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Discussions à venir sur la coopération pour l'exploration lunaire

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  • Discussions à venir sur la coopération pour l'exploration lunaire

    La coopération est tjrs une bonne chose, et venue et souhaitée de la part de la NASA , c’est encore meilleur . Bonne chance.

    ====
    La NASA souhaite mettre au point d'ici la fin de l'année une stratégie décennale d'exploration de la Lune, en collaboration avec le secteur commercial, le monde académique et ses partenaires internationaux.

    L'Administrateur de la NASA Michael Griffin a confié cette mission à Shana Dale, actuelle numéro deux de l'agence et précédemment en charge de la politique spatiale à la Maison Blanche. En avril, un nouveau symposium organisé par la NASA réunira près de 200 participants ; il pourrait être suivi pendant l'été d'une nouvelle session plus spécifiquement dédiée à la science.

    La NASA se dit intéressée par les capacités commerciales pour le transport cargo, la détection et l'exploitation de ressources lunaires, le développement et la maintenance d'infrastructures à la surface de notre satellite. L'agence a déjà décidé de consacrer 500 millions de dollars pour l'étude de solutions commerciales assurant la desserte cargo de l'ISS (International Space Station).

    Source: Etats-Unis Espace

  • #2
    C’est plus de la politique que de la science, car malheureusement la NASA se retrouve avec un budget limite comme le montre l’article suivant:

    Les satellites météo américains menacés par les coupes budgétaires

    NEW YORK (AP) - Des réductions budgétaires et une mauvaise gestion pourraient compromettre l'avenir des programmes américains de satellites dédiés à la surveillance de l'environnement, des outils essentiels pour prévoir les ouragans, étudier le réchauffement climatique ou protéger les ressources en eau.

    "Le système des satellites dédiés à l'environnement risque de s'effondrer", prévient Richard Anthes, qui préside une commission de l'Académie nationale américaine des sciences conseillant le gouvernement sur la conception et l'exploitation de ces engins sophistiqués.

    Cette commission avertissait l'an dernier dans un rapport que "la vitalité des sciences de la Terre et des programmes d'application courait un risque substantiel à cause d'une baisse rapide des crédits".

    Depuis, la NASA a annulé ou mis en sommeil au moins trois projets pour faire des économies. Des dépassements de coûts ont ainsi retardé le lancement d'une nouvelle génération de satellites de météorologie jusqu'à 2010 ou 2012, conduisant le Government Accountability Office (GAO, équivalent de la Cour des comptes en France) à évoquer un "programme en crise".

    La liste est longue des programmes de la NASA reportés, revus à la baisse ou tout simplement annulés:

    - Le Système d'observation de la terre (EOS) a été conçu dans les années 80 pour une mission sur 15 ans afin d'étudier les océans, l'atmosphère et la surface de la Terre. Il était prévu à l'origine de mettre en orbite trois générations de satellites à cinq années d'intervalle mais pour des raisons économiques le projet a été limité à une seule série de lancements;

    - La mise en service de Global Precipitation Measurement (GPM), destiné à étudier les précipitations sur l'ensemble de la planète, a été repoussé à 2012. Mais le satellite qu'il doit remplacer ne tiendra pas aussi longtemps, et pendant plusieurs années les chercheurs seront ainsi privés de données précieuses pour la prévision des ouragans et l'étude des sécheresses et inondations.

    - En décembre, les scientifiques du programme Hydros ont été informés de son annulation. Ils travaillaient à la mise au point d'un satellite capable de mesurer l'humidité du sol et de faire la distinction entre sol gelé et non gelé, une caractéristique importante alors que la fonte du pergélisol (permafrost) s'est accélérée ces dernières décennies dans l'Arctique. L'engin aurait également amélioré la prévision des sécheresses et des inondations.

    - Le mois dernier, P.J. Valero de l'Institution Scripps d'océanographie, a appris l'annulation de la mission Deep Space Climate Observatory, un projet qu'il mène depuis plus de sept ans. Le satellite a déjà été assemblé mais la NASA rechigne à payer le coût de son lancement et de son exploitation, estimé entre 60 et 100 millions de dollars (50 et 85 millions d'euros).

    Cet observatoire spatial devait fournir des informations précieuses sur la manière dont les nuages, le manteau neigeux, la poussière présente dans l'air et d'autres phénomènes affectent l'équilibre entre la quantité de rayons solaires absorbés par la Terre et la quantité d'énergie qu'elle émet. L'engin aurait également permis d'améliorer la connaissance du réchauffement climatique.

    - Une nouvelle génération de satellites météo à orbite polaire est menacée par des dépassements budgétaires. Et si ce programme NPOESS aboutit, le premier satellite ne sera pas lancé avant 2010 au plus tôt.

    La génération actuelle de satellite météo à orbite polaire est essentielle pour les prévisions météo car elle offre un panorama complet de la planète toutes les six heures. Les prévisions météo pourraient être affectées en cas d'échec du lancement du dernier de ces satellites d'ancienne génération, prévu fin 2007. Le risque d'échec lors d'un tel lancement est d'environ 10%. AP

    Source

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    • #3
      Return On Investment:

      Salut

      Economie et militaire priment desormais sur le scientifique et c'est sous cet angle qu'il faut regarder l'interet que la NASA et toute le monde desormais portent a la lune et a l'espace en general. La lune regorge de metaux et d'heilum 3 carburant ideal pour la navigation spatiale. L'eau (et l'oxygene qu'elle contient) vitale pour la survit de future expeditions permanantes s'y trouve aussi.

      Esperons que dans une future proche d'eventuels touristes sur la lune ne trebucheront pas sur une canette de soda !

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      • #4
        Merci Sindbad pour les précisions, je pense que les agences gouvernemental tel que NSF, NIH, NASA, …etc devraient continuer a primer la science sur l’économie comme ils l’ont fait par le passé, les résultats ont toujours été impressionnants et a la hauteur. Le retour en investissement, souvent absent pour ces agences, mais certainement pas pour l’Amérique en particulier et le monde en générale.

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