L’Algérie, a lancé son plan quinquennal (2010-2014) qui prévoit l’utilisation de 150 milliards de dollars de fonds publics en plus des investissements privés et internationaux attendus.
Ce programme vise la consolidation du processus de croissance économique à travers la mobilisation de l’ensemble des potentialités nationales pour la prise en charge des impératifs du développement humain et l’amélioration des conditions de vie des citoyens.
Emplois, salaires, préservation du pouvoir d’achat, restent au cœur de la problématique de la gestion publique.
En raison d'une hausse de 8,23% des prix des produits alimentaires, le taux d'inflation en Algérie a atteint 5,7% en 2009 contre 4,4% en 2008
L’Indice de Développement Humain pour 2009 est de 0, 754. L’Algérie est classée en 104ème position sur un total de 173 pays.
Dans le cadre de la loi de finance 2010, signée le 29 décembre 2009, l’action sociale de l’Etat a reçu d’importantes enveloppes budgétaires avec une mention particulière, pour les catégories sociales fragilisées par la crise économique.
En relation avec l’OIT, le défi en Algérie tournera autour de la concrétisation des engagements pris dans le « Pacte national économique et social », signé en 2006 par le Gouvernement, le patronat et le syndicat. Dans ce Pacte, la promotion de l’emploi figure parmi les priorités sur lesquels se sont engagés les 3 partenaires.
Emploi
Selon l’Office National des Statistiques (ONS), le taux de chômage a baissé à 10,2% en 2009 contre 11,3% en 2008
Le chômage des jeunes demeure le plus élevé et reste la préoccupation majeure des pouvoirs publics.
L’objectif du programme présidentiel 2010- 2014 est la création de 3 millions d’emplois et 200.000 PME/PMI, l’encouragement de l’investissement, tant national qu’international, grâce à un dispositif rénové.
La nouvelle loi de finance 2010 consacre 42,6 milliards de dinars à la création, d'ici la fin 2010, de 60 000 emplois dans la fonction publique.
Le nombre de projets de micro-entreprises est passé de 13 189 en 2008 à 28 836 en 2009.
Alger a abrité sous le haut patronage du Président de la République algérienne, SE M. Abdelaziz Bouteflika, le Premier Sommet arabe de l’emploi des jeunes. Ce sommet a réuni les représentants de plus de 21 Etats arabes en vue de mettre en place des stratégies communes et des mécanismes adaptés à la nouvelle donne économique mondiale.
Protection Sociale
L’Algérie offre une couverture complète en matière d’assurance sociale aux travailleurs et à leurs personnes à charge. La protection sociale couvre les risques associés à la retraite, la maladie, la maternité, l’invalidité, le décès, les accidents du travail et les maladies professionnelles ainsi que le chômage. Le régime public de retraite est financé par répartition.
Dialogue Social
Depuis plusieurs années, l’Algérie a montré une volonté certaine en matière de Dialogue Social, ce qui a abouti à la négociation tripartite, à l’élaboration et à la signature du Pacte National Economique et social en 2006.
Au-delà du PACTE, règne un climat de dialogue entre les Partenaires sociaux et le Gouvernement. Il y a eu concrétisation de 55 conventions sectorielles et 93 accords collectifs sectoriels, outre la réalisation au niveau des entreprises de 2893 conventions collectives d’entreprises et 13606 accords collectifs d’entreprises.
A la 13ème et dernière tripartite tenue les 2 et 3 décembre 2009, les Représentants du Gouvernement, les Directions Nationales de l'Union Générale des Travailleurs Algériens, et les cinq Organisations Patronales ont convenu de:
* l’Augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG) de 25% depuis le 1er janvier 2010 ;
* la finalisation des régimes indemnitaires versés avec un effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008 ;
* la mise à jour des Conventions de branches dans le secteur public et de la convention collective "cadre" dans le secteur privé.
L'Organisation International du Travail (Alger).
Source :ilo.org
Ce programme vise la consolidation du processus de croissance économique à travers la mobilisation de l’ensemble des potentialités nationales pour la prise en charge des impératifs du développement humain et l’amélioration des conditions de vie des citoyens.
Emplois, salaires, préservation du pouvoir d’achat, restent au cœur de la problématique de la gestion publique.
En raison d'une hausse de 8,23% des prix des produits alimentaires, le taux d'inflation en Algérie a atteint 5,7% en 2009 contre 4,4% en 2008
L’Indice de Développement Humain pour 2009 est de 0, 754. L’Algérie est classée en 104ème position sur un total de 173 pays.
Dans le cadre de la loi de finance 2010, signée le 29 décembre 2009, l’action sociale de l’Etat a reçu d’importantes enveloppes budgétaires avec une mention particulière, pour les catégories sociales fragilisées par la crise économique.
En relation avec l’OIT, le défi en Algérie tournera autour de la concrétisation des engagements pris dans le « Pacte national économique et social », signé en 2006 par le Gouvernement, le patronat et le syndicat. Dans ce Pacte, la promotion de l’emploi figure parmi les priorités sur lesquels se sont engagés les 3 partenaires.
Emploi
Selon l’Office National des Statistiques (ONS), le taux de chômage a baissé à 10,2% en 2009 contre 11,3% en 2008
Le chômage des jeunes demeure le plus élevé et reste la préoccupation majeure des pouvoirs publics.
L’objectif du programme présidentiel 2010- 2014 est la création de 3 millions d’emplois et 200.000 PME/PMI, l’encouragement de l’investissement, tant national qu’international, grâce à un dispositif rénové.
La nouvelle loi de finance 2010 consacre 42,6 milliards de dinars à la création, d'ici la fin 2010, de 60 000 emplois dans la fonction publique.
Le nombre de projets de micro-entreprises est passé de 13 189 en 2008 à 28 836 en 2009.
Alger a abrité sous le haut patronage du Président de la République algérienne, SE M. Abdelaziz Bouteflika, le Premier Sommet arabe de l’emploi des jeunes. Ce sommet a réuni les représentants de plus de 21 Etats arabes en vue de mettre en place des stratégies communes et des mécanismes adaptés à la nouvelle donne économique mondiale.
Protection Sociale
L’Algérie offre une couverture complète en matière d’assurance sociale aux travailleurs et à leurs personnes à charge. La protection sociale couvre les risques associés à la retraite, la maladie, la maternité, l’invalidité, le décès, les accidents du travail et les maladies professionnelles ainsi que le chômage. Le régime public de retraite est financé par répartition.
Dialogue Social
Depuis plusieurs années, l’Algérie a montré une volonté certaine en matière de Dialogue Social, ce qui a abouti à la négociation tripartite, à l’élaboration et à la signature du Pacte National Economique et social en 2006.
Au-delà du PACTE, règne un climat de dialogue entre les Partenaires sociaux et le Gouvernement. Il y a eu concrétisation de 55 conventions sectorielles et 93 accords collectifs sectoriels, outre la réalisation au niveau des entreprises de 2893 conventions collectives d’entreprises et 13606 accords collectifs d’entreprises.
A la 13ème et dernière tripartite tenue les 2 et 3 décembre 2009, les Représentants du Gouvernement, les Directions Nationales de l'Union Générale des Travailleurs Algériens, et les cinq Organisations Patronales ont convenu de:
* l’Augmentation du Salaire national minimum garanti (SNMG) de 25% depuis le 1er janvier 2010 ;
* la finalisation des régimes indemnitaires versés avec un effet rétroactif à partir du 1er janvier 2008 ;
* la mise à jour des Conventions de branches dans le secteur public et de la convention collective "cadre" dans le secteur privé.
L'Organisation International du Travail (Alger).
Source :ilo.org
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