Si ce régime veut perdurer dans le temps, il doit faire preuve d'un peu plus de souplesse et régler le problème sécuritaire une bonne fois pour toute.
Nous abordons le troisième millénaire avec une scène politique qui fait horreur. Une scène politique aberrante. Le gouvernement ne rend pas compte à l'assemblée nationale, ni pour ses décisions ni pour sa composition. L'APN est reléguée au rang de figurante. L'exécutif décide quasiment seul dans tous les domaines. On a même droit à des ministres inamovibles comme celui de l'Edication Nationale. Lors des remaniements ministériels souvent on reprend les même et on recommence.
Nous abordons le troisième millénaire sans projet politique, et avec un système politique qui relègue l'Algérie au rang de miniable dictature militaire bananière. Avec ce régime, l'Algérie n'est pas présentable sur la scène internationale. Il nous faut un parlement qui ait plus de pouvoir. Un parlement qui puisse rejeter un gouvernement. discuter réellement ses projets de lois plutôt que de se contenter de les entériner.
L'Armée peut continuer à tirer les ficelles en coulisse avec plus d'ouverture politique. Elle doit continuer à être présente parce que la société civile est dominée par le tribalisme et le régionalisme. Ce n'est pas par hasard que l'ANP est l'institution qui domine. Mais ça serait bien qu'elle continue à le faire de façon encore plus discréte, certainement pas en faisant nommer un Général-Major chef de la DGSN.
Nous abordons le troisième millénaire avec une scène politique qui fait horreur. Une scène politique aberrante. Le gouvernement ne rend pas compte à l'assemblée nationale, ni pour ses décisions ni pour sa composition. L'APN est reléguée au rang de figurante. L'exécutif décide quasiment seul dans tous les domaines. On a même droit à des ministres inamovibles comme celui de l'Edication Nationale. Lors des remaniements ministériels souvent on reprend les même et on recommence.
Nous abordons le troisième millénaire sans projet politique, et avec un système politique qui relègue l'Algérie au rang de miniable dictature militaire bananière. Avec ce régime, l'Algérie n'est pas présentable sur la scène internationale. Il nous faut un parlement qui ait plus de pouvoir. Un parlement qui puisse rejeter un gouvernement. discuter réellement ses projets de lois plutôt que de se contenter de les entériner.
L'Armée peut continuer à tirer les ficelles en coulisse avec plus d'ouverture politique. Elle doit continuer à être présente parce que la société civile est dominée par le tribalisme et le régionalisme. Ce n'est pas par hasard que l'ANP est l'institution qui domine. Mais ça serait bien qu'elle continue à le faire de façon encore plus discréte, certainement pas en faisant nommer un Général-Major chef de la DGSN.
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