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Economie de marché : en progrès mais peut mieux faire

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  • Economie de marché : en progrès mais peut mieux faire

    Bonsoir, la meilleur facon de mieux faire c'est peut etre de passer a l'ultra liberalisme, ouvrir le pays aux ecoles et instituts etrangers, depolitiser le systeme educatif et ne pas s'occuper de la gestion des ecoles prives.
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    Au cours des trois dernières années, l'Algérie a progressé dans la mise en place d'une économie de marché, mais il reste beaucoup à faire pour assurer une croissance rapide et durable, avec une mise en oeuvre accélérée des réformes, souligne une publication de la Banque mondiale (BM).

    La revue trimestrielle Nawafid Maghreb, éditée par le Bureau de la BM à Rabat, relève en effet que la croissance de l'Algérie continue à dépendre fortement des exportations des hydrocarbures et que le pays "reste vulnérable aux choc pétroliers". "L'Algérie doit encore consolider et renforcer son équilibre macro-économique, diversifier son économie et augmenter la productivité", lit-on encore dans un article de la publication consacrée à la croissance en Algérie.

    Soulignant que la reprise de la croissance algérienne hors hydrocarbures est toujours largement alimentée par les investissements publics et que les investissements privés sont en hausse, l'auteur signale que le climat des affaires "laisse encore désirer" et que les investissements directs étrangers (IDE) "restent en dessous des espérances". L'accès aux services de base (transports, logements, eau, information et télécommunications) n'est pas encore à la hauteur de la demande. L'éducation et la santé dont la qualité s'était fortement détériorée durant les années 90, n'ont pas connu d'amélioration notable depuis 2000, relève-t-on davantage dans l'article.

    Pour la revue, les réformes sont encore en cours et la réponse du secteur privé en terme d'offre est encore limitée. Ainsi, ajoute-t-on, il n'a pas encore été possible d'amener le taux de croissance annuel du PIB au delà de 6%, taux minimum nécessaire pour réduire sensiblement le chômage.

    L'auteur rappelle que grâce à l'augmentation de ses revenus pétroliers, l'Algérie s'est lancé dans des investissements publics massifs en commençant, pour la période 2005-2009, par un programme de 55 milliards de dollars: le Programme complémentaire de soutien à la croissance.

    Mais il souligne que l'amélioration de la gouvernance "sera primordiale" pour ce nouveau programme des dépenses publiques. "C'est également un grand défi pour le développement du pays au sens large ", commente l'auteur, avant d'ajouter que c'est dans cet esprit le gouvernement prépare actuellement une loi anti-corruption et a lancé un programme de modernisation du système judiciaire.
    source Jeune Afrique.
    Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin
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