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C’est une bonne chose, Vue l’état dans le quel se trouvent les routes "déjà mal faites et puis mal entretenues… " l’état des routes -aussi- intervient en partie dans les accident de la route.
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L’Etat prévoit de consacrer pas moins de 120 milliards de dinars pour la prise en charge et l’entretien du réseau routier national au titre du programme complémentaire de soutien à la croissance économique 2005-2009”, c’est ce qu’a indiqué le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, lors de la journée d’étude sur le contrôle de la qualité des travaux d’entretien routier organisée hier à Alger.
A cette enveloppe financière s’ajoute une autre de 20 milliards de dinars qui a été débloquée cette année pour prendre en charge les chemins de wilaya et la voirie urbaine. C’est dire l’importance qu’accordent les pouvoirs publics à la réhabilitation du patrimoine routier national qui s’étend sur plus de 100 000 km. La journée d’information d’hier a été consacrée justement à la présentation du protocole de contrôle définissant les procédures et les méthodes de suivi de la réalisation des projets routiers, notamment dans son aspect qualitatif. Une importance particulière sera donnée en effet au volet de l’entretien et au contrôle en amont des travaux de réalisation de tous les projets lancés dans le secteur. Des instructions fermes ont été données aux directeurs de wilaya des travaux publics pour le respect des mesures énoncées dans le plan de contrôle et d’entretien des réseaux routiers. “Un contrôle efficient implique une meilleure réalisation, qui, à son tour, permet de réduire de façon significative les coûts de l’entretien”, a souligné Amar Ghoul. Selon lui “les projets du secteur doivent répondre à deux problématiques, celle de la qualité de réalisation et de la qualité de l’entretien”. Il est désormais question de se conformer aux six principaux axes définissant les méthodes à suivre en matière d’exécution, de gestion, d’inspection et d’encadrement humain et matériel des projets d’entretien ainsi que de coordination entre les différents partenaires et enfin la nécessité de mettre en place un programme de formation et de recherche scientifique appliquée. D’après les chiffres communiqués par le premier responsable du secteur des travaux publics, 20 000 km de routes toutes catégories confondues ont été touchées par le programme de réhabilitation durant les cinq dernières années. Les capacités nationales en matière d’entretien des chaussées ont connu une nette consolidation puisqu’elles sont passées de 500 km de routes entretenues en 1999 à 4000 km en 2005. Le département des travaux publics s’est fixé comme objectif de réhabiliter pas moins de 28 000 km de routes nationales et quelques chemins de wilaya même si ces derniers dépendent des collectivités locales, et ce, avant la fin du premier semestre 2007. Aussi, il est prévu la création de 500 maisons cantonnières réparties sur tout le territoire national, soit une pour chaque daïra, dotées de l’équipement adéquat, et la création de 15 parcs régionaux d’entretien. Le premier responsable des travaux publics a en outre annoncé que le programme de mise à niveau de la signalisation routière sera achevé avant la fin 2006. Lotfi Mérad
AUTOROUTE EST-OUEST
Les entreprises de réalisation seront installées avant mai
L’installation des entreprises devant prendre en charge la réalisation de l’autoroute Est- Ouest est prévue pour fin avril prochain, selon les déclarations du ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, hier en marge de la journée d’information sur le contrôle de la qualité des travaux d’entretien routier. L’évaluation des offres techniques sera achevée incessamment en attendant l’examen des offres financières “prochainement”. Pour rappel, le projet de l’autoroute Est-Ouest est divisé en trois lots. Le lot ouest (frontières algéro-marocaines- Chlef) s’étend sur 400 km et comprend dix chantiers. Le lot centre (Chlef-Bordj- Bou-Arreridj) dans lequel 150 km restent à réaliser et le lot est (Bordj-Bou-Arreridj-frontières algéro-tunisiennes) sur 400 km et qui comprend lui aussi dix chantiers. “Tous les chantiers seront lancés simultanément pour être livrés dans un délai maximum de 40 mois”, a précisé Amar Ghoul.
- Le soir D'Algerie
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L’Etat prévoit de consacrer pas moins de 120 milliards de dinars pour la prise en charge et l’entretien du réseau routier national au titre du programme complémentaire de soutien à la croissance économique 2005-2009”, c’est ce qu’a indiqué le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, lors de la journée d’étude sur le contrôle de la qualité des travaux d’entretien routier organisée hier à Alger.
A cette enveloppe financière s’ajoute une autre de 20 milliards de dinars qui a été débloquée cette année pour prendre en charge les chemins de wilaya et la voirie urbaine. C’est dire l’importance qu’accordent les pouvoirs publics à la réhabilitation du patrimoine routier national qui s’étend sur plus de 100 000 km. La journée d’information d’hier a été consacrée justement à la présentation du protocole de contrôle définissant les procédures et les méthodes de suivi de la réalisation des projets routiers, notamment dans son aspect qualitatif. Une importance particulière sera donnée en effet au volet de l’entretien et au contrôle en amont des travaux de réalisation de tous les projets lancés dans le secteur. Des instructions fermes ont été données aux directeurs de wilaya des travaux publics pour le respect des mesures énoncées dans le plan de contrôle et d’entretien des réseaux routiers. “Un contrôle efficient implique une meilleure réalisation, qui, à son tour, permet de réduire de façon significative les coûts de l’entretien”, a souligné Amar Ghoul. Selon lui “les projets du secteur doivent répondre à deux problématiques, celle de la qualité de réalisation et de la qualité de l’entretien”. Il est désormais question de se conformer aux six principaux axes définissant les méthodes à suivre en matière d’exécution, de gestion, d’inspection et d’encadrement humain et matériel des projets d’entretien ainsi que de coordination entre les différents partenaires et enfin la nécessité de mettre en place un programme de formation et de recherche scientifique appliquée. D’après les chiffres communiqués par le premier responsable du secteur des travaux publics, 20 000 km de routes toutes catégories confondues ont été touchées par le programme de réhabilitation durant les cinq dernières années. Les capacités nationales en matière d’entretien des chaussées ont connu une nette consolidation puisqu’elles sont passées de 500 km de routes entretenues en 1999 à 4000 km en 2005. Le département des travaux publics s’est fixé comme objectif de réhabiliter pas moins de 28 000 km de routes nationales et quelques chemins de wilaya même si ces derniers dépendent des collectivités locales, et ce, avant la fin du premier semestre 2007. Aussi, il est prévu la création de 500 maisons cantonnières réparties sur tout le territoire national, soit une pour chaque daïra, dotées de l’équipement adéquat, et la création de 15 parcs régionaux d’entretien. Le premier responsable des travaux publics a en outre annoncé que le programme de mise à niveau de la signalisation routière sera achevé avant la fin 2006. Lotfi Mérad
AUTOROUTE EST-OUEST
Les entreprises de réalisation seront installées avant mai
L’installation des entreprises devant prendre en charge la réalisation de l’autoroute Est- Ouest est prévue pour fin avril prochain, selon les déclarations du ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, hier en marge de la journée d’information sur le contrôle de la qualité des travaux d’entretien routier. L’évaluation des offres techniques sera achevée incessamment en attendant l’examen des offres financières “prochainement”. Pour rappel, le projet de l’autoroute Est-Ouest est divisé en trois lots. Le lot ouest (frontières algéro-marocaines- Chlef) s’étend sur 400 km et comprend dix chantiers. Le lot centre (Chlef-Bordj- Bou-Arreridj) dans lequel 150 km restent à réaliser et le lot est (Bordj-Bou-Arreridj-frontières algéro-tunisiennes) sur 400 km et qui comprend lui aussi dix chantiers. “Tous les chantiers seront lancés simultanément pour être livrés dans un délai maximum de 40 mois”, a précisé Amar Ghoul.
- Le soir D'Algerie