Saïd Sadi: « les services spéciaux essayent de discréditer l’opposition »
Imene Brahimi
Saïd Sadi, président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), a affirmé, mercredi 21 juillet, que les services spéciaux algériens essayaient de discréditer l’opposition démocratique. Pour le docteur Sadi, qui s’exprimait à l’ouverture des travaux du regroupement des étudiants de son parti à Tigzirt au nord de Tizi Ouzou, il s’agit d’une manipulation politique qui a pour objectif de maintenir la même équipe au pouvoir. Laquelle équipe n’a ni bilan ni évaluation ni projet à faire valoir, selon lui.
« Entre ceux qui se battent pour donner un projet alternatif au pays et ceux qui sont au pouvoir juste pour se remplir les poches, la différence est de taille », a expliqué Said Sadi. Pédagogue, le docteur Sadi a conseillé aux participants de ne pas écouter ces sirènes du désespoir qui ont fait de l’Algérie un champ de ruine. « Les régimes totalitaires ne peuvent plus censurer dans le monde d’aujourd’hui », a-t-il dit dans une allusion à la fermeture du champ des libertés. Pour le leader du RCD, le régime algérien est disqualifié à l’intérieur et discrédité sur la scène internationale.
« La question de la jeunesse est à la fois le problème et la solution », a estimé par ailleurs le M. Sadi. Avant de suggérer aux jeunes étudiants de se référer aux repères positifs de l’histoire du pays, dont les acteurs avaient l’âge des étudiants participants à l’université d’été de Tigzirt.
tsa
Imene Brahimi
Saïd Sadi, président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), a affirmé, mercredi 21 juillet, que les services spéciaux algériens essayaient de discréditer l’opposition démocratique. Pour le docteur Sadi, qui s’exprimait à l’ouverture des travaux du regroupement des étudiants de son parti à Tigzirt au nord de Tizi Ouzou, il s’agit d’une manipulation politique qui a pour objectif de maintenir la même équipe au pouvoir. Laquelle équipe n’a ni bilan ni évaluation ni projet à faire valoir, selon lui.
« Entre ceux qui se battent pour donner un projet alternatif au pays et ceux qui sont au pouvoir juste pour se remplir les poches, la différence est de taille », a expliqué Said Sadi. Pédagogue, le docteur Sadi a conseillé aux participants de ne pas écouter ces sirènes du désespoir qui ont fait de l’Algérie un champ de ruine. « Les régimes totalitaires ne peuvent plus censurer dans le monde d’aujourd’hui », a-t-il dit dans une allusion à la fermeture du champ des libertés. Pour le leader du RCD, le régime algérien est disqualifié à l’intérieur et discrédité sur la scène internationale.
« La question de la jeunesse est à la fois le problème et la solution », a estimé par ailleurs le M. Sadi. Avant de suggérer aux jeunes étudiants de se référer aux repères positifs de l’histoire du pays, dont les acteurs avaient l’âge des étudiants participants à l’université d’été de Tigzirt.
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