Belhadj ne veut pas d’une « réconciliation nationale imposée »

[zek]

A-t-il raison ou tord ?

L’ancien numéro 2 du Front islamique du salut (FIS-dissous), Ali Belhadj, a déclaré hier à l’AFP qu’il ne voulait pas d’une « réconciliation nationale imposée » par le pouvoir. « Il ne peut y avoir de réconciliation nationale imposée par une seule partie, le pouvoir, au détriment des autres parties qui n’ont pas eu droit à la parole », a-t-il dit. M. Belhadj a ajouté que « pour qu’il y ait réconciliation, il faut d’abord qu’il y ait la vérité sur tout ce qui s’est passé ». « Il y a eu des décisions, des dispositions, sans plus, mais ce n’est pas suffisant. Il faut tout mettre à plat, se dire tout entre hommes. À ce moment-là, on pourra parler de réconciliation », a-t-il martelé.
http://www.lorient-lejour.com.lb/pag...icle&id=307754

[TAHAR23]

C'est de la surenchère qu'il fait, devant un pouvoir faible et prêt à toutes les compromissions.....

[safyo]

déclaré hier à l’AFP

Il faut bien que cette personne comprenne , au risque de se voir reconduit vers le cellule , qu'il n'aurat plus jamais le droit de proposition .

Ces thèses n'auront plus jamais leur place dans l'Espace Algérie .

[pico]

En fait ce que veut dire ce "repenti", c'est que c'est lui et ses amis qui sont les victimes! Il demande des excuses quoi!

Il exige réparation, sans quoi il n'acceptera pas nos excuses... Oui oui vous avez bien compris, pour lui c'est nous les repentis...

[zwina]

Je croyais que dans la charte les repentis ne devaient pas faire de déclaration ???????? Voilà le résultat quand l'on négocie avec des criminels, il se croit tout permis et au dessus des lois........

[mimo59]

c'est un acteur de la tragedie algerienne,il a autant de droits que les autres acteurs de donné sa vision de la réconcilation,l'armé à fait bien plus de mal que le fis,je ne dis pas gia,je crois qu'il à droit à la parole mais aucune activitée politique

[amarimaa]

je trouve cette parole sage et stratégique:
1.encore une fois il peut faire passer ses potes et lui pour les défenseurs de la justice contre le pouvoir corrompu! ils ont l'air nobles en disant: "nous voulons bien de votre pardon si vous le voulez bien " je suis touchée de cette délicatesse
2.s'il est sincère c'est tout bénéf pour lui aussi

[le chacal]

:22: oN VEUT FAIRE D UN CHARLATANT UN IDOLE DE LA DEMOCRATIE.
ALI belhadj fait de la surenchere et veut toujours etre a laune des journaux, c est un malade incurable concernant son comportement de se presenter comme le sauveur et le bienfaiteur de l algerie.
Les memes journaux qui l accuse d etre unn teroriste notoire, lui facilite la parole pour nuire a l etat et le faire dires des betises pour ce retrouver dans des beaux draps.

[L'optimiste]

comme je l'ai dit dans l'autre Topic, cette pourriture ne merite meme pas qu'on lui consacre plus qu'une page.etarticles dans les journaux qui lui donnent la parole ne meritent meme pas d'etre lus.

[Avucic]

Quelle réconciliation ?

Je crains que les choses ne se passerons pas comme l'espérait le gouvernement, car toujours selon le même journal on apprend que
On peut lire dans le Journal El Watan du 9 mars:

Scènes curieuses devant la prison de Serkadji:
Des barbus à l’accueil ....ils étaient une cinquantaine, ou peut-être plus, à accueillir quotidiennement devant la prison Serkadji, à Alger, les membres du GIA, MIA, GSPC, FIDA et autres ainsi que les membres de leurs réseaux de soutien.
En tenue afghane, la barbe pendant jusqu’à la poitrine, les yeux tracés au khol et la tête couverte d’un turban à la taliban, ils étaient là tout au long de la journée à exhiber leurs convictions à leurs proches et anciens compagnons de djihad, libérés par le président...

Et Amnistie International questionne .... toujours selon El Watan.

Le paradoxe algérien
Un rapport de l’université américaine du Maryland vient d’établir que l’Algérie figure à la 106e place dans le monde en matière de recul des libertés, et tout dernièrement quatre ONG, Amnesty International, Human Rights Watch, le Centre international pour la justice transnationale et la Fédération internationale des droits de l’homme, ont dénoncé « l’impunité et le musellement des opinions » dans la mise en œuvre de la charte pour la réconciliation.