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Le spectre des violences ethniques refait surface en Afrique du Sud

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  • Le spectre des violences ethniques refait surface en Afrique du Sud

    Sitôt la Coupe du monde de football terminée, le spectre des violences xénophobes qui avaient fait 62 morts il y a deux ans refait surface en Afrique du Sud. Au moins onze personnes ont été blessées dans un township de Johannesburg, avivant les craintes d'une nouvelle vague d'attaques à caractère raciste.

    Parmi les blessés figurent des Zimbabwéens et des Mozambicains, mais aussi des Sud-Africains. L'armée sud-africaine a été appelée en renfort de la police pour patrouiller dans le township de Kya Sands. Au moins dix personnes ont été arrêtées.
    L'inquiétude quant à une nouvelle vague de violences s'est réveillée sitôt le coup de sifflet final du Mondial donné. La police avait dû intervenir le 12 juillet, dès le lendemain de la fin de la compétition, dans des townships de la région du Cap à la suite d'attaques et de menaces visant des immigrés.
    L'Organisation internationale pour les migrations avait indiqué mardi 13 juillet qu'elle redoutait un exode des migrants zimbabwéens fuyant "les menaces de violences xénophobes en Afrique du Sud après la Coupe du monde de football". "Durant la dernière semaine de la Coupe du monde, le trafic pour traverser la frontière a été marqué par la présence de camions chargés de meubles et d'autres objets de ménage, indiquant que ces gens prévoient des flambées de violence xénophobe et envoient leurs biens au Zimbabwe pour réduire les pertes et pour leur permettre de quitter plus rapidement le pays si nécessaire", a souligné l'OIM.
    En mai 2008, les Sud-Africains pauvres s'en étaient pris à leurs voisins zimbabwéens, mozambicains ou somaliens, les accusant de voler les emplois et de contribuer à la criminalité. Les violences avaient fait 62 morts et laissé plus de 100 000 personnes sans abri. Les étrangers sont notamment accusés de prendre les emplois des locaux dans le pays, où le taux de chômage atteint 25 %.
    Au cours des deux dernières années, poussés par l'effondrement de l'économie, des millions de Zimbabwéens ont fui leur pays pour tenter leur chance en Afrique du Sud, véritable eldorado économique pour de nombreux migrants de la région.

    LEMONDE.FR ave AFP

  • #2
    c grave qu'un peuple qui a bcp souffert du racisme ,est devenu à son tour raciste!!!
    wada mou tella tayri g tassa, ar yalla !!

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    • #3
      Ce n'est pas du tout une question de race, ils sont tous bantous. La faute revient aussi a l'ANC, je ne comprends pas comment on peut accepter des immigres quand un quart de la population est au chomage.

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      • #4
        Le plus grand danger qui guète l'Afrique du sud est le SIDA , en effet et juste comme exemple il touche plus d'un quart des militaires.........
        et paradoxalement le président du pays et un libidineux qui est contre l'utilisation des préservatifs:22:

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        • #5
          Exactement, Zuma a publiquement declare qu'il n'y avait pas de risque de contracter le SIDA si on prend une douche apres un rapport sexuel. La ministre de la sante a conseille un remede traditionnel a base d'ail pour lutter contre le SIDA. Meme Mandela n'a pas fait grand chose contre le SIDA et l'insecurite. Mais lui au moins, il l'a reconnu et s'en est excuse.

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          • #6
            Il va falloir tout de même que les Etats fassent de nouveau respecter leurs frontières.

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