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Des sources proches du dossier de la transaction des frégates algériennes ont révélé le retour en force des partenaires italiens et allemands dans une tentative de décrocher l’un des plus importants contrats dans la région de l’Afrique du Nord et du moyen orient dans le cadre de l’équipement.
Des changements stratégiques ont vu le jour, ces derniers mois, avec le partenaire allemand.
Les Emirratis sont désormais chargés de l’ensemble des transactions concernant le moyen orient et l’Afrique du nord. Une coopération étroite a, également, vu le jour entre les Allemands et les Italiens. Elle s’est concrétisée cette année en des contrats de commercialisation de frégates aux Emirats arabes unis.
On croit savoir qu’un changement stratégique a eu lieu suite à la ratification d’un accord entre le groupe allemand « Tisson » d’une part, qui a proposé de commercialiser des frégates à l’Algérie et entre l’un des fonds de souveraineté des Emirats arabes unis, d’autre part, à savoir « Abu Dhabi Mar Group ».
En vertu de cet accord, un partenariat a vu le jour permettant au groupe Emirati, Abu Dhabi Mar de prendre en main l’ensemble des contrats et projets concernant la région du moyen orient et l’Afrique du Nord. La nouvelle compagnie supervise les ateliers navals allemands qui fabriquent les frégates et bâtiments de guerre. De ce fait, le marché algérien est dorénavant sous le patronage de la nouvelle branche, filiale d’Abu Dhabi Mar.
L’Algérie a inclut dans le cahier des charges imposé aux soumissionnaires concernés par les offres plusieurs conditions, notamment la construction de frégates dans les sites des compagnies et la construction de deux autres frégates en Algérie, dans le cadre du partenariat et le transfert du savoir faire aux nouveaux ateliers de construction de navires prévus d’être réalisés à Mers el-Kebir.
D’autres conditions figurent également dans ce cahier des charges en question, notamment, la promotion de la formation, l’habilitation et la modernisation des forces navales en prévisions des nouvelles missions.
La marine algérienne aspire de l’acquisition de ces frégates en plus d’autres bâtiments de guerre à atteindre la modernisation et le professionnalisme des forces navales pour qu’elles soient aptes à participer aux différentes manœuvres menées par les l’alliance atlantique Otan et de faire face à tous les défis, notamment la lutte antiterroriste, le contrôle des eaux territoriaux de l’Ouest de la méditerranée ainsi que la lutte contre les différentes formes de crimes organisés, notamment le trafic de drogues et l’émigration clandestine.
© AL KHABR 17/07/2010
Des changements stratégiques ont vu le jour, ces derniers mois, avec le partenaire allemand.
Les Emirratis sont désormais chargés de l’ensemble des transactions concernant le moyen orient et l’Afrique du nord. Une coopération étroite a, également, vu le jour entre les Allemands et les Italiens. Elle s’est concrétisée cette année en des contrats de commercialisation de frégates aux Emirats arabes unis.
On croit savoir qu’un changement stratégique a eu lieu suite à la ratification d’un accord entre le groupe allemand « Tisson » d’une part, qui a proposé de commercialiser des frégates à l’Algérie et entre l’un des fonds de souveraineté des Emirats arabes unis, d’autre part, à savoir « Abu Dhabi Mar Group ».
En vertu de cet accord, un partenariat a vu le jour permettant au groupe Emirati, Abu Dhabi Mar de prendre en main l’ensemble des contrats et projets concernant la région du moyen orient et l’Afrique du Nord. La nouvelle compagnie supervise les ateliers navals allemands qui fabriquent les frégates et bâtiments de guerre. De ce fait, le marché algérien est dorénavant sous le patronage de la nouvelle branche, filiale d’Abu Dhabi Mar.
L’Algérie a inclut dans le cahier des charges imposé aux soumissionnaires concernés par les offres plusieurs conditions, notamment la construction de frégates dans les sites des compagnies et la construction de deux autres frégates en Algérie, dans le cadre du partenariat et le transfert du savoir faire aux nouveaux ateliers de construction de navires prévus d’être réalisés à Mers el-Kebir.
D’autres conditions figurent également dans ce cahier des charges en question, notamment, la promotion de la formation, l’habilitation et la modernisation des forces navales en prévisions des nouvelles missions.
La marine algérienne aspire de l’acquisition de ces frégates en plus d’autres bâtiments de guerre à atteindre la modernisation et le professionnalisme des forces navales pour qu’elles soient aptes à participer aux différentes manœuvres menées par les l’alliance atlantique Otan et de faire face à tous les défis, notamment la lutte antiterroriste, le contrôle des eaux territoriaux de l’Ouest de la méditerranée ainsi que la lutte contre les différentes formes de crimes organisés, notamment le trafic de drogues et l’émigration clandestine.
© AL KHABR 17/07/2010