Dans la soif des sentiments
On s’abreuve de mots ardents
Mots imaginaires écrits à l’encre de chine
Pour n’être lisibles que par le patelin
On s’habille de nonchalance décontractée
Pour réfléchir les rumeurs inventées
On s’abrite dans la demeure ravagée
Pour noyer nos cris dans la fumée ombragée
On se tue…
On meurt…
En silence…avant le déluge
On s’abreuve de mots ardents
Mots imaginaires écrits à l’encre de chine
Pour n’être lisibles que par le patelin
On s’habille de nonchalance décontractée
Pour réfléchir les rumeurs inventées
On s’abrite dans la demeure ravagée
Pour noyer nos cris dans la fumée ombragée
On se tue…
On meurt…
En silence…avant le déluge
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