Accusé de tolérer la présence de guérilleros colombiens sur son territoire, le président vénézuélien Hugo Chavez menace de rompre ses relations avec Bogota.
Caracas a d'ailleurs rappelé pour consultations son ambassadeur à Bogota afin de protester contre les accusations du président sortant de la Colombie, Alvaro Uribe, qui quitte ses fonctions le 7 août.
Dans un discours, vendredi, Hugo Chavez, a réfuté les allégations du gouvernement colombien, et traité Uribe de « mafioso (...) plein de haine », ajoutant qu'il adopterait une approche attentiste face au nouveau président Santos.
Il a aussi a décliné l'invitation à la cérémonie d'investiture du président colombien Juan Manuel Santos, le 7 août, en invoquant des raisons de sécurité. Il l'a toutefois invité à prendre ses distances avec son prédécesseur, Alvaro Uribe.
Les échanges entre la Colombie et le Venezuela ont diminué de 70 % au cours des dernières années. Chavez a gelé les relations de son pays avec la Colombie depuis la signature par Bogota d'un accord octroyant aux États-Unis un accès élargi à ses bases militaires.
Radio-Canada.ca avec
Agence France Presse et Reuters
Caracas a d'ailleurs rappelé pour consultations son ambassadeur à Bogota afin de protester contre les accusations du président sortant de la Colombie, Alvaro Uribe, qui quitte ses fonctions le 7 août.
Dans un discours, vendredi, Hugo Chavez, a réfuté les allégations du gouvernement colombien, et traité Uribe de « mafioso (...) plein de haine », ajoutant qu'il adopterait une approche attentiste face au nouveau président Santos.
Il a aussi a décliné l'invitation à la cérémonie d'investiture du président colombien Juan Manuel Santos, le 7 août, en invoquant des raisons de sécurité. Il l'a toutefois invité à prendre ses distances avec son prédécesseur, Alvaro Uribe.
Les échanges entre la Colombie et le Venezuela ont diminué de 70 % au cours des dernières années. Chavez a gelé les relations de son pays avec la Colombie depuis la signature par Bogota d'un accord octroyant aux États-Unis un accès élargi à ses bases militaires.
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