribunaux et des prisons, avaient implanté des unités de production ou nous avaient accordé des aides dans le cadre de tous les projets d’investissement dont ils se gargarisent à longueur de journée. Qui refuserait un métier noble, sans risques ? » s’interroge notre interlocuteur. Pratiquement, tous les jeunes que nous avons rencontrés entre Souani, Bab El Assa et Boukanoune se disent titulaires d’un diplôme décerné par des centres de formation et d’apprentissage, et de l’université de Tlemcen.

                A l’instar du jeune Amine Bolouiz, tué samedi soir par un véhicule de la douane. Il était en 1er année de lettres arabes. Mourad, Slimane et leurs semblables refusent de traverser la Méditerranée. « Nous ne sommes pas fous pour risquer nos vies, mais nous revendiquons les droits de tous les citoyens, une vie décente, une dignité et celle-ci ne peut être acquise que par le travail. Et pour le moment, nous n’avons que cette frontière pour survivre. » Des élus que nous avons approchés se disent impuissants devant ce phénomène de contrebande. « Ce serait mentir que de dire qu’on offre des opportunités aux jeunes. Les budgets que nous avons servent à peine à gérer les choses de la commune. » Puis, se voulant confident, un élu lâche, sous couvert de l’anonymat : « Des élus comme nous et des responsables s’adonnent à des trafics sur la frontière… »

                Par Chahredine Berriah, Lakehal samir El Watan

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                • #9
                  la basse marocaine

                  De quoi faire mordre la rage nos voisins algériens qui meurent certainement de jalousie en voyant leurs plans tomber à l'eau:
                  gaminerie et baliverne ??

                  voilà ce que la Presse marocaine avait étudié comme méthode journalistique .
                  .au lieu de donner une analyse politique sur la question de la fermeture des frontières ..il dit des conneries …un professionnel ( face book ) parle de jalousie : la bassesse marocaine
                  A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                  Commentaire


                  • #10
                    Le carburant à bas prix en Algerie , ça rapporte gros aux petit trabendistes algeriens .. ces jeunes ont investi leurs argent pour la construction de leur logement .
                    houari, tu l'a bien dit , c'est grace a l'argent des marocains que les jeunes contrebandiers algeriens gagnent leurs vie , ils gagnez draham grace aux acheteurs marocains

                    Alors houari faut dire VIVE LE DH !!!

                    On ne peut pas le nier , la contrebande fait gagné beaucoup aux algeriens , estimez vous heureux d'avoir trouvé des acheteurs a vos produit sertout hydrocarbure

                    Donc l'algerie doit d'abord retenir ses propres ressortisants de la contrebande avant de parler de contrebandiers marocains

                    Commentaire


                    • #11
                      On ne peut pas le nier , la contrebande fait gagné beaucoup aux algeriens ,
                      @BMW
                      Héhé ! faut pas nier aussi ,que les algériens font vivre les pauvres marocains …
                      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                      Commentaire


                      • #12
                        mais l oriental manque de mouvement des touristes algeriens …
                        Demande aux commerçants et les hôteliers , ils te donneront une réponse franches ..houari16
                        Si tu aurais posé cette question en 1994,.....et les premières années qui suivent la fermeture des frontières par l'autorité de ton pays
                        les réponses seraient à la hauteur de ton espérance.

                        Mais voilà,après 16 ans ,tu penses bien que beaucoup d'encres ont coulé.
                        l'économie locale(le secteur informelle) c'est adaptée a cette situation.
                        Les échanges sont toujours aussi fructueuses mais dans l'informel

                        et de plus des projets structurants ont émergé dans l'oriental dans tout les secteurs.

                        finalement,
                        la réponse ne sera pas celle que tu crois.

                        Commentaire


                        • #13
                          finalement,
                          la réponse ne sera pas celle que tu crois.
                          @bruxelles

                          Oujda ! ni plus , ni moins une vitrine luisante et transparente , comme la annoncé le titre « Vitrine de l'effort royal »
                          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                          Commentaire


                          • #14
                            Héhé ! faut pas nier aussi ,que les algériens font vivre les pauvres marocains …
                            houari ,


                            Il les font vivre en quoi ??? en psychotrope ????


                            Vous tuez notre jeunesse , a cause de vous on a des agressions des meurtres et bien figurez vous que c'est a cause des psychotropes qui viennent que par l'algérie , l'algerie le fait exprés elle empoisonnent la jeunesse marocaine khadma dyal tayhodite

                            Meme les israeliens ne font pas ca aux palestiniens

                            Commentaire


                            • #15
                              Meme les israeliens ne font pas ca aux palestiniens
                              @BMW ?

                              détrompe , tu avance dans un domaine qui t échappe énormément ..

                              t es loin de connaitre le ravage du cannabis marocain en Europe et dans les pays arabe ...
                              la même méthode marocaine pour empoisonne son voisin de l Est est utilisé par les israeliens pour empoisonner les palestiniens de Gaza et de la Cisjordanie ..

                              PS : combien produit l Algerie de psychos ..et combien produit le Maroc de tonne de la resine de cannabis ..

                              quelques psychos ont passé la frontière ... d une petite souris , le Maroc l avait rendu un hippopotame ?
                              A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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