Après près de deux ans de négociations difficiles avec le gouvernement algérien,l’implantation du groupe français Axa en Algérie se précise. Selon une source proche du ministère des Finances, l’assureur français vient de finaliser la création de ses deux filiales en Algérie. L’une dans l’assurance dommage et l’autre dans l’assurance vie. Ces deux filiales compteront cinq actionnaires : Axa France (45%), Fonds national d’investissement (FNI - public, 30%), le groupe privé Cevital (10%), la Banque extérieure d’Algérie (10%) et le groupe public de bâtiment et de travaux publics Cosider (5%).
Cosider étant une filiale à 100% du FNI, ce dernier, une structure publique, détiendra indirectement 35% du capital de Axa Algérie et une minorité de blocage. Axa espère voir la part du FNI-Cosider réduite sous les 33%. D'ultimes négociations sont en cours pour trouver une solution..
Toutefois, le dossier de demande d’agrément devrait être déposé dans les prochains jours auprès du Conseil national de l’investissement (CNI) et du ministère des Finances, à ajouté notre source. Durant ces derniers mois, Axa a tenté d’obtenir une dérogation à la loi dite des « 51/49% », qui oblige les intérêts algériens à prendre la majorité du capital dans tous les projets d’investissements impliquant des étrangers, pour créer une filiale en totale contrôle. Mais le gouvernement algérien a refusé de céder.
© TSA 07/07/2010
Cosider étant une filiale à 100% du FNI, ce dernier, une structure publique, détiendra indirectement 35% du capital de Axa Algérie et une minorité de blocage. Axa espère voir la part du FNI-Cosider réduite sous les 33%. D'ultimes négociations sont en cours pour trouver une solution..
Toutefois, le dossier de demande d’agrément devrait être déposé dans les prochains jours auprès du Conseil national de l’investissement (CNI) et du ministère des Finances, à ajouté notre source. Durant ces derniers mois, Axa a tenté d’obtenir une dérogation à la loi dite des « 51/49% », qui oblige les intérêts algériens à prendre la majorité du capital dans tous les projets d’investissements impliquant des étrangers, pour créer une filiale en totale contrôle. Mais le gouvernement algérien a refusé de céder.
© TSA 07/07/2010
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