Paroles

[postra]

Paroles

Qui peut le soutenir
Qui peut lui succédé
C’est lui le tendre cœur
C’est lui la magie dans le miroir
De nos espoirs et nos déboires

J’ai pris l’espoir comme un grain à moudre
J’en tire chaque jour plus de poudre
Une poudre que j’écume
Sur ma feuille comme une mer blanche
A toute vague mes navires s’écrasent
Et disparaissent sans revanche

Homme des nations
Debout devant tes ennemies
Hommes des savanes
Dans le noir de tanière
Le fleuve emporte tes espoirs
Ta maison et ta progéniture
Tu es réclamé de venir en grâce
Car le jour de la belligérance
S’approche comme un soleil ardent
Sur l’ombre il avance
Qu’on se découvre d’un fil
Eblouissons nos ennemis d’un cil
Dans l’œil de leur confiance
Sans médisance
Ni cruauté dans les actes
Bravons les obstacles de sa méfiance
Pour conclure de nouveaux pactes

Qui peut nous soutenir
Qui peut fleurir nos espoirs
C’est lui la magie du cœur
A lui la tendresse des fleurs

[Soleil33]

Salut Postra
Tu es inspiré en ce moment
Bravo, continue

[postra]

L’élection

Les fleurs de la paix... Les paroles au vent
Ils se cherchent un petit jardin... Dans une phrase complète

Les prétendus élus de la comète... Se bousculent pour deviner... Qui de qui mètre à l’entête
La brume voile le clair de la lune... La foule de gens recommande à la une... La vérité l’unique parole de la paix

Une autre foule peu fréquentable : Dit que : la vérité est à chacun... Que le reflet de son intérêt

D’autres coriaces d’une voie basse... Réclame la justice comme évidence
Les prétendus objectent de courtoisie... Dirent que : la justice n’est plus coriace
C’est la force des faibles... Devant leur impuissance

Un homme du peuple sage se hisse... Tenta de couvrir le raffut de sa voix
Il désigna les traditions d’autres fois... Seule voie de bonne espérance
Un autre homme du peuple s’oppose... Il dit que : le monde avance et ose... Les temps changent et se démarquent
Celui qui se tient aux racines... Pourrira avec l’arbre et ses lacunes

La foule se dispersa sans décision, et remet au lendemain l’élection
Car le soleil se lève pour éclairer les visages... Alors que La chose doit se faire, dans la pénombre des paysages
C’était le seul accord sans désaccord, pour la foule qui s’en va sans tord
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