«L’infirmier avait pris le soin d’endormir les trois patientes, qui se trouvaient dans la salle dont il avait la charge. L’infirmier a injecté du valium dans les poches de sérum pour pouvoir passer à l’acte ignoble, le viol de l’une d’elles qui venait de subir, dans la matinée, une opération du goitre.» C’est un médecin, sous couvert de l’anonymat, qui l’affirme.
Cela s’est passé, apprend-on, dans la nuit de mardi à mercredi à l’Etablissement Hospitalier Universitaire d’Oran situé à l’USTO (Bir El-Djir).
«L.A., âgée de 24 ans et mère d’une fille, était dans tous ses état ce mercredi matin à la vue de l’équipe médicale et paramédicale», raconte une autre source selon laquelle l’alerte a été vite donnée aux parents de la victime qui «ont déposé officiellement une plainte» contre l’indélicat technicien de la santé.
Celui-ci serait toujours en fuite, dit-on, alors que des sources affirment qu’il a été déjà appréhendé jeudi par les services de sécurité. «La plainte, apprend-on par ailleurs, a été appuyée par un rapport du médecin légiste» qui aurait confirmé le viol et relevé des traces du sperme sur la victime.
Il faut dire que la nouvelle a vite fait le tour de la ville, ce qui n’est pas pour faire de la bonne publicité à ce grand établissement de la santé que les Oranais ont longtemps attendu.
«Scandaleux! Ce qui vient de se passer à l’EHU du 1er-Novembre est tout simplement scandaleux», entend-on dire partout. «Comment faire confiance désormais?», s’interrogent d’autres. «Il faut des sanctions exemplaires dans des cas pareils», estime enfin le commun des citoyens.
Ouest-Tribune
Cela s’est passé, apprend-on, dans la nuit de mardi à mercredi à l’Etablissement Hospitalier Universitaire d’Oran situé à l’USTO (Bir El-Djir).
«L.A., âgée de 24 ans et mère d’une fille, était dans tous ses état ce mercredi matin à la vue de l’équipe médicale et paramédicale», raconte une autre source selon laquelle l’alerte a été vite donnée aux parents de la victime qui «ont déposé officiellement une plainte» contre l’indélicat technicien de la santé.
Celui-ci serait toujours en fuite, dit-on, alors que des sources affirment qu’il a été déjà appréhendé jeudi par les services de sécurité. «La plainte, apprend-on par ailleurs, a été appuyée par un rapport du médecin légiste» qui aurait confirmé le viol et relevé des traces du sperme sur la victime.
Il faut dire que la nouvelle a vite fait le tour de la ville, ce qui n’est pas pour faire de la bonne publicité à ce grand établissement de la santé que les Oranais ont longtemps attendu.
«Scandaleux! Ce qui vient de se passer à l’EHU du 1er-Novembre est tout simplement scandaleux», entend-on dire partout. «Comment faire confiance désormais?», s’interrogent d’autres. «Il faut des sanctions exemplaires dans des cas pareils», estime enfin le commun des citoyens.
Ouest-Tribune
Commentaire