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Plages de Zeralda : Les loueurs de parasols dictent leur loi

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    Plages de Zeralda : Les loueurs de parasols dictent leur loi

    Les plages de la côte de Zeralda, que ce soit Khaloufi I et II ou celles du complexe Essafir (ex-Mazafran), ne sont accessibles qu’à ceux qui mettent la main à la poche.

    Dès l’entrée, des jeunes, matraque à la main, accueillent les automobilistes en les orientant d’abord vers des aires de stationnement qu’ils se sont partagées en lot. Résignés, les conducteurs payent 50 DA sans rechigner.
    Ces gardiens attestent que c’est l’APC qui leur a loué ces aires de stationnement au prix fort. Mais les tickets de place ne portent pas le cachet des services des impôts qui prouve qu’effectivement le gérant du parking est en situation réglementaire.
    L’estivant n’est pas au bouts de ses peines.
    En effet, pour prétendre à une place au bord de l’eau, d’autres jeunes proposent la location de chaises, de tables ou de petites tentes. D’ailleurs ces équipements essaiment tout le long des plages.
    Les parasols sont plantés à perte de vue. La location de ces derniers est fixée à 200 DA. Et avec une table et quatre chaises, e prix grimpe à 800 DA.
    «Je suis obligé de planter mon parasol derrière les aires louées à ces jeunes pour éviter de provoquer une bagarre. Je suis en compagnie de mes enfants et ma femme», explique un homme, la cinquantaine qui a failli être agressé par des jeunes engagés par le gérant, pour avoir osé planter son parasol dans la zone exploitée.
    Selon des témoignages recueillis sur place, il ne se passe pas un jour sans qu’une rixe n’éclate entre les exploitants des plages et les citoyens qui débarquent en famille. «J’ai voyagé dans beaucoup de pays connus pour le développement de leur secteur touristiques mais je n’ai jamais vu quelqu’un s’accaparer de plages entières pour en faire une exclusivité commerciale», explique une dame en compagnie de ses deux jeunes filles qui déplore cette situation.
    Horizons
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    cest pas propre a zeralda c un peu pres partout pareil

    Commentaire


    • #3
      Une réalité bien cru qui nous remonte toujours à la surface : tant que l'état n'aura pas résorbé le chômage des jeunes ... il y aura toujours ce genre de bidouillage-racket-système D.


      Le travail est vecteur d'intégration et favorise le civisme..
      Le chômage quant à lui , la mal vie, la drogue, le vol , le trafic...

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      • #4
        j'ai constaté cette pratique moi-même dans le littoral aranai, toutes les plages a quelques exceptions sont systématiquement exploitées par ces suceurs de sang avec leur parasols et chaises vétustes et si ça te plait pas , tu déguerpie ailleurs.
        Des actions de soulèvement pacifistes sérieuses doivent être entreprises par les gens civilisé afin que ces suceurs de sang disparaissent et nous rendent nos plages d'antan

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